L’International Boy Love Day est une fête discrète organisée par des pédophiles eux même, dans leur domicile, en l’honneur des petits garçons, mais pas dans le sens que le voudrait la société mais pour manifester leur attirance pour les jeunes garçons.
IBLD (International Boy Love Day) ibld.net.
IBLD (International Boy Love Day) « Alors que boylove responsable est d’environ la prise en charge, d’encadrement et d’aimer les relations qui existent entre des millions de garçons et les hommes plus âgés, il y a, malheureusement, quelques mâles plus âgés qui usent et abusent des garçons pour leurs propres fins égoïstes. La société, et en particulier les médias, sont souvent incapables de faire la distinction entre ces deux opposés.
Nous espérons que vous et les autres 279 359 personnes qui ont lu ici depuis Juillet 1, 1998, est venu avec une volonté de reconnaître et de comprendre la vérité. »
Source : IBLD :(Je ne mettrais pas le lien… ):
Le 22 Décembre, c’est la fête aux pédophiles !
C’est pas encore la « Gay Pride » mais la fête aux pédophiles existe bel et bien. Célébrée 2 fois par an le jour des solstices, l’ « International Boy Love Day » a pour but de célébrer les relations sexuelles entre adultes et enfants (soit disant) consentants ainsi que de faciliter la reconnaissance de ces relations par la société.
A ce rythme ce n’est plus qu’une question de temps avant que les pédophiles ne défilent dans les rues.
Histoire :
En juin 1998, plusieurs pédophiles se sont réunis, tout d’abord en personne puis sur Internet, pour créer l’International Boy Love Day (IBLD), célébrée le 24 juin. Selon eux, cette journée sert à revendiquer « le droit des hommes adultes à avoir des relations sexuelles avec des petits garçons ». Cette campagne voyage sur Internet et, pour célébrer ce jour, ces pédophiles allument des bougies bleues qui leur permettent de se reconnaître dans le monde entier, depuis les Pays-Bas jusqu’en Argentine, en passant par la Belgique, l’Égypte, l’Afrique du Sud, le Mexique, le Canada et les États-Unis.
David L. Riegel (né en 1931) est un écrivain indépendant et chercheur sur le thème des exprimée sexuellement garçon / relations hommes plus âgés, il a été un entrepreneur en électricité, pilote d’avion, archéologue amateur, courtier immobilier, étudiant professionnel intermittent. Après avoir déjà retiré deux fois des champs différents, il a été recruté en 1999 par un rédacteur du manuel McGraw Hill Taking Sides: Clashing vues sur des questions controversées dans la sexualité humaine, on lui demande de soumettre une dissertation sur la controverse qui a ensuite été tourbillonnant autour du «Rapport Rind 1998 »(Psychological Bulletin 124 (1) 32-53). Cela a été accepté par l’éditeur mais refusée à la publication par la direction jusqu’en 2005. En 2000, il publie le premier de ses quatre livres de poche. En 2005 il obtien un diplôme de premier cycle en psychologie d’une université d’Etat entièrement accrédité à 73 ans.
Les réactions face à l’IBLD ne se sont pas fait attendre. Une partie de la société a préféré ne pas prendre position, trouvant le sujet désagréable. Certains groupes de jeunes, particulièrement en Europe, ont argumenté, au nom de la protection des tendances progressistes, que tous les individus doivent avoir le droit d’exprimer leurs opinions politiques, sexuelles et idéologiques. Certaines organisations de société civile et de défense des droits de l’enfant ont cependant souligné les retombées négatives de cette pratique, qui consiste à forcer les enfants à se soumettre pour satisfaire certains adultes plus puissants et anticonformistes.
