Affaire Janett Seemann : Entre terreur d’Etat et propagande (RRR, 1° Janvier 2013)

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Au passage du nouvel an, la situation est loin de s’arranger pour Janett Seemann. L’enquêtrice indépendante avait présenté une demande de libération le 13 décembre 2012, laquelle fut rejetée le 19 décembre par le juge d’instruction Gérard Flamant.

Janett Seemann passe donc les fêtes de fin d’années dans sa cellule. Elle fit savoir, lors d’une courte conversation téléphonique avec son frère Christian, que son moral flanchait. Et on l’imagine sans peine…

Car, au comble du machiavélisme, le jour où l’activiste pour les Droits de l’Enfant apprenait le rejet de sa demande de libération, elle apprenait devoir se soumettre à une expertise psychiatrique ! Il lui fut précisé que celle-ci interviendrait avant la fin février. Et cette précision n’est pas innocente, s’agissant d’un sous-entendu qui confirme cette « condamnation d’office » à quatre mois de « détention provisoire » à l’encontre de Janett Seemann.

C’était d’ailleurs la seule information que les parents de Janett Seemann, s’enquérant fin octobre du sort de leur fille auprès de leur consulat, reçurent en réponse.

La question que tous les amis et soutiens de Janett Seemann – chaque jours plus nombreux – se posent aujourd’hui : l’enquêtrice indépendante doit-elle vivre à son tour l’enfer de victimes du « terrorisme d’Etat » qu’elle et son compagnon Stan Maillaud avaient interviewées ? Rappelons-nous du sort réservé à xx (affaire des cd rom de Zandvoort, voire « les réseaux de l’horreur ») et plus récemment à Sandrine Gachadoat, une nouvelle fois emprisonnée par le procureur Coindeau : les malheureuses mères déchues, après l’incarcération en « préventive », avaient subies l’internement avec camisole chimique, et en gardent de sérieuses séquelles.

Mais la cerise sur le gâteau dans cette infamie est que « l’expert » désigné par le prétendu juge d’instruction Gérard Flamant n’est qu’un simple psychologue, un certain Sam HAMIDI de la Rochelle, absolument pas habilité pour rendre la moindre expertise psychiatrique, et donc pas inscrit sur la liste des experts judiciaires.

Rien n’arrête les « imposteurs en robe noire », – dénoncés par Stan Maillaud – pas même l’usurpation de fonction de leurs complices du rayon « terreur psychiatrique ».

La propagande

Indiscutablement, nous découvrons l’existence d’une véritable guerre, entre ces réseaux, tout puissants et impunis qui semblent bien protégés par l’Etat, et les rares citoyens qui tentent de dénoncer cela. Une guerre sourde qui, initialement, s’appliquait manifestement sur des enfants victimes de violences sexuelles et les adultes protecteurs, essentiellement parents et médecins. (voire le rapport fait en 2003 par le rapporteur spécial de l’ONU Juan Miguel Petit).

Comme dans toute guerre il y a un volet communication et propagande. Janett Seemann et son conjoint Stan Maillaud sont rentrés dans cette guerre en tentant d’en révéler la réalité. Une réalité dans laquelle Stan Maillaud fut initialement plongé, bien malgré lui, lors de « l’affaire Vincent », en 2006.

Le couple d’activiste subit actuellement, entre autre effets du « terrorisme d’Etat » – terminologie utilisée par Stan Maillaud – de véritables propagandes, via la presse officielle.

Ainsi, nous avions apprécié à sa juste valeur la campagne de presse parfaitement diffamante organisée par le procureur de Saintes, essentiellement par le biais de la presse régionale, à l’encontre des citoyens activistes contre lesquels il a initié de prétendues poursuites judiciaires.

(Voire le dossier « Affaire Janett Seemann ; revue de presse et droit de réponse » : http://www.lesamisdestanmaillaud.org/blog/rrr-dossier-revue-de-presse-et-droit-de-reponse-dans-l-affaire-janett-seemann-9-decembre-2012.html.)

Nous constations les gravissimes violations de Droits de l’Homme, principalement en matière de présomption d’innocence, commises par le procureur Philippe Coindeau de Saintes, dans le cadre de « son » accusation d’ « association de malfaiteurs en projet de kidnappping ».

