Le lundi 30 novembre 2009, 11:50 par AMIDLISA
URGENT ET A DIFFUSER PARTOUT VIOLS et ASSASSINATS
« Il faut détecter les signaux de détresse qu’envoient les femmes battues » Information envoyée à :
Le lundi 30 novembre 2009, 11:50 par AMIDLISA
URGENT ET A DIFFUSER PARTOUT VIOLS et ASSASSINATS
« Il faut détecter les signaux de détresse qu’envoient les femmes battues » Information envoyée à :
(…) Dans un pays dans lequel l’arrestation d’un présumé violeur d’une gamine de 13 ans, fait pousser des hauts cris à l’ensemble quasiment de la classe politique, médiatique, showbusiness, etc, et Mr Lefebre en premier, qui s’est scandalisé qu’on puisse avec une telle brutalité arreter Mr Polanski 30 ans après, comme si le fait que ça soit depuis 30 ans et qu’il ait réussi à échapper à la justice (…)
Charles-Louis et Diane Roche, tous deux juristes et enfants d’un magistrat haut gradé, vous invitent à venir découvrir un spectacle subversif dévoilant les coulisses de la justice.
par Thierry Meyssan
Nicolas Sarkozy doit être jugé à son action et non pas d’après sa personnalité. Mais lorsque son action surprend jusqu’à ses propres électeurs, il est légitime de se pencher en détail sur sa biographie et de s’interroger sur les alliances qui l’ont conduit au pouvoir. Thierry Meyssan a décidé d’écrire la vérité sur les origines du président de la République française. Toutes les informations contenues dans cet article sont vérifiables, à l’exception de deux imputations, signalées par l’auteur qui en assume seul la responsabilité.
C ‘est une note ultraconfidentielle, couverte par le secret médical, qui embarrasse au plus haut point le ministre de la Santé, Philippe Bas. Ce document rédigé par l’Inspection générale des affaires sanitaires et sociales (Igas), remis en février 2007 au ministre, retrace l’historique médical de quatorze des dix-sept enfants cités comme victimes dans le procès d’Outreau. Pour cinq d’entre eux, dont les parents ont été reconnus innocents, l’Igas relève des indices évocateurs d’abus sexuels. Il ne s’agit pas de preuves, mais seulement de signaux d’alerte qui justifient selon l’Inspection d’être pris en compte au nom de la protection de l’enfance. C’est d’ailleurs à ce titre que le ministre de la Santé a adressé copie de ce document hautement confidentiel au médecin responsable de la Protection maternelle et infantile (PMI) du Nord-Pas-de-Calais. Avec pour consigne de veiller de façon attentive à la santé des cinq enfants.
Interpellé il y a un an pour des agressions sexuelles sur une fillette, Pierre Morel a avoué avoir fait d’autres victimes hier au tribunal.
L‘ancien élu Castrais, accusé de pédophilie, a été condamné hier soir à 3 ans de prison avec sursis et a été placé sous contrôle socio-judiciaire pendant 4 ans. Un an après son interpellation pour agressions sexuelles sur une fillette de son entourage, âgée de 6 ans, et pour détention de photos à caractère pédophile sur son ordinateur, Pierre Morel était en effet jugé hier devant le tribunal correctionnel. Mais ce procès a permis d’apprendre que l’ex-conseiller municipal d’opposition de Castres, qui avait démissionné l’été dernier, avait fait plusieurs victimes. La révélation de ses actes il y a un an a, en effet, provoqué d’autres témoignages. Car hier à la barre, cet homme de 67 ans était également poursuivi pour des agressions sexuelles commises il y a dix ans sur une autre enfant de sa famille qui avait 5 ans à l’époque. Il aurait même reconnu au cours de l’audience, qui s’est déroulée à huis clos, avoir fait au moins deux autres petites victimes dans les années 70. Des faits aujourd’hui prescrits. À l’époque, il habitait en Bretagne et exerçait la profession d’instituteur. C’est peu de temps après qu’il va refaire sa vie à Castres où il sera embauché comme fonctionnaire à la mairie avant de se lancer dans la politique lors des élections municipales de 2001 et d’intégrer le groupe des Verts dans l’opposition. S’il a reconnu l’intégralité des faits qui lui sont reprochés, Pierre Morel, légèrement amaigri, vivant aujourd’hui isolé de toute vie sociale, n’a pas été très bavard à la barre affirmant essentiellement être en train de se soigner après avoir d’abord fait une tentative de suicide. « Le fait d’oraliser ses actes lui a fait du bien et lui a permis d’engager une thérapie », précise son avocat maître Jean-Philippe Lagrange qui juge sévères les réquisitions de la procureure Danièle Drouy-Ayral qui a réclamé, au total pour les deux agressions, 6 ans et demi de prison dont quatre ans et demi ferme. « Elle a sanctionné toute une vie de mutisme et pas simplement les faits », ajoute maître Lagrange qui estime que la procureure n’a pas tenu compte de la personnalité de son client qui souffre d’une « psychopathologie » et qui n’agit pas, selon lui, par excitation sexuelle mais par « excitation de la transgression de l’interdit et par fascination pour le mal et l’horreur ».