« «Amour du prochain, liberté et diversité.» Il pourrait s’agir d’un slogan hippie, inoffensif à première vue. On en est loin : cette dénomination qui semble appeler à de doux sentiments est en fait le nom du premier parti pédophile (NVD), dont la création a été annoncée le 30 mai dernier à Amsterdam. Alors que la disparition de Stacy et Nathalie, 7 et 10 ans, le 9 juin dernier à Liège, fait à nouveau planer le spectre de l’affaire Dutroux sur la Belgique, le scandale enfle aux Pays-Bas. Lors d’une conférence de presse, les fondateurs de cette nouvelle formation politique ont défendu la légalisation de la pornographie enfantine et du sexe entre adultes et mineurs. Leur but ? Certainement moins remporter un siège lors des élections législatives de mai 2007 qu’assurer, grâce au scandale, la promotion de la pédophilie, «une orientation sexuelle comme une autre», selon ce groupe de militants néerlandais, tous membres de l’association pédophile Martijn. »
Source : http://www.lefigaro.fr/lefigaromagazine/2006/06/23/01006-20060623ARTMAG90400-horreur_politique_un_parti_pedophile.php
Charity Freedom and Diversity Party.
Le 30 mai 2006, un groupe de pédophiles a créé un nouveau parti politique enregistré auprès des autorités néerlandaises, le Charity, Freedom and Diversity Party (CFDP). Fondé sur des mouvements de légalisation de la prostitution, cet organisme demande que la liberté de pensée et d’expression, garantie par la Constitution,
passe avant les traités internationaux de défense des droits de l’enfant. Le CFDP affirme que ses membres comptent des hommes politiques hollandais importants, des chefs d’entreprise, des pères de famille, des instituteurs, des prêtres et « tous types d’hommes libres qui ont choisi d’exprimer leur sexualité et leur vie érotique à travers des relations libres avec des petits garçons et des petites filles ».
Dans son manifeste, le CFDP demande un abaissement de 16 à 12 ans de l’âge légal pour avoir des relations sexuelles consenties ainsi que la légalisation de la zoophilie, de la pornographie infantile et, bien entendu, de toutes les formes de violences sexuelles contre les mineurs.
De plus en plus d’hommes de pays développés, parmi lesquels l’Espagne, la Norvège, les États-Unis, le Canada, l’Australie, l’Angleterre et l’Allemagne, s’unissent à ce mouvement.
Pédérastes ou pédophiles ?
Il est toujours nécessaire de revenir aux définitions. Le mot « pédéraste » vient du grec paiderastos, composé de paidos, qui signifie « enfant », et de erastos, qui signifie « amant ». À l’origine, dans la Grèce antique, la pédérastie correspondait donc aux rapports sexuels initiatiques entre un très jeune homme et un aîné. Aujourd’hui, le mot « pédéraste », devenu désuet et souvent péjoratif, a pris le sens d’homosexualité entre hommes adultes. En revanche, la « pédophilie », qui vient du mot paidofilia, est l’attraction sexuelle des adultes pour les enfants.
Historiquement, Freud et Lacan ont établi les principaux éléments qui permettent à la psychiatrie et à la psychologie actuelles de considérer que l’individu qui abuse d’enfants souffre de pathologies, parfois provoquées par des traumatismes. Sans arguments très solides, certains chercheurs expliquent la pédophilie comme la conséquence d’un traumatisme datant de l’enfance, les pédophiles ayant eux-mêmes été victimes d’abus sexuels. Certains scientifiques, comme R. J. Kelly et R. Lusk, soulignent que les préférences sexuelles du pédophile peuvent être dues à une réminiscence de l’époque où les premiers jeux sexuels ont normalement lieu avec les autres jeunes enfants. Selon la théorie de l’apprentissage social, les pédophiles pourraient en effet connaître une activation sexuelle précoce à ce moment-là, expliquant ainsi le fait qu’ils ne soient attirés que par les attributs physiques des enfants, comme l’absence de pilosité ou la petite taille des organes génitaux. En revanche, ces spécialistes ne mentionnent pas l’éventuelle situation de responsabilité du pédophile vis-à-vis de sa victime, qui a confiance en lui et sur laquelle il exerce un certain pouvoir. D’autre part, il a été démontré que la plupart des pédophiles sont des hommes et des femmes au fonctionnement social normal, capables d’assumer des responsabilités dans tous les aspects de leur vie quotidienne.
