Dondevamos Appel d’une victime de réseau pédo satanique français, pour qu’on ouvre les yeux !

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Voici ce qu’a écrit une victime de ces réseaux pédocriminels et sataniques qui font la loi en france, et engloutissent les enfants dans les pires souffrances. J’ai seulement enlevé quelques passages pour son anonymat:

 

 » J’ai été torturée, violée, battue, humiliée, prostituée par mes parents adoptifs, par des membres de cette famille, et par de nombreuses autres personnes…

Aujourd’hui, je sais que j’ai été victime d’un réseau pédocriminel satanique

C’est mon histoire, c’est mon passé, c’est mon présent, c’est mon futur…

Mais je sais que plus rien ne sera comme avant…

Pour arriver à écrire ces quelques lignes, il m’a fallu beaucoup de temps…

(…)

Pendant toutes ces années, obsédée nuit et jour par des images horribles qui ne demandent pas la permission pour surgir, je n’ai d’autre solution pour me soulager de ce « harcèlement », à moins de me dissoudre dans la haine que d’essayer de comprendre.

Afin d’affronter et d’apprivoiser mes vieux démons, j’ose enfin pénétrer mon passé avec des mots parfois impuissants et fragiles à exprimer l’inimaginable et l’effroyable.

Dans mes jours noirs, je fuis pour ne pas tomber dans la haine.

Dans le sillage de mes bourreaux en costumes cravates, souvent, j’aperçois ces petits anges torturés, humiliés, sacrifiés…

Au cœur de cette douleur, personne ne peut m’atteindre et me rejoindre.

Les conséquences des maltraitances subies m’ont réduite à n’être qu’une plaie béante et mon corps en a gardé des séquelles physiques irréversibles.

A l’heure, où j’aurais dû rêver de devenir danseuse étoile ou clown, je portais déjà en moi cette souillure.

Tout au long de mon enfance, j’ai rêvé d’une autre vie, mais la vie a brisé mes rêves…

J’ai rêvé d’un cœur si grand que le mien puisse y trouver place, mais mon premier « prince charmant » fut l’assassin de mon enfance…

J’ai parlé, mais la vérité reste cachée.

Le chemin de la vérité est long lorsque la justice n’est pas libre !

j’ai erré dans la vie comme un vagabond, seule. L’horreur me dépasse et leurs cris déchirent ma vie.

Le jour se lève, la nuit tombe et dans mon cœur rien ne change.

Dans mes doutes cachés et mes instants désarmés, l’enfant écorchée que je suis, cherche à se réfugier. A travers les maux, je me laisse mourir et pourtant, j’ai tant à dire. Nouée de peur à vivre, mes mots se brûlent, mes maux se dissimulent dans la morsure des souvenirs.

J’ai consulté des thérapeutes, nombreux ceux qui m’ont demandé de ne pas parler de mon enfer. Peut être parce que cette réalité est intolérable, fait peur et paraît irréelle ?

Je peux affirmer qu’il existe un réseau international pédocriminel avec un fonctionnement et une hiérarchie fortement structurée.

Cependant, l’insoutenable doit-il nous faire fermer les yeux ?

NON, ne le faites pas, je vous en supplie, parce que lorsque vous fermez les yeux, un enfant meurt ou disparaît…

Et cet enfant peut être ou devenir votre fille, votre garçon, votre petite fille ou votre petit fils, votre nièce, votre voisin, un ami…

Devant l’impuissance du corps médical, et le refus de certaines personnes à me croire, je suis sortie peu à peu de mes ténèbres afin de me battre pour faire éclater la vérité. Beaucoup diront que ce récit relève de la science fiction voire de la mythomanie ou pire encore, mais je suis désormais prête à en prendre le risque. Je sais ce que j’ai vécu et il faudra que la société accepte cette réalité.

Au fil des mois, j’apprends à vivre…

Depuis maintenant trois ans, une prise en charge thérapeutique, psychologique et psychiatrique ont été mises en place afin que je puisse extérioriser toutes les horreurs dont j’ai été victime et témoin.

Cependant quelques questions m’obsèdent :

Qui sera prêt à entendre les voix de toutes les victimes ?

Quel juge, quel procureur, quel avocat, quel politique, quel citoyen acceptera d’entendre ce que nous avons à dire et nous aider afin que cesse ces massacres ?

Savez vous ce que deviennent les centaines d’enfants qu disparaissent en France*, au Portugal, en Belgique, en Europe, en Italie ?

Moi je le sais, car j’en ai vu des dizaines, des centaines de tous âges, violés, torturés, massacrés, assassinés par des illuminés que les statuts sociaux épargnent de tous soupçons.

*En 2000, le chiffre du Ministère de la Justice Française était de plus de 800 qui ne sont jamais rentrés à la maison.

En 2004, il y en avait plus de 600.

De nos jours, la pédophilie est devenue un cancer social car au-delà de la perversion individuelle, il s’agit de combattre les personnes et parfois même des institutions entières qui, derrière leur fonction sociale légitimée et respectée, protègent et donc cautionnent la pédocriminalité sous toutes ses formes.

Ne fermez pas les yeux sur tous ces bébés, enfants, jeunes qui sont morts et qui continuent à mourir à cause de la barbarie d’hommes et de femmes.

Donnons-leur le droit d’avoir une sépulture et donnez moi le droit de retrouver ma dignité d’enfant, d’adolescente et de jeune femme…

Malgré tout, j’essaie de continuer à croire en l’homme et en la Vie.

Je sais que demain le soleil brillera, et que dans mon corps la vie refleurira…

Cependant, ma vie n’est que survie mais je suis en train de changer. La mélancolie et la tristesse prennent le pas sur ma révolte.

Je n’en veux à personne, mais je reste profondément marquée par le mépris, la méchanceté, l’attitude de certains.

Comme un prisonnier qui ré apprivoise la liberté, moi, j’ai dû réapprendre à vivre grâce aux mots… Les mots sont des fenêtres qui me permettent de survivre.

Mon combat m’épuise, je me bats pour toutes ces petites victimes, ces petits anges massacrés, torturés, sacrifiés contre des sommes considérables d’argent et tout cela dans « l’ignorance » de notre société et l’indifférence de la justice.

Ne nous oubliez pas

Ne nous murez pas dans notre silence

Ne nous enterrez pas dans notre enfer

N’ayez pas peur de nous

Écoutez ma douleur au nom de leur mémoire.

Écoutez grincer leurs pleurs.

Il y a des voyages d’où l’on ne revient pas…

La vie a voulu me détruire, mais j’ai compris »

Source: http://dondevamos.canalblog.com/archives/2013/01/01/26044954.html

 

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