En septembre 2015, les 193 Etats membres de l’ONU se sont réunis dans le but de concrétiser la noble vision de la Convention relative aux droits de l’enfant en adoptant le programme de développement durable à l’horizon 2030, intitulé Agenda 2030. Le 13 juin 2019, le Secrétaire général de l’ONU, António GUTERRES, et le Fondateur et Président exécutif du Forum économique mondial, Klaus SCHWAB, ont signé un partenariat stratégique afin d’accélérer la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030. Cependant, le rapprochement entre l’ONU et le Forum Economique Mondial est particulièrement inquiétant. A plusieurs titres. Premièrement, en raison du fait que notre gouvernement est fortement incité à changer le cadre législatif à l’insu du peuple de France qui n’a pas été consulté, ni élu Klaus SCHWAB, ni les dirigeants de l’ONU pour le gouverner. Deuxièmement, parce que derrière ces différentes instances internationalistes se cache un certain nombre d’idéologies, qui se trouvent codifiées dans les textes imposés à l’ensemble des Etats du monde. La Convention Internationale des Droits de l’Enfant constitue le pacte subversif obligeant les Etats à signer et appliquer ces textes. Ceci de manière très perverse car ces textes juridiques sont toujours adoptés sous couvert de liberté, d’égalité, de prévention ou de protection. Ces différentes idéologies appartiennent au mondialisme, une doctrine et un système visant à détruire les peuples, les nations et les cultures pour les remplacer par une gouvernance mondiale technocratique. Les principes pédagogiques élaborés par les mondialistes, à travers le mouvement de l’Education Nouvelle, se basent sur les théories néohumanistes qui doivent être enseignées dès la petite enfance pour permettre l’avènement d’un nouveau « printemps de l’humanité ». Le plan mondialiste de destruction de l’enfance et de la famille coïncide avec la naissance du philanthropisme mondial qui, dès son origine, est étroitement lié à la finance ainsi qu’à la Franc-maçonnerie. Il est également à l’origine du travail social occidental.