Les spécialistes de l’abus infantile.
Le psychologue clinique argentin Jorge Garaventa, un des spécialistes les plus reconnus en Amérique latine dans le domaine de l’abus sexuel infantile, affirme que « les mauvais traitements et les abus sexuels sur des enfants ont lieu dans une situation d’inégalité, dans laquelle l’adulte dispose d’une autorité et utilise cette supériorité pour satisfaire le plaisir que lui procure sa victime, qui est anéantie et soumise ». Il assure en outre que « l’abus sexuel commis par un adulte sur un mineur, tout comme le viol, ne sont ni un besoin ni une pulsion sexuelle, mais un acte de domination et de soumission qui se traduit par une expression érotique ».
Plusieurs spécialistes des nouveaux courants de psychologie humaniste, s’occupant de mineurs victimes de violence sexuelle, réfutent les vieux arguments qui considèrent la pédophilie comme une pathologie incontrôlable. Selon eux, il est dangereux de prétendre que les individus qui commettent de telles pratiques sont prisonniers d’une culture : en effet, il existe forcément un moment dans la vie où il faut choisir une voie, et ce choix se fait parfois dans la douleur. S’il est vrai que dans les cultures grecque et romaine, la pédérastie était socialement acceptée et que, pendant des siècles, la domination patriarcale a contribué à dissimuler cette forme de violence, il est néanmoins indispensable de remettre en question cette façon de penser dominante et d’écouter les spécialistes des pays du Sud, qui mettent actuellement en place de toutes nouvelles théories et des modèles efficaces d’assistance aux victimes.
Soigner les pédophiles ?
À ce jour, il n’existe aucune étude scientifique démontrant que les traitements psychiatriques contre la pédophilie fonctionnent sur le long terme. L’emprisonnement n’est pas non plus un moyen efficace : la plupart des cas de violence sexuelle les plus connus aux États-Unis et, plus récemment, en Autriche, ont été commis par des hommes emprisonnés pour des crimes sexuels, qui récidivent dès leur sortie de prison avec davantage d’animosité et de violence. Plusieurs pays ont opté pour la castration chimique afin de désactiver la partie du cerveau qui contrôle la libido ; cependant, il n’a pas encore été démontré que le contrôle des pulsions libidinales empêche les agressions sur les mineurs. Tandis que les pédophiles s’organisent en partis politiques et créent des réseaux de promotion des relations sexuelles infantiles, auxquels viennent se greffer quelques « hommes normaux », on estime que seulement un cas de viol sur trente-six est dénoncé. Les rapports de l’UNICEF affirment qu’environ 1,2 million d’enfants dans le monde sont victimes de l’exploitation infantile. Que se passera-t-il si rien n’est fait pour enrayer ce courant, qui tend vers une normalisation des viols à l’encontre des mineurs ?
Lydia Cacho, Trafics.
Source : http://bouddhanar.blogspot.com/2012/12/pedophilie-mythes-et-realites.html
Le député Belge Laurent Louis denonce l’ILBD :
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xw2p3t_le-depute-belge-laurent-louis-denonce-la-fete-des-pedophiles-du-22-decembre_news[/dailymotion]
(Cette vidéo est archivée ICI)
Prochaine célébration le 21 Juin ainsi que le 22 Décembre.
International Boy Love Day.
Mars 31, 2008
Les chiffres concernant la pédophilie grimpent. En théorie, cela indique une augmentation des violences sexuelles commises sur des mineurs au fils des années. Je serais plutôt partisan du fait que, comme beaucoup de chose, la pédophilie devient de moins en moins tabou avec le temps et que les victimes ont ainsi plus de facilités à dénoncer ce qu’ils ont vécus.
