Guillaume Leroy Blogspot Les pédocriminels deviennent pères pour avoir des droits sur les enfants (procréation naturelle, GPA ou adoption)

Share Button

Cet article relate une affaire récente dans laquelle un pédocriminel australien ayant 22 condamnations pour abus sexuels sur enfants a fait une GPA en Thaïlande.

***

Depuis toujours, les pédocriminels ont utilisé le cadre de la famille pour agir à leur guise.

« La pédocriminalité est une forme de criminalité « locale », les infractions qui en relèvent étant essentiellement commises au domicile ou dans la famille de la victime. » (Interpol : Pédocriminalité)

20 % des enfants (1 sur 5) sont abusés sexuellement, majoritairement par des hommes (de 96,3 % à 99 %) et majoritairement dans le cadre de la famille (pères, grands-pères, oncles, etc.). Selon données d’Interpol, du Conseil de l’Europe, du CRIFIP, etc. (Stratégie des pédocriminels pour piéger les enfants)

Contrairement aux statuts d’oncle, grand-père, etc. lorsque les pédocriminels sont pères, ils ont des droits sur les enfants. C’est la raison pour laquelle, ils choisissent souvent de devenir pères.

En plus de cet avantage considérable d’avoir des droits sur les enfants, leur statut de père et leur présence au quotidien leur permettent de mettre les enfants sous emprise de façon drastique et de pouvoir en faire ce qu’ils veulent sexuellement.

Pour devenir pères, les pédocriminels créent un couple et utilisent l’une ou plusieurs de ces 3 solutions :

- la procréation naturelle,

- la GPA (Gestation pour autrui ou mères porteuses) aussi nommée « prostitution utérine »,

- l’adoption.

Les pédocriminels ont une 4ème solution pour avoir accès à des enfants au quotidien avec un statut proche de celui du père : devenir beaux-pères. Dans ce cas, ils choisissent des femmes ayant déjà des enfants. Il existe même des réseaux qui recherchent des femmes pour les pédocriminels. Donc attention à toutes les femmes qui ont des enfants : les hommes qui vous courtisent s’intéressent parfois plus à vos enfants qu’à vous-mêmes, et ceci pour pouvoir en abuser sexuellement.

En tant que beaux-pères, les pédocriminels n’ont heureusement pas de droits sur les enfants. Ou s’ils en obtiennent avec la nouvelle loi famille #APIE, par exemple, ces droits ne seront pas aussi importants que ceux des pères officiels.

Par exemple, les beaux-pères n’obtiendront pas facilement la garde exclusive des enfants.

L’alliance au doigt de cet homme
est le symbole du lien familial
entre la fillette et son abuseur sexuel
(inceste paternel)

Être le « père officiel » » (biologique ou par adoption) des enfants est pour les pédocriminels le meilleur moyen pour en abuser sexuellement en toute tranquillité.

En effet, à partir du moment où ils sont les « pères officiels », les lois familles des différents pays du monde leur donnent tous les droits sur ces enfants, même le droit implicite d’en abuser sexuellement.

Un droit implicite d’abuser sexuellement des enfants ? Oui, parfaitement, vous avez bien lu. Aujourd’hui, avec la théorie du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP/AP) créée Richard Gardner, un pro-pédophile notoire, plus personne ne croit une mère ou un enfant qui signale des abus sexuels paternels.

Pour information, voici quelques articles à propos de la théorie du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP/AP) :

- La communauté scientifique internationale s’oppose au Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) : instances et professionnels

- Profession de foi à la Commission des lois : un député « croit » au Syndrome d’Aliénation Parentale

- La théorie de l’aliénation parentale (SAP/AP) est-elle une idéologie sectaire

- Aggravation des ravages de la théorie de l’aliénation parentale (SAP/AP) : les experts l’utilisent faussement

En cas de signalement d’abus sexuels paternels, les enfants seront même donnés en garde exclusive au père pédocriminel sous prétexte que la mère est dangereuse pour eux.

Selon les psys et experts psycho-judiciaires actuels qui utilisent quasiment tous des théories anti-victimaires comme l’aliénation parentale (AP/AP), les mères qui signalent des abus sexuels paternels sont folles, manipulatrices et veulent couper les enfants du père. Et lorsque ce sont les enfants eux-mêmes qui signalent, ils sont considérés comme « aliénés » par la mère qui les aurait manipulés.

Donc, pour ces professionnels, il faut enlever