Souveraineté du Peuple / Dondevamos L’infiltration de la lutte contre les réseaux pédocriminels: un cas concret

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Certains ont suivi les dernières pérégrinations de l’ainé de la fratrie Delay, embarqué en Belgique il y a quelques jours par une équipe belge. Je reviens sur cette histoire, parce qu’il y avait un précédent à Amancey, et il ne faudrait pas que cela recommence. Je trouve cela affligeant de devoir faire le point sur la situation, mais il faut que les choses soient dites. D’autant que les manœuvres continuent.
Reprenons.

L’affaire Outreau a fait parler, et fait parler. Le journaliste Jacques Thomet vient de publier un livre très dérangeant qui remet les choses en place quand aux victimes RÉELLES de cette affaire: de trop nombreux enfants dont une grande partie ont été ignorées. Un documentaire d’un autre journaliste, Serge Garde, évoque cette « autre vérité »: 12 enfants reconnus victimes, notamment de proxénétisme. Mais, seulement quatre coupables, tous des cas sociaux.

Quant aux enfants, les frères Delay sont laissés à l’abandon par les institutions. Pour leur venir en aide, une femme s’est dévouée, et se dévoue encore aujourd’hui. Malgré tout. Parce que ces derniers temps, un groupe s’amuse à semer la zizanie. Voilà les faits:
Le vendredi 29 mars, K. Delay et son frère, qui vivent ensemble dans un appartement, appellent une personne de l’équipe belge, qu’on appellera M. Ils sont déjà en contact depuis un moment, une relation de confiance s’est mise en place.

D’après les belges, c’est M. qui leur a dit que K. était menacé de mort et qu’il fallait venir le chercher en urgence, à 900 km de là. L’équipe arrive vers 2 heures du matin, et prend les deux frères. Ont-ils des documents avec eux ? C’est ce qui a été dit. Quels documents ? Pas grand-chose, vu les données auxquelles les deux frères avaient accès.

Pendant deux jours, personne parmi ceux qui suivent K. et son frère depuis bientôt deux ans ne sait où sont les deux frères. Des explications sont demandées à M. qui dit n’être au courant de rien.

Le lundi, K. m’appelle à deux reprises alors que je discute avec M. afin de comprendre ce qu’il se passe. Il confirme qu’il est en Belgique et que « tout va bien », me redit qu’il est menacé, mais difficile de comprendre pourquoi exactement, vu que la version a changé au fil des jours.

Le lendemain, mardi, K. est renvoyé vers la France pour des raisons de suivi judiciaire. Seulement, au bout de deux jours à Paris, les belges se demandent à nouveau où l’héberger.

outreau-l-autre-veritePendant ce temps, là, le web devient un mini champ de bataille, et des attaques contre ceux qui aident K et son frère ne cessent de tomber : l’un profiterait d’eux pour se faire de l’argent, l’autre pour sa renommée, et en gros personne ne se soucie d’eux. La réalité est cruellement différente, je ne m’étendrai pas là-dessus. K. lui-même s’excite contre tout le monde, finit par se disputer avec son frère resté en Belgique, il n’a plus d’appartement et cherche aujourd’hui de l’argent, paraît-il pour enregistrer un disque.
C’est alors que les belges demandent à me voir. Ils expliquent qu’ils ne connaissent pas du tout l’affaire Outreau, et que quand ils sont partis chercher K. et son frère, ils n’avaient jamais eu de contact direct avec eux.

Selon les belges, K. et son frère auraient fouillé de leur propre initiative dans l’ordinateur de la personne qui les soutient depuis des mois. Ils veulent porter plainte pour une raison obscure, la gendarmerie laisse tomber.

Finalement, rien de grave, disent-ils, après que M. ait tenté de décrédibiliser une fois de plus ceux qui tentent d’aider les frères Delay.

A Amancey, on a le même scénario : les belges débarquent, en disant venir en aide à une victime. Sauf que ladite victime se retrouve encore plus isolée et menacée après leur passage. Moult contradictions se sont fait jour.

