/!\ Flash express RRR : Suite dans l’affaire Janett Seemann: Prison et… …asile psychiatrique ?! (RRR, 22 Décembre 2012)

Share Button

Janett Seemann a fait une demande de libération auprès de Gérard Flamant, le juge d’instruction, le 13 décembre.

Jeudi 20 décembre, elle apprenait le rejet de sa demande.

Mais pour le comble, la jeune activiste apprenait également la décision du juge d’instruction de lui imposer une expertise psychiatrique ! Janett Seemann, enquêtrice indépendante, doit-elle vivre le même cauchemar que certaines mamans opprimées interviewées par elle et son compagnon ?

Ainsi, xx (affaire des cd roms de Zandvoort) avait été internée de force après une incarcération en préventive. Il en fut de même pour Sandrine Gachadoat, la dernière maman opprimée par le terrorisme d’Etat que le couple d’activiste avait interviewée.

Dans les deux cas, ces victimes de la terreur d’Etat ont subies un traitement chimique qui leur a laissé de sérieuses séquelles.

Notons donc que le procureur Philippe Coindeau n’est pas seul dans son délire criminel, mais que le juge d’instruction Gérard Flamant est désormais formellement identifié comme faisant partie du lot des imposteurs en robe noire, coutumiers de mesures terroristes.

0002

Au lieu de reconnaître la violation des droits élémentaires de Janett Seemann, et de donner suite favorable à sa demande, il l’enfonce un peu plus, et entend manifestement la faire déclarer folle, elle aussi.

Concernant l’expert désigné, nous ne connaissons pour le moment que son nom : le docteur Sam Hamidi, de la Rochelle ; nous ne tarderons pas à être fixé pour le reste.

Rappel des faits.

Janett Seemann, 34 ans, citoyenne allemande, activiste pour la cause des enfants victimes des réseaux de criminels pédophiles et sataniques, est incarcérée abusivement en détention « provisoire » depuis le 25 octobre 2012, à la prison de Saintes (Charente Maritime) suite à son arrestation survenue le 23 octobre 2012 à Besançon.

0003

C’est en raison de ses activités d’enquêtrice indépendante à contre-courant qu’elle a été :

- Arrêtée avec des violences policières parfaitement injustifiées

- Sujette à des sévices physiques et psychologiques commis en garde à vue

- Incarcérée abusivement sous une accusation frauduleusement mise en forme, et donc en l’absence de toute « absolue nécessité »

- Sujette, avec d’autres personnes injustement inquiétées, à une campagne de presse calomnieuse organisée par le procureur à l’origine des dites poursuites prétendues judiciaires et de ces incarcérations abusives.

Il ressort de cette affaire que Janett Seemann avait en réalité participé à une enquête indépendante qui concernait indirectement ce même procureur ; Philippe Coindeau, procureur de Saintes.

Janett Seemann est, du coup, accusée par ce procureur de faire partie d’une « association de malfaiteurs en projet de commettre un multiple kidnapping ».

L’infraction, classée crime, est le fruit d’une instrumentalisation crapuleuse de la part du procureur de Saintes, de notes saisies par les gendarmes ; des notes rédigées au brouillon par le compagnon de Janett Seemann, Stan Maillaud (porté disparu depuis le 22 septembre 2012) et qui concernaient en réalité les phases des enquêtes clandestines menées par le couple d’activiste.

La machination du procureur de Saintes est flagrante, dans le but manifeste de protéger un probable réseau local pour lequel il serait déjà intervenu des années auparavant, et de neutraliser des activistes trop gênants.

Dans le même esprit et dans le cadre de cette machination, le procureur de Saintes a également abusé de ses fonctions et de son pouvoir pour faire arrêter et incarcérer d’office une mère de famille déjà opprimée par lui, Sandrine Gachadoat.

La femme était justement, avec certains acteurs judiciaires plus que douteux, au cœur de cette énième enquête clandestine faite par Janett Seemann et Stan Maillaud, en été 2012.

Le thème général de cette enquête concerne les violences judiciaires faites à des enfants victimes de violences sexuelles et à leurs parents protecteurs, en France, de façon systémique et récurrente.

Des faits gravissimes dénoncés en 2003 par un rapporteur spécial de l’ONU, Juan Miguel Petit, et niés par nos dirigeants.

L’activisme sur la brèche :

Nous sommes à la veille de la marche blanche pour Janett Seemann, qui doit se dérouler samedi 22 place du Chatelet à Paris, à 14 heures. Avec le double objet de dénoncer la journée internationale des pédophiles amateurs de petits garçons, « l’International Boy Love Day », célébrée ce même jour avec la complaisance de nos prétendus dirigeants.

La nouvelle concernant les derniers forfaits contre Janett Seemann vient de tomber, et les dents commencent à grincer sérieusement. Le mot d’ordre, qui accompagne le relaie de cette nouvelle, est l’appel au calme pour la marche blanche.

Mais, pour autant, personne encore ne peut spéculer sur la tournure que prendra cette sinistre affaire. Il est fort à parier que, cette fois, ça ne se déroulera pas comme le prévoient les adeptes de l’abus de pouvoir et des mesures terroristes :

Dans leur sentiment d’impunité et de toute puissance, ils occultent un détail : les projecteurs sont braqués sur eux et leurs manigances crapuleuses, et de nouveaux s’allument chaque jour…

Source: http://smrrr.wordpress.com/2012/12/22/flash-express-suite-dans-laffaire-janett-seemann/

 

Laisser un commentaire