Le 17 août 1951 à Pont-Saint-Esprit, dans le Gard, le village entier semble pris de folie, après ce qui ressemble à une banale intoxication collective. Pendant une semaine, les scènes surréalistes s’enchaînent, avec des habitants en proie au délire et à des hallucinations. A l’issue de cette semaine, on déplore cinq morts et 300 malades, dont une soixantaine internée dans des hôpitaux psychiatriques. En 2009, le journaliste américain Hank Albarelli assure dans un livre que le village aurait été victime d’une expérience sur les effets du LSD, menée conjointement par l’armée américaine et la CIA. Une théorie qui prend place aux côtés de l’empoisonnement par l’ergot de seigle ou les mycotoxines dans le catalogue des hypothèses.
Vous aviez peut-être déjà entendu parler du MK-Ultra et d’individus programmés pour être des super-soldats, des « Candidats Mandchous » ou encore des esclaves sexuels….. Ces techniques de contrôle mental s’appliqueraient-elles également pour nos élites sportives?
Pour aller plus loin dans l’affaire de Miley Cyrus et toutes les stars issues de l’écurie Disney…
Walt Disney : du cannibalisme à la pornographie Aux États-Unis, le 1er mai 1989, une jeune femme de vingt-neuf ans, Vicky Polin, apparaît sur le plateau de télévision de la célèbre animatrice Oprah Winfrey. Elle révèle que sa famille fait partie d’une secte satanique qui remonte au XVIIIe siècle : ses proches exercent même les professions honorables d’avocat, de médecin ou d’agent de police. Derrière cette apparente respectabilité, ils s’adonnent à des sacrifices humains, à l’inceste et au cannibalisme. Ils boivent le sang de bébés assassinés. Évoquant l’existence des Illuminati, Vicki Polin explique que ces rituels sont effectués « pour acquérir du pouvoir » Elle raconte avoir « été forcée de sacrifier des bébés ». Violée par son père, elle a avorté cinq fois. Sa thérapeute, le Dr Tina Grossman affirme avoir traité plus de quarante survivants américains, victime du satanisme.
Ce témoignage précis atteste que le satanisme est bien la religion la plus secrète et la plus élitiste : de fait, la pédophilie est bien un piètre mot servant de paravent à des rites cannibales et sacrificiels.
La violence et la torture rituelles ne sont pas définies par le Code criminel canadien. Et jusqu’à maintenant, on ne tient aucune statistique à cet égard au pays. Mais il s’agit de crimes bien réels. Jeanne Sarson et Linda MacDonald, deux infirmières et enseignantes de la Nouvelle-Écosse, ont reçu le récit de plusieurs centaines de victimes ayant survécu à cette forme de violence familiale ou collective organisée. Dans le présent article, elles définissent ce que sont la violence et la torture rituelles et offrent des renseignements qui pourraient aider la police à repérer les victimes de ces crimes atroces.