Il se trouve qu’en ce moment, l’information sur les réseaux pédocriminels, surtout ceux impliquant des notables, avance bien, rapidement et de manière efficace. Il serait dommage qu’une aventure similaire à Amancey et à celle de K. vienne à nouveau perturber le travail en cours.

Les belges ne sont pas les seuls à mener, consciemment ou non, un travail de sape, d’autres sont dans notre ligne de mire. Mais, ceci est une mise en garde : au premier faux pas, on lâche tout ce que nous savons.

Beaucoup de questions se posent suite à ces « mésaventures », et cela ne me convient absolument pas.
Il a été question de collaboration, mais alors il faut que tout soit clair, il ne faut pas de basses manœuvres.

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Je laisse la parole à un collègue qui était présent à Amancey, lors de cette réunion grandiose qui a fini par quatre arrestations. Une mère de famille est toujours sous les verrous.

J., la compagne de Stan Maillaud, en fuite à l’époque (octobre 2012), voulait organiser un meeting pour savoir ce qu’il était advenu de son compagnon. Djé nous raconte comment les choses se sont passées, ce qui permet de mieux comprendre à qui nous avons à faire.

 

LES BELGES PRENNENT CONTACT

Pendant la préparation de la conférence d’Amancey que J devait donner, un certain P. est rentré en contact avec cette dernière, cet homme se disait belge et être un grand activiste, spécialiste des dossiers Dutroux et Dutroux bis, et plus particulièrement des réseaux pédocriminels.

Selon lui il voulait nous apporter son aide car la Belgique était touchée par la disparition de Stan Maillaud et l’appel au secours de sa compagne. Il nous expliqua qu’il possédait un réseau de diffusion d’information, un média appelé Cineyrgie sur lequel il publiait des articles. Ses dernières publications portaient sur Stan Maillaud, dès la diffusion du message vidéo de J., P. avait déjà publié un article expliquant que des collectifs européens s’étaient mobilisés et étaient héroïquement partis à la recherche de Stan sous l’impulsion des directives de Marcel Vervloesem.

stan_maillaud_amancey_doubsLa première couche de pommade était passée : Rester loin de l’évènement et publier un ou des articles pour prouver son intérêt, entrer en contact avec J en jouant sur la corde sensible (à savoir la disparition de Stan), proposer concrètement son aide (financière, logistique…), nous amadouer en parlant de Marcel Vervloesem (que J connait bien).

Pendant que nous étions sur l’autoroute, j’ai reçu un sms d’un ami qui me disait ne pas vouloir se rendre à Amancey, dont j’avais sollicité la présence une heure auparavant. Il déclina en disant en substance: « attention, je sais de source sûre que les belges cherchent l’incident, l’un d’entre eux est même armé et souhaite votre mort ». J. et moi avons bloqué sur cette phrase, mais nous avons décidé tous les deux de nous rendre dans le Doubs, tout en mettant en place deux consignes simples : ne faire confiance à personne et surtout ne pas se séparer.

Notre trajet fut parsemé de beaucoup de questions entourant ce P. et plus particulièrement ce groupe belge : P., M. et I. Je connaissais M. et I. de nom car je les voyais sur Facebook et j’étais étonné de les voir trainer partout : dans tous les groupes, amies avec tout le monde et surtout elles étaient de sacrés bavardes… Leurs publications concernaient le dossier Dutroux et je ne les voyais pas partager d’articles sur des affaires qui se passaient en France, elles étaient donc très fixées sur leur pays, à savoir la Belgique. Néanmoins à l’époque je trouvais leur relais d’information intéressant.
LE DOUBS :

Une fois dans le Doubs, nous avons visité une des villes concernées afin de trouver un point de rassemblement. Entre temps, P. avait proposé des tas de choses à J., choses qu’elle refusa en bloc à chaque fois (argent, demande de rencontre pour « préparer la conférence » disait-il). J. n’avait pas parlé de ma présence aux belges, ils ne savaient donc pas qu’elle était accompagnée.