Politique de Vie a réalisé courant octobre 2005 l’interview vidéo de Charles et Diane Roche, enfants du magistrat Pierre Roche, décédé en février 2003 peu de temps avant la médiatisation de l’affaire Alègre.
Titre d’origine: « Juge onaniste : pas de sanction »
Le CSM a annoncé qu’il ne sanctionnerait pas le juge surpris en train de se masturber lors d’une audience et jugé irresponsable de ses actes par des psychiatres.
Jeudi, le 23 juin à 18h30, ICW – Collectif des Mères et le Collectif National pour les Droits des Femmes organisent un rassemblement devant le ministère de la Justice, place Vendôme, Paris, pour soutenir les femmes poursuivies pour non représentation d’enfants.
« Je pense que vous et vos confrères, si vous le permettez, sous-estimez une partie de l’actualité qui est complètement immergée, complètement inconnue des médias. Vous avez actuellement en France 35 à 40 000 personnes qui disparaissent chaque année… qui disparaissent. C’est assez fascinant et personne ne se penche sur ces milliers de disparitions. Il y a des suicides qui sont de faux suicides, des accidents de voitures qui sont des assassinats, il y a des gens qui partent et que l’on ne retrouve pas car ils ont voulu changer d’identité…Ce que je veux dire, c’est qu’il y a un monde occulte, caché, souterrain, sous-marin, que au fond personne ne cherche à découvrir. »
Vidéo introuvable retrouvée par Zoé Sagan (Bravo et merci)
» « Les Réseaux Pédophiles : La pièce qui accuse »
Un reportage de Anne Gintzburger, Frédérick Lacroix et Laurence Beneux
France 2000 Canal+, 90 Minutes
40 mn
Première diffusion sur Canal+ : Lundi 21 février 2005
Première diffusion sur Planète: le 23 février 2005 à 20H45
Diffusion sur RTS le 1er mars 2001
» Plus de 25 ans après la disparition de deux jeunes militaires du camp de Valdahon (Doubs), où Pierre Chanal était instructeur, leurs familles placent dans une indemnisation de la justice leur seul et ultime espoir de réhabiliter la mémoire des deux garçons, considérés comme déserteurs. La commission d’indemnisation des victimes d’infraction (CIVI) de Besançon rendra le 3 février sa décision sur la demande d’indemnisation déposée par les familles de Michel Giannini et Aldo Tacchini. Pour statuer, elle devra se prononcer sur le caractère criminel, ou non, de la mystérieuse disparition des deux appelés du camp où ils effectuaient leur service militaire, en 1975 et 1977. Avocats et familles des jeunes gens venus jeudi à Besançon défendre le dossier devant la CIVI sont convaincus que les « disparus de Valdahon » ont été les premières victimes de l’adjudant Chanal. « On ne déserte pas pendant près de trente ans sans laisser de traces et sans donner de nouvelles », soutient Me Gérard Chemla, qui défend, avec Me Vincent Durtette, sept des huit familles de victimes présumées de Pierre Chanal à Mourmelon (Marne) et dans les départements limitrophes entre 1980 et Après le suicide de l’ancien adjudant-chef en octobre 2003 durant son procès devant la cour d’assises de la Marne pour trois de ces assassinats, la requête devant la CIVI constitue le seul recours possible des familles des « disparus de Valdahon ». « Nous voulons que l’armée et la justice reconnaissent leurs négligences et leurs fautes », explique Bruno Tacchini, frère d’Aldo, selon lequel « aucune enquête sérieuse n’a été faite pendant vingt-cinq ans alors que le rapprochement avec Chanal aurait dû être établi ». En 2001, une première enquête de la gendarmerie de Besançon apprenait aux familles qu’un lien avec Chanal était envisagé mais sans preuves. « Le montant de l’indemnisation est symbolique. Nous attendons avant tout la reconnaissance des familles en qualité de victimes et qu’il soit dit que les deux jeunes gens n’ont pas disparu dans des conditions naturelles », explique Me Chemla. Le représentant du ministère public devant la CIVI n’a pas soutenu la requête des familles qui demandent 40.000 euros en faveur des parents et 20.000 euros pour les frères des jeunes gens. Le Fonds de garantie des victimes, chargé de l’indemnisation, s’est également prononcé contre la requête. »