Le titre de cet article est « International Boy Love Day », et c’est sur ce phénomène que je souhaite attirer l’attention, à commencer par une petite explication de cela. La pédophilie se divise en plusieurs branches, et on retrouve également plusieurs catégories de pédophiles. Pour faire simple, je vais résumer ces catégories en deux sections : nous retrouvons d’un côté les pédophiles abstinents, c’est-à-dire des personnes souffrants d’attirance sexuelle envers de jeunes enfants, mais n’étant jamais passé à l’acte et n’ayant pas l’intention de le faire pour des raisons diverses. L’autre section concerne les pédophiles actifs, c’est-à-dire des personnes abusant sexuellement des enfants. Parmi eux, nous pouvons également distinguer deux autres sections : les Boy Lovers (les pédophiles attirés par les jeunes garçons) et les Girl Lovers (au contraire ce sont les pédophiles attirés par les jeunes filles). Des définitions plus complexes et complètes existent, et bien sur elles varient… En conséquence, l’International Boy Love Day est une fête organisée par des pédophiles en l’honneur des petits garçons, mais pas dans le sens que le voudrait la société.
Alice Day. « Alice aux Pays des Merveilles ».
Cette fameuse fête est double, et la première partie sera célébré prochainement, le 25 avril, et tout les ans à la même époque, car il s’agit là d’une date symbolique, le « jour d’Alice ». Car c’est en effet ce jour, le 25 avril 1856, que l’auteur Lewis Carroll, de son vrai nom Charles Dodgson, fait la rencontre d’une petite fille, Alice Liddell, qui inspira son œuvre encore célèbre de nos jours, « Alice aux Pays des Merveilles ». On peut parler pour cette date de « l’Alice Day », car ce jour les pédophiles fêteront leur préférence pour les petites filles. Pour les garçons, il s’agit là aussi d’une date récurrente, le premier samedi suivant le solstice d’été. Cette fois-ci, les pédophiles ayant une préférence pour les garçons allument publiquement, mais discrètement, une bougie bleue.
Face à cela que faire. Il y a déjà un constat à prendre en considération, c’est que le public dans sa grande majorité n’a pas connaissance de l’existence de cette fête. En conséquence, il faut donc dans un premier temps la faire connaître. Ensuite il faut agir contre elle, en organisant des contre-manifestations, comme c’est le cas à l’étranger avec l’Italie l’an dernier notamment. C’est pour cela que sera organisée sur Paris, le vendredi 25 avril 2008, une contre-manifestation française grâce à l’impulsion donnée par Stéphanie Tacquet et aux associations partenaires de son projet, « Une Maman contre l’Inconcevable », dont la liste se trouve ci-dessous.
Je vous invite donc à vous rendre ce jour-là pour manifester (sous réserve). N’oublions pas que la pédophilie ne reculera pas sans une participation de toute la population, qui commence par une prise de conscience de l’ampleur du problème et de mettre fin au tabou entourant ce fléau…
Julien SAUVION, Président de l’association « Lutte Anti-Pédophilie »
source : http://associationlap.wordpress.com/2008/03/31/international-boy-love-day/
Rechercher la bougie bleu… Un pédo est au bout.
22 Décembre 2012 – Dites NON aux réseaux Pédocriminels !
Face à cette abomination, le RRR (via Jessica) décide de créer une marche pour dénoncer cette fête. RDV demain Place du Châtelet à 14h00 !!
GOOGLE : ???
Nous re-postons l’explicatif de l’IBLD avec la comparaison des photos Google d’aujourd’hui et du 22 décembre dernier. Sur chaque illustration se trouve un enfant, aussi bien le 22 décembre 2012 que le 21 juin 2013.
22 decembre 2013 : l’International Boy Love Day sur Google.
21 juin 2013 : Des enfants sur Google pour l’International Boy Love Day.
Source : Publié par Djé Lepeuple
Solstice :
Une année connaît deux solstices : le premier proche du 21 juin, le deuxième proche du 21 décembre. Par extension, les solstices désignent les jours de l’année pendant lesquels ils se produisent. La date des solstices correspond au début de l’été ou de l’hiver astronomique.