P. s’était gentiment infiltré dans la conférence en tentant de se rendre indispensable sur quelques points cruciaux au bon déroulement d’un tel évènement, explications :

> Pendant que nous étions en chemin, P. avait pris soin d’appeler les autorités compétentes afin de mettre en place la conférence de presse, il avait donc sollicité la préfecture de Besançon, appelé la mairie d’Amancey et tentait petit à petit de transformer la conférence de J en une conférence sur l’affaire Dutroux… Il tentait de gagner la confiance de J. en essayant d’organiser l’évènement et en faisant semblant de s’intéresser à la disparition de Stan, mais le pauvre n’était tellement pas dans le coup qu’il ne savait même pas que j’étais présent et que je devais parler d’une affaire. Même au téléphone ces gens ne paraissent pas équilibrés. Par contre ce sont de grands orateurs, surtout P., qui manie presque parfaitement le verbe.

> Un soir, un nouvel appel de P. nous alerta, il nous expliqua que lors de son arrivée dans le Doubs, lui et ses amies s’étaient rendus dans une des gendarmeries des villes concernées et qu’ils y avaient eu un grand entretien, ils auraient même passé une très grosse partie de la journée avec les gendarmes qui les ont également escorté jusqu’à leur hôtel en fin de journée. Pour des spécialistes des réseaux pédocriminels, s’entourer de la gendarmerie soupçonnée par J. d’être à la base de la disparition de son compagnon paraissait plutôt suspect. C’est ce détail qui nous poussa à ne vouloir les rencontrer que le jour de la conférence et pas avant.

0> Deux jours avant la conférence J. terminait son discours et moi le mien puis nous avons rencontré un homme présenté par celui qui nous offrait une logistique dans le Doubs. C’est cet homme, un ancien garde du corps de hautes personnalités, nous a débloqué toutes les autorisations pour faire notre conférence car les tentatives de P. avaient finalement échoué. Certainement que les autorités de Franche-Comté ne comprenaient pas bien pourquoi c’était ce P qui organisait l’évènement alors que l’appel était initialement lancé par J.

Cet homme nous a donc débloqué l’autorisation pour la conférence, l’autorisation pour la manifestation, et a convoqué la presse. Tout ceci 24 heures avant l’évènement qui était déjà prévu depuis une semaine sur Internet. Notre communication fut laborieuse et notre organisation bancale, mais nous avions beaucoup de problèmes à régler et pas grand monde pour nous aider.
CONFERENCE D’AMANCEY

La conférence est rapidement arrivée, tout était prêt et nous avions repris le contrôle sur l’évènement grâce à cet homme qui nous avait apporté son aide. La conférence allait donc bien avoir pour sujet Stan Maillaud et l’affaire du Doubs, ensuite les belges allaient pouvoir parler. Mais priorité à J. Les belges avaient parfaitement compris que nous avions repris le contrôle, ou plutôt ils pensaient que J. avait repris seule le contrôle. Car, ils ne savaient toujours pas que j’étais présent. Le jour de la conférence, tout était prêt, nous nous sommes rapidement rendus à la mairie d’Amancey afin d’y rencontrer le maire qui devait nous montrer la salle et nous devions nous entretenir avec le groupe belge venu en nombre afin de leur expliquer le déroulement de la journée.

Les gendarmes étaient donc en nombre sur les routes menant à Amancey et à Amancey même, nous dévisageant avec insistance. Nous sommes ensuite montés à l’étage et y avons rencontré P., M. et I. Ma première impression fut mauvaise, un grand type s’approchait de J. en lui tendant les bras comme si ils étaient amis depuis longue date. J était gênée mais a accepté ce geste de P, qui lui offre en même temps un nounours ressemblant au Pedo Bear, en lui disant: « tiens, ceci est un présent de la part de personnes qui aiment réellement les enfants » (le nounours est à ma droite sur la vidéo de la conférence).

Les trois belges étaient surpris de me voir et me l’ont rappelé dès qu’ils en avaient l’occasion. P. me l’a même dit en face « je ne sais pas qui tu es, je ne savais pas que J était accompagnée ».

