(Le Bouclier ) Non elles ne sont pas folles les mamans qui se battent pour leurs enfants !

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Nous n´avons pas pour habitude de mélanger les genres. Nous avons suffisamment soutenu les magistrats et nous continuons d´ailleurs sans peine à le faire, comme nous le ferons, chaque fois que nous estimerons devoir le faire. Cela ne plait généralement pas à toute une faune associative pour laquelle « la justice est pourrie » , faune qui se garde bien cependant d´attaquer de front les faits et les décisions iniques de certains juges.
Personne ne les ignore ces décisions iniques, pas plus le monde associatif que magistrats, policiers, ministères et parlementaires, mais chacun se borne à faire la prude, sans jamais oser mettre les pieds dans le plat.


A ce jour, ce sont des centaines de femmes qui se battent dans une indifférence totale contre des décisions de justices contestables quand des médecins ont signalé des violences sexuelles sur leur enfant, de la part d´un mari ou d´un conjoint incestueux et pédophile. A chaque fois, c´est toujours le même chef d´orchestre qui mobilise des moyens contre elles, montrant au passage et si besoin était que les femmes sont encore maintenues dans des dépendances économiques et un isolement qui colle mal avec les rond de jambe de la « journée de la femme ».


LE SCENARIO EST IMMUABLE

 

Une femme a de forts soupçons d´abus sexuel sur son enfant.

 

Un médecin constate, la conforte dans ce soupçon et alerte la justice.

 

Le procureur prend les mesures de protection de l´enfant.

 

Un ou une juge suit le procureur et protège l´enfant.

 

Un second médecin confirme le diagnostic du premier.

 

Un ou une autre juge balaye les certificats médicaux et confie l´enfant au père soupçonné qui entre temps a reçu le soutien d´une officine spécialisée.

 

Le ou la juge commet un expert psychiatre ou un psychologue qui rend un avis exactement contraire à celui des médecins spécialisés.

 

La maman n´en peut plus.

 

Elle déprime et se bat dans toutes les directions et on la dit « folle »

 

Les associations censées l´aider lui réclament le remboursement des frais d´avocat ou l´entraîne dans des aventures aussi rocambolesques que celle des « mères en fuite en Suisse ».

 

Il arrive que la maman s´enfuit avec l´enfant.

 

Là elle est vite retrouvée, les prédateurs lâchent rarement leurs victimes, et elle est condamnée à de la prison pour non présentation d´enfant.

Entre temps, plus personne ne se soucie de l´enfant sauf elle : ni les associations, ni la justice qui ici n´est ni belle ni humaine. Seule la maman continue son combat.


LE SIMULACRE DE JUSTICE DOIT CESSER


Les députés, dont nous saurons au besoin rappeler le nom comme les déclarations d´avant élection disant « si je suis élu, je m´engage à faire voter une loi » et qui n´ont pas tenu parole, comme les magistrats insouciant et les experts de pacotilles qui font n´importe quoi, disent et écrivent n´importe quoi, sans aucun souci de l´enfant, vont devoir changer.


Pour vous donner un avant goût du délire et en attendant que l´on peaufine le dossier, voici une petit exemple :

 

5 certificats médicaux faisant état de pénétration avec des objets dans l´anus d´un petit

 

un « père » obnubilé par la sodomie

 

une psychologue qui parle des « fantasmes sexuels » d´un tout petit enfant et voit dans le jeu des voitures auquel il se prête, « le simulacre du coït parental »

 

une ribambelle de juges qui prennent des décisions toutes aussi contradictoires les unes que les autres

 

des juges qui se chamaillent au titre de « leurs » prérogatives et de « leurs » compétences

Les jugements étant en notre possession, nous les étudions, cela prendra le temps qu´il faudra, et nous demanderons publiquement, nommément avec l´appel à manifestations publiques s´il le faut des comptes à toutes celles et ceux qui auront tenus des propos délirants comme cette psychologue qui a du rater quelques cours.

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