Car, le plus grave dans ce genre de procédé – punissable par la Loi, en théorie…- concerne les efforts déployés par une personne, pour le comble, dépositaire de l’autorité publique pour, avant tout jugement, influencer le public, si curieusement saisi, et enfoncer les accusés. La calomnie étant, en outre, flagrante dans les attaques médiatiques du procureur en question.

Nous constatons aujourd’hui que celui-ci et son comparse prétendu juge d’instruction bénéficient d’un soutien malsain qui s’élargit au niveau de la presse parisienne, qui leur emboite le pas sans aucune vergogne.

Le 21 décembre dernier, le Parisien venait s’illustrer donc sinistrement avec un double article dont les seuls titres constituent une honte envers le journalisme.

Le grand-père de Stan Maillaud, Pierre Maillaud – jeune ministre qui fondat l’AFP après avoir été l’une des voix de la Résistance à Radio Londres pour ensuite libérer la presse de son « autorisation préalable » – doit se retourner dans sa tombe…

« Les dangers de l’activisme antipédophile »

De quels dangers s’agirait-il ? Peut-être que la bonne question à se poser est plutôt : Qui donc, se sent en danger, et pourquoi ?

Car, nous constatons tous que l’affaire des « kidnappeurs de Montendre » n’est qu’une sombre machination.

Pourtant, bien loin de relever les faits révoltants et terrifiants qui sont l’essence réelle de l’affaire citée, comme on pourrait l’espérer d’un journaliste intègre, ça n’est donc pas ce qui préoccupe l’auteur de l’article.

L’article n’est donc pas rédigé pour informer, mais bien pour désinformer, et calomnier.

Développant dans le vide, sur une affaire montée de toutes pièces, le pseudo journaliste veut nous passer un message : « l’activisme anti-pédophile » serait un danger, plus grand que la pédocriminalité – et ses réseaux protégés, dont on ne parlera donc résolument pas.

Nous comprendrions un article pour nous mettre en garde contre des dérives commises par « certains activistes ». Si seulement les dérives avaient été attestées, et que leurs auteurs aient été jugés et condamnés, de façon définitive. Mais, nous aurions demandé tout de même à comprendre ce qui aurait alors provoqué de telles dérives, le cas échéant, et si réellement il n’y aurait pas eu en amont de celles-ci et à titre de circonstances atténuantes, des réalités bien inavouables et passées sous silence.

Mais nous n’y sommes pas. Car de dérives, il n’y a que celles d’une poignée de magistrats de province, impunis dans des abus de pouvoir particulièrement grave. Et aujourd’hui, celle d’un pseudo journaliste au nom de Nicolas Jacquard…

Le commando de kidnappeurs…

Qu’apporte donc ce pseudo journaliste, en termes d’élément nouveaux, par rapport aux affirmations du procureur de Saintes, clamées avec autorité dès le début d’une prétendue instruction ? Mais rien, bien sûr. Il y fait juste écho … «Ils avaient mis en place un schéma à l’organisation toute militaire, décrit Philippe Coindeau, le procureur de Saintes. Un véritable commando était prêt à s’emparer des enfants.»

…Sans se soucier de la moindre vérification. Il n’est, de toute évidence, pas là pour ça. Notre pseudo journaliste accuse donc, lui aussi, gratuitement, traitant Janett Seemann, son compagnon Stan Maillaud et leurs amis, de membres d’un « commando de kidnappeurs d’enfants ».

En France, il suffit de soutenir une affirmation mensongère, de la faire appuyer par quelques journalistes véreux, et on peut se permettre de garder aux fers une parfaite innocente des mois entiers.

Nicolas Jacquard argue en soutenant qu’il y avait un précédent à l’encontre de Stan Maillaud, s’agissant de l’aide qu’il tenta d’apporter au petit Vincent en 2006. Le mensonge illustre l’anecdote, une fois de plus. Car Nicolas Jacquard ose parler de « kidnapping » du petit Vincent ! Là, les adultes accusés par l’enfant écrasé par « la justice », ont la parole. Pour se poser en victimes, évidemment. Mais précisons, puisque cela a été négligé par notre pseudo journaliste, qu’il fut tout ce même reconnu en pleine audience publique, le jour de la condamnation de Stan Maillaud pour « soustraction de mineur », que ledit mineur avait bien été victime de violences sexuelles !… (Voire le livre en PDF sur le site « pedopolis » : « L’affaire Vincent ; au cœur du terrorisme d’Etat » : http://www.scribd.com/doc/82422329/Au-coeur-du-terrorisme-d-etat-S-Maillaud.)