Lorsque J. a prononcé les mots « affaire du Doubs » leur regard à mon égard a changé. M. m’a rapidement posé tout un tas de questions aussi inutiles les unes que les autres, d’ailleurs, vu la stabilité psychologique de cette personne je ne comprenais absolument rien à ce qu’elle racontait, cette femme est impossible à suivre.

tract-stan-janett-sandrine-v2La conférence se déroula normalement jusqu’au passage belge qui connut un petit incident: P. s’en est pris violemment au député belge Laurent Louis qui lui reprochait de beaucoup parler mais de ne pas agir… La réaction de P. fut immédiate, il s’est énervé et est devenu vulgaire, adressant un « ferme ta gueule! » à Laurent Louis qui s’était gentiment déplacé afin de soutenir J. et la victime du Doubs. L’espace de quelques secondes je pense que nous avons pu apercevoir le vrai visage de P, pas celui du grand orateur des lumières, mais celui d’un homme vulgaire qui tente de surfer sur les buzzs du moment afin de s’infiltrer dans les bons mouvements pour les pourrir de l’intérieur.

Le mardi 23 octobre 2012 vers midi, nous sommes arrêtés par la police à Besançon alors que nous nous rendions à une manifestation pour les droits de l’enfance. Nous n’avions prévenu que trois personnes de notre passage à Besançon. Les 3 personnes au courant étaient celui qui nous offrait la logistique, sa femme, et leur ami qui nous avait débloqué la situation lorsque nous sommes arrivés dans le Doubs.
LIBERATION

Lors de ma libération trois semaines plus tard, je comprends vite qu’en seulement trois semaines beaucoup de choses ont changé. Rapidement la victime du Doubs m’a recontacté car Internet lui appris la nouvelle de ma libération, elle m’explique qu’elle est en contact avec M, l’amie de P.

Plus tard, en me connectant sur Internet je vois un article de ce P. sur Cineyrgie qui disait en gros « Que Jérémy ne se fasse pas de soucis, nous avons pris la suite de son travail et avons protégé la victime » bla bla bla !

La vérité, c’est qu’en seulement trois semaines de temps ils ont réussi à manipuler la petite en jouant sur la corde sensible de l’affection dont la victime du Doubs (et toutes ls victimes) manquent cruellement. La victime m’explique aussi que M. lui a raconté qu’elle me connaissait depuis au moins 6 ans, que j’étais quelqu’un de mauvais, que j’avais déjà été inculpé pour viol, que je tentais de me faire un nom et que j’étais un indic de la police. Pour quelqu’un qui passe une journée entière avec la gendarmerie soupçonnée de participer à un réseau de trafic d’enfants, ce mensonge devient une blague.

Je ne souhaite pas m’étaler sur la victime car nous avons conclu de ne pas parler d’elle sur Internet, mais vous vous douterez qu’une personne aussi fragile est forcément facile à manipuler: les sectes opèrent de la même manière, ils repèrent les personnes faibles et les enrôlent ensuite dans leur mouvement.

Il y a des choses que je garde pour moi, mais ce que la victime m’a confié concernant ces belges sont graves. Entre les mensonges et les manipulations qui vont de pair, ils ont également tenté plusieurs fois de rapatrier la victime en Belgique, ce qu’elle a toujours refusé.

lllllCe qui se passe avec Cherif Delay en ce moment est la copie conforme de ce qu’il s’est passé à Amancey. Mais avant de revenir sur l’affaire Outreau, voici les points importants à retenir et à traiter à propos de ces belges.

> Ils ont découvert l’appel de J. sur Internet et ont remarqué que cela faisait du bruit, beaucoup de monde avait relayé l’information, Égalité et Réconciliation, Pedopolis, les réseaux sociaux, nous… et ont aperçu dans cet appel la possibilité de s’approcher des activistes français, la brèche était ouverte.

> Tout d’abord, ils se sont présentés comme des amis de Marcel Vervloesem pour nous amadouer, ensuite ils ont tenté de se rendre indispensables en nous faisant croire qu’ils étaient compétents dans l’organisation d’évènement, P. nous promettait de l’argent car ce dernier semblait ne pas en manquer.

