par Svali
J’écris cet article pour exprimer quelque peu de la colère, mais je ne peux m’en empêcher. Je suis en colère que mes impôts servent, et les vôtres aussi, à financer certains projets. Je prends le risque que mes articles ici sur ce site soient retirés en écrivant ceci, mais je ne peux me taire.
Il existe des projets chapeautés par la CIA à Langley en Virginie. Ces projets sont des études sur des techniques pour différentes formes de contrôle mental et la manière de contraindre facilement des »sujets », de les droguer, les hypnotiser, les traumatiser ou autrement de les amener sous contrôle et de les transformer en manœuvres dociles qui pensent vraiment faire de »bonnes choses » pour leur »pays » ou leur »famille ».
Je devrais le savoir. J’ai été victime de ces expériences brutales et les ai expérimentées sur d’autres plus tard dans ma vie.
Il y a une tonne de documentations et de preuves aussi bien par des archives du gouvernement que sur internet que ce truc se passe réellement. Ces projets MK-ULTRA, BLUEBIRD, ARTICHOKE, MONARCH et autres projets financés par vos dollars ont été et sont toujours utilisés secrètement pour abuser et torturer d’innocents enfants, puis plus tard en tant qu’adultes. Le fait qu’il EXISTE une documentation disponible malgré la quantité monumentale de papiers qui partent dans les déchiqueteuses du gouvernement montre la masse même de documents et de notes qui ont été conservés et ne pouvaient être complètement éliminés des archives publiques.
On sait par le projet PAPERCLIP qu’on a fait venir aux USA des médecins nazis (vous savez, ceux qui ont fait des expériences sur des gens en Allemagne pendant la seconde guerre mondiale). Alors qu’ils semblaient être là ostensiblement pour aider les US à développer leur technologie, nombre d’entre eux ont aussi partagé leur connaissance de la neurophysiologie humaine, et ont été recrutés pour superviser de futures expériences.
Assez de parler à la troisième personne. Je veux partager mes propres souvenirs personnels.
À l’âge de 8 ans, le soir, le Dr Timothy Brogan de l’université George Washington, mon formateur principal et ma mère m’emmenaient à Langley. Je me souviens d’arbres sombres dans les champs derrière de longs bâtiments et que nous allions toujours dans le même bâtiment.
En bas il y avait des salles de classe, qui servaient à la formation. Je m’asseyais dans un groupe avec d’autres enfants et regardais des films dont le sujet était : comment tuer quelqu’un (nous étions obligés d’analyser ces films, interrogés par le »professeur » sur ce que le »sujet » ou »cible » qui était tué avait fait de mal, et comment le meurtre avait été organisé. Nous analysions et discutions tout, y compris la direction du vent, le type d’arme utilisé, la lunette utilisée, etc.
Exercices de tir : il y avait un stand de tir et nous passions des heures au tir. Nous apprenions à démonter un pistolet et à le remonter en dix secondes maximum. Nous étions chronométrés.
Films d’entraînement : on nous projetait des films sur tous les sujets imaginables, comme ceux sur »voici vos dirigeants » avec une table ronde et où les dirigeants Illuminati US se levaient quand un chef entrait dans la pièce. Les films étaient explicites sexuellement, des films de violence et des films qui parlaient de loyauté. Nous nous entraînions à brouiller les repères (avec quelqu’un qui nous suivait) et la manière de suivre quelqu’un sans être détecté. Il y avait un caisson d’isolation dans une pièce. Il ne servait pas dans les exercices de groupe mais pour des sessions spéciales d’entraînement. Sinon la pièce était fermée par des scellés quand elle n’était pas en service. Entraînement aux langues : différentes personnes entraient et nous apprenaient plusieurs langues aussi bien avec la classe qu’en individuel. Parfois ma mère s’asseyait et bavardait avec son ami, Sidney Gottlieb ou avec le Dr G. Steiner, un médecin qui travaillait sur ce projet avec des enfants. Je ne sais pas qui étaient les autres enfants ni d’où ils venaient. Leurs familles les accompagnaient et revenaient les chercher ensuite, habituellement la mère ou le père ou un ami de la famille. Les exercices se terminaient à 4h30 du matin.
Le centre médical Tulane ( où réside »L’Institut ») était réputé comme l’une des installations de recherche américaines les plus pointues en matière de techniques de contrôle mental et d’exploration du paranormal, des NDE et de l’utilisation indéfiniment répétée de messages enregistrés. Ils pensaient que l’état aux frontières de la mort aiderait à incruster un message ou une croyance aux niveaux les plus profonds de l’inconscient et l’expérience de »renaissance » (qui créait un nouvel alter à un niveau très profond) donnait un »sujet » très très loyal. C’était le cas. Le sujet était terrifié et on lui disait que s’il désobéissait un jour, on le ramènerait dans cet état »aux portes de la mort », donc il n’y en avait pas beaucoup qui se montraient »déloyaux » dans ces circonstances.
L’équipement que l’argent de nos impôts servait à acheter pour ces organisations fonctionnant sous couvert du gouvernement était très sophistiqué : équipement de réalité virtuelle et usage des techniques de neurolinguistique les plus élaborées. Et on enseignait aux gens comment les utiliser avec un maximum d’efficacité.
L’année de mes 23 ans j’étais formatrice en chef à San Diego. La nuit je poursuivais les expériences sur d’autres, sous la supervision de Jonathan Meier et à la fin du Colonel Aquinos, qui était directeur régional de notre groupe. Et bien sûr, à chaque fin de soirée, nous téléchargions nos données extrêmement codées vers les banques de données de Langley. Au centre de données de la CIA, nous devions traverser six niveaux de mots de passe de sécurité avant d’accéder à l’endroit où les données pourraient être téléchargées. Ils voulaient connaître les résultats des expériences partout en cours, et il y avaient des protocoles stricts pour faire les compte-rendus de toute réaction inhabituelle, anomalie ou nouvelle combinaison de médicaments qui se révélait particulièrement efficace.
Je pense que la majorité du public américain n’a aucune idée de la manière dont est utilisé leur argent pour certaines organisations du gouvernement. Je pense aussi que la plupart de ceux qui lisent ceci ne croiront pas que la CIA et un centre médical respecté pourraient être le siège de telles expériences sur l’esprit et la psyché d’enfants et d’adultes (c’était pratiqué sur les deux). Mais c’est la vérité et j’en suis désolée, parce que cela me met en colère que les impôts prélevés sur mon travail aillent subventionner des sévices. Mon seul désir est qu’un jour ceci soit découvert, ramené au grand jour et que le public puisse examiner minutieusement ce qui s’est passé et se passe toujours, et qu’on y mette un terme.
Svali
Traduction Hélios pour pedopolis
Source (page 250): http://www.fichier-pdf.fr/2012/11/24/ritual-abuse/