Ici, l’accusation déclame, avec les supports complices d’usage, pour convaincre de sa pertinence. L’énergie déployée si fébrilement trahit une perte de sang-froid très encourageante pour ceux qui veulent vérité et justice.

Car, il est trop flagrant qu’enfoncer les accusés avant tout procès est donc le premier objectif de l’article. Le second objectif est plus insidieux, et plus général : Les lecteurs devraient comprendre que « l’activisme anti-pédophile » se réduirait à ce « commando de kidnappeurs d’enfants », imaginé par Philippe Coindeau, pseudo procureur de Saintes. Et que ce commando serait en fait sous l’autorité – et de l’initiative – d’un « chef charismatique et mythomane » !

Le gourou mythomane, chef du commando kidnappeur… …et de « l’activisme antipédophile »

Petite parenthèse pour dire que nous aimerions connaître les sources de l’auteur de l’article, concernant la mythomanie de monsieur Maillaud. Car, traiter de mythomane quelqu’un qui dénonce ce qui ne doit manifestement pas être dénoncé, est un peu trop facile comme façon de botter en touche et de ridiculiser le lanceur d’alerte.

« En but à de nombreux conflits avec des collègues et sa hiérarchie, il aurait en fait été révoqué, diagnostiqué mythomane et paranoïaque. »

Heureusement que notre pseudo journaliste prend la précaution d’employer ici le conditionnel.

Car, le gendarme Maillaud n’a jamais été « diagnostiqué », ni « mythomane », ni « paranoïaque », pas plus qu’il n’a été révoqué. Quant aux nombreux conflits avec ses collègues et sa hiérarchie, il s’agit d’un pur mensonge. Il y eut un conflit majeur, et pas des moindres : au cours d’un séjour en Guyane française, le gendarme Maillaud s’était insurgé contre des pratiques – entre autres pédophiles – faites sur les populations locales, par ses propres collègues et supérieurs. Si notre pseudo journaliste avait cherché à vérifier « ses » informations, il aurait découvert que, malgré une tentative d’établir la « mythomanie » du gendarme Maillaud, sa hiérarchie s’était alors, contre toute attente, faite moucher avec un rapport d’expertise le classant P1 (psychologiquement parfait). Et que le gendarme Maillaud effectua alors une démission associée à une mutation inter-armée, au 1er RPIMa de Bayonne. (Unité des forces spéciales, dans laquelle il n’aurait jamais pu entrer s’il avait été révoqué de la gendarmerie, ce qui aurait rendu toute mutation inter-armée impossible. Et sa « peur du vide » n’était naturellement qu’une boutade. Mais NJ n’a pas grand-chose à se mettre sous la dent, il faut le comprendre…)

Et que depuis, et malgré de nombreux autres procès d’intentions qui s’appuyèrent sur des annotations gendarmiques malgré tout bien persistantes, jamais aucune expertise n’était intervenue pour établir quelque trouble que ce soit concernant la psyché du personnage.

Le message subliminal, à travers la calomnie gratuite assénée à Stan Maillaud sur fond de plat réchauffé – et avarié -, c’est que : le personnage étant « mythomane », il ne vivrait pas dans la réalité, et s’inventerait donc les réseaux pédophiles qu’il prétendrait combattre. Ou qu’il tente de dénoncer, avec sa compagne Janett Seemann, au péril de leur vie, pour être plus factuel.

Ceci nous inspire une interrogation, parmi tant d’autres :

Aurions-nous besoin, nous, citoyens conscients et responsables, d’un « chef charismatique » pour nous révolter contre les monstruosités dont sont coutumiers certains cercles de notables, sur nos enfants ? Nous ne pouvons que remercier ce genre de « mytho », d’avoir, avec sa compagne, toujours incarcérée, accepté de payer de sa personne pour nous alerter sur une réalité épouvantable, et si formellement étouffée.

Le chef charismatique et mythomane… … « au vert », selon « des soutiens »

Quel soulagement, pour bien des citoyens que de savoir Stan Maillaud sain et sauf !

Mais, pourrions-nous connaitre les sources et avoir plus de précisions ? Car, si l’information venait d’un « soutien », vu le climat de propagande, il serait pertinent de se demander s’il s’agit vraiment d’un « soutien »… Il importe de savoir donc s’il s’agit d’information ou d’intox, là encore. L’activiste pourrait-il vraiment rester benoitement « au vert », sachant le calvaire qu’endure sa bien-aimée ? Car, inspirée par une telle information, après le soulagement, la déception gâcherait l’histoire, déjà sordide… Si, par contre, il s’agissait d’une intox de plus, nous n’y trouverions rien d’illogique, imaginant sans peine son intérêt pour certains, au titre de la manœuvre de discrédit, les « absents » ayant toujours tort.

Mais nous devons rester forts, quelque-soit la vérité : Si Stan Maillaud – que l’on croyait au minimum pris et aux fers- est terré comme un lâche au fond d’un trou, ou coule une retraite paisible, sur une île du pacifique et entouré de vahinés, pas plus intéressé que ça par le sort de sa compagne et par la cause qu’il prétendait défendre, nous avons effectivement le droit de le savoir !

Merci donc au pseudo journaliste d’aller jusqu’au bout de son « travail », et de nous indiquer la fiabilité de ses sources et de son information. A moins qu’il ne veuille pas en dire plus, pour éviter plus d’ennuis à monsieur Maillaud, la cible facile de ses calomnies ?…

L’activisme antipédophile en question…

« Ils aiment les surnoms et les sigles… ». Comprenez : « Bande d’attardés mentaux ! ».

Mais, si tous ceux qui s’insurgent contre la « criminalité sur enfants en réseau protégé » ne sont pas concernés, ceux qui devraient se sentir visés ne sont pas pour autant si attachés aux sigles, du moins pas à tous les sigles. Ainsi, ils ne semblent pas apprécier plus que ça les sigles du BLD (« l’international Boy Love Day ») ou du GLD (international Girl Love Day »), allez savoir pourquoi…

Notons au passage que, par contre, ce genre d’activisme pédocriminel ne dérange pas du tout notre pseudo journaliste, bien respectueux sur le sujet pour lequel, du coup, il ne se risque pas au moindre commentaire. Il était tout de même au courant, puisque interpelé par la contre-manifestation prévue pour le lendemain au point de prétendre « couvrir l’information ».

Ceci dit, notre pseudo journaliste, en tout cas, aime quant à lui les confusions et les sarcasmes gratuits – et partiaux. Notons que le « chef charismatique mythomane » est représenté par une photo vieille de plus de dix ans, manifestement prise quand il était patron de son agence de sécurité sur l’île de la Réunion. D’où la cravate sur col blanc. Il semblerait que le pseudo journaliste cherchait par-là à donner un air un peu plus « gourou » au « sujet » de ses railleries, en utilisant cette belle photo d’époque hors de son contexte.

Informons d’ailleurs, au passage, le pseudo journaliste – mais surtout ses lecteurs infortunés -, qu’à la date de cette jolie photo le RRR n’existait pas. L’ancien gendarme était alors chef d’entreprise – certes fort controversé – et totalement étranger au milieu activiste. Le RRR ne fut créé qu’après 2006, suite à « l’affaire Vincent ».

Quant au RRR (Ralliement des Résistants pour la Révolution), ce mouvement « séditieux et dangereux » qu’il faudrait « démanteler », les attaques ineptes auraient plutôt l’effet de le faire connaître, avec ses raisons d’être. Comme dirait un certain affairiste publicitaire amateur de Rolex, « qu’on en parle en bien ou en mal, le principal c’est qu’on en parle… »

Conclusion :

Faire passer « l’activisme anti pédocriminel » comme n’étant que les délires d’un « dangereux mythomane » suivi dans ses dits « délires » par quelques « adeptes » à côté de leurs pompes ; tel semble être l’objectif de ce charmant article.

Nicolas Jacquard nous indique que d’après un mystérieux magistrat qui croisa Stan Maillaud – et on ne lui connait effectivement pas de fans dans ce milieu « Il n’a pas de mal à rallier des gens désoeuvrés, en quête de combats à mener, qui se retrouvent dans les théories conspirationnistes qu’il développe sur Internet.»

Merci de nous rappeler, à nous autres désoeuvrés, que l’existence des « réseaux de l’horreur » n’est qu’une théorie conspirationniste, et les photos d’enfants que l’on peut voir violés et torturés dans ce reportage de Stan Maillaud et Janett Seemann, le fruit d’une légende urbaine, sans doute.

On ne comprend d’ailleurs pas trop quel peut bien être le public visé par le pseudo journaliste NJ, tellement la tentative est flagrante et maladroite, tellement elle transpire la panique, témoignant ouvertement d’une prise de position odieuse de son auteur.

Quelques citoyens ont, du reste, constaté que seuls les commentaires allant dans le sens du pseudo journaliste passaient sur le site dudit journal ; ce qui témoigne de l’ampleur des réactions humaines qu’il convient manifestement de dissimuler, et donc de la tragique erreur stratégique du « lobby » commanditaire de l’article et de son larbin de service du jour.

Maintenant que nous avons assez ri avec notre pseudo journaliste, soulevons une ou deux questions plus sérieuses à insérer dans nos réflexions et résolutions pour la nouvelle année :

Est-ce tolérable de voir nos élans citoyens contre les pratiques de crimes sexuels commis en réseau sur nos enfants, tournés en ridicule par ceux qui contrôlent à leur petit niveau l’information, prétendant justement sous ce prétexte, nous informer ?

Pouvons-nous tolérer plus longtemps cette instrumentalisation de nos institutions, entre politique, justice et médias, en faveur des notables criminels adeptes des pires crimes imaginables commis en réseau sur nos enfants ?

N’est-il pas de notre devoir, à nous, citoyens, de nous organiser sérieusement pour obtenir Vérité et Justice, coûte que coûte ?

Devons-nous d’ailleurs accepter cet étiquetage « d’activisme anti-pédophile », alors qu’il ne s’agit pour nous tous que d’exiger Vérité et Justice, en commençant par dénoncer les criminels et les imposteurs ? (Car, nous l’avons compris, en couverture de ces malades mentaux de criminels « de la haute », les premiers coupables sont bien ceux qui instrumentalisent leurs pouvoirs et fonctions pour protéger ces « réseaux de l’horreur », et en écraser les petites victimes et leurs protecteurs.)

Assurément, non. L’Humanité, par définition, est activiste anti-pédophile, anti-réseaux de monstres criminels, notables et autres, qui osent s’en prendre – directement ou indirectement- aux enfants !

Elle, cette Humanité – vous ! Qui avez été si maladroitement pris à témoin par les imposteurs eux-mêmes ! – sait maintenant un peu mieux de quoi il en retourne.

Quant au misérable auteur de ce torchon, qui use et abuse de sa petite fonction, qui trahit cette confiance qu’il reçoit de nous tous pour prétendre nous informer ; il se trahit également lui-même, fort maladroitement. Il nous offre ainsi de l’inscrire sur une liste abjecte, avec les cohortes de magistrats et de politiciens concernés.

Une liste affolante, interminable, qui recense ce que notre Humanité, du coup en phase de réveil et d’alerte, doit combattre de plus insoutenable et de plus odieux, et éradiquer ! Avec ou sans sigle…

En ce dernier jour de l’an 2012, saluons l’admirable courage de Janett Seemann, aux fers depuis maintenant soixante-dix jours pour avoir osé enquêter sur ces imposteurs et leurs protégés.

 

Ecrire à Janett Seemann :

Ecrou N°17292W Maison d’Arrêt – 59 bis rue Arc de Triomphe – BP 311 – 17107 Saintes Cedex

La soutenir financièrement :

Son compte personnel : Iban : DE 24 2509 0500 0005 227500, BIC : GENODEF 1 S 09

Source: http://smrrr.wordpress.com/2013/01/01/affaire-janett-seemann-entre-terreur-detat-et-propagande/

 

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