Ce que je trouve étrange c’est que ces belges passent une journée entière avec la gendarmerie soupçonnée de participer à des activités illégales, surtout que cette gendarmerie du Doubs était en collaboration avec la Brigade de Recherche de Poitiers, déjà sur place depuis plusieurs jours également puisque nous étions suivis.

> Pourquoi la police n’était-elle pas venue me chercher chez moi ? Ils savaient très bien où j’étais puisqu’ils me coupaient mes appels passés d’une cabine téléphonique juste à côté de chez moi à Cergy et nous avions une fiche de recherche sur le dos ! Je l’ai vu lors de ma garde à vue, nous étions tous les quatre recherchés, pourtant nous étions tous à des endroits bien précis et connus des forces de l’ordre, l’un de nous habite même en face d’une gendarmerie.

> La personne qui nous a offert la logistique nous avait présentée un ami à lui, ancien garde du corps pour personnalités,qui a débloqué tout ce dont nous avions besoin en deux coups de téléphone. C’est cet homme qui a donné des informations à notre sujet, cet homme qui nous a aidé à organiser l’évènement et je comprends bien mieux aujourd’hui pourquoi c’est allé si rapidement (en vérité je l’ai compris en prison… le temps de réfléchir).

hier-la-facade-du-palais-de-justice-de-besancon-en-cours-de-nettoyage-photo-dr> Un jour, alors que nous étions en train de fumer une cigarette, cet homme et moi, il m’expliqua d’ouvrir les yeux autour de moi et de faire attention à tout, il termina son monologue par: « je peux te dire avec qui tu étais hier soir, ce que tu as fait, où tu es allé et combien de fois tu es sortis pour fumer une cigarette, je sais même que quelqu’un que tu connais s’est garé exactement là-bas, pourtant je n’étais pas présent ! Fais attention autour de toi. »

> Et cet homme, grand ami de celui qui nous offrait la logistique a aujourd’hui disparu, il aurait acheté une voiture et serait parti sans dire où il allait… Dommage, nous devions pratiquer les arts-martiaux ensemble. Il s’intéressait d’ailleurs beaucoup à l’affaire Vincent [un enfant qui a été protégé par plusieurs personnes car victime de viols sans que la Justice ne réagisse. Stan Maillaud met cette affaire à son actif, nd Donde Vamos] jusqu’à ce que je lui parle de l’affaire du Doubs, il était prêt à nous aider, il disait même vouloir se rendre à Perpignan pour voir ce qu’il pouvait faire à propos de l’affaire Vincent. D’ailleurs, cette affaire reviendra souvent, qu’elle soit évoquée par les gens présents à Amancey ou par les gendarmes.

==> Donc, les belges se sont infiltrés dans l’affaire Maillaud, ils ont certainement servi d’indics pour la gendarmerie et nous ont jeté dans la gueule du loup. Ils ont tenté de récupérer la victime du Doubs en passant par des processus de manipulations d’une grande perversité, sont aussi peut être impliqués dans notre incarcération et surtout, ils sont à la base du gros débordement qui suivra l’affaire Maillaud. Ils ont d’abord menti plusieurs fois sur leur site en affirmant savoir où se trouvait Stan, puis en se contredisant par la suite et ont surtout saccagé une cause avec des histoires qui n’avaient pas leur place dans une lutte aussi compliquée.

Suite à ma première vidéo dans laquelle je disais aux belges de se calmer, ils ont arrêté d’écrire leurs mensonges sur Cineyrgie.

Ayant besoin de réponses à mes questions et le temps passant, je décide de doucement reprendre contact avec eux en leur donnant les véritables raisons de mon éloignement (plus que justifié) et je n’ai d’ailleurs jamais eu d’éléments venant de leur part contredisant ces raisons.

J’ai simplement reçu une invitation à me rendre à un grand colloque européen avec plusieurs activistes, dont Marcel vervloesem et une journaliste qui fait un travail remarquable mais que je ne citerai pas. Cette réunion devait se tenir au Kinderberg, un château dans lequel nous étions invités pour former le plus gros groupe antipédocriminel d’Europe, ben voyons ! Ce château serait très sécurisé, mais il ne fallait parler de cette rencontre à personne (alors que l’organisation était lancée via Facebook…) car une grande ennemie de P., M. et I., qui était autrefois leur amie, pourrait débarquer à l’improviste pendant la réunion et y semer la zizanie… Une ennemie qui semble donc avoir les clés de ce fameux château ultra-sécurisé !
LES BELGES, D’AMANCEY A OUTREAU, MEME MODUS OPERANDI !

4842694-7240111En deux mots je vais expliquer la façon dont s’y est pris ce groupe belge pour s’infiltrer dans l’affaire Outreau en manipulant les frères Delay.

Une fois de plus les belges vont là ou est le buzz, ils opèrent de la même manière que pour l’affaire Maillaud. Ils regardent ce qu’il se passe, remarquent que Serge Garde sort un documentaire sur Outreau, que Jacques Thomet sort un livre, ils s’informent et découvrent que Cherif est sur Facebook. M.et les messages privés de Facebook feront le reste.

Cherif rêve de faire de la musique, M. a joué sur la corde sensible en lui faisant croire qu’elle allait l’aider dans son projet, elle avait fait pareil avec la victime du Doubs qui cherchait désespérément de l’affection… Ces gens sont pervers et dangereux, P. est à ce qu’on dit un grand ami de Nihoul, même si je me tais à ce sujet, cela ne m’étonnerait en rien car tout ce que j’ai pu constater de mes propres yeux en étant en première ligne me pousse à croire que ce groupe belge est un groupe d’infiltrés, ni plus ni moins. S’infiltrer pour pourrir le mouvement de l’intérieur.

Aujourd’hui, ils mettent leur nez dans une des plus grosses affaires en France, qui de plus est médiatisée: Outreau. Ils ne choisissent pas leurs victimes au hasard, ces enfants sont des bombes à retardement difficilement contrôlables, mais, en premier lieu facilement manipulables et ces belges-là semblent bien connaitre les techniques de manipulation puisque ce n’est pas la première fois qu’ils agissent de la sorte.

Ils mettent Cherif Delay dans une position inconfortable car ce dernier n’a pas le droit de quitter le territoire français et risque la prison. Si ce dernier se retrouve en prison, il ne sera pas le seul que les belges auront contribué à faire enfermer. La première fois que j’ai vu ces belges se manifester c’était en 2012, lorsque Laurent Louis faisait le buzz sur Internet. Ils se sont rapprochés de lui pour ensuite vite faire marche arrière car le député avait semble-t-il déjà bien compris leur petit manège.

A force de provoquer les choses on en perd le contrôle, ce groupe belge, bien qu’informé puisqu’infiltré, ne sait pas avec quoi il est en train de jouer. Ils amènent de la polémique là où nous devons nous taire et travailler deux fois plus que les autres car nous passons pour des fous et des hystériques du complot. Je tenais à poster cet article pour ouvrir les yeux aux gens sur ce fameux groupe belge présent à Amancey, car beaucoup m’ont confié ne pas avoir compris leur présence à cette conférence ainsi que la place qu’ils tentaient d’occuper par la suite. Je ne reviendrai pas sur cette histoire, le récit est maintenant disponible, vous pouvez le lire.

Petit rappel, c’est aussi ce groupe qui jetait le discrédit sur le compte des amis de Stan Maillaud, c’est ce groupe qui tente de nous faire reculer, beaucoup sont en train de s’en séparer et ont compris leurs petits jeux. Vous pouvez aisément faire un parallèle entre la façon dont ils ont opéré sur l’affaire d’Amancey puis par la suite sur l’affaire Outreau, à chaque fois les conséquences sont les mêmes, dont une que je retiens plus que les autres : créer des faux débats et des perturbations pour nous écarter de notre but premier et discréditer les affaires au maximum.

Maintenant que vous savez, faites tourner l’information, ce message a également pour but de soutenir Jacques Thomet et les courageuses victimes de l’affaire Outreau.

Djé Le Peuple

Source: http://djelepeuple.blogspot.fr/2013/04/linfiltration-de-la-lutte-contre-les.html

Source: http://dondevamos.canalblog.com/archives/2013/04/18/26955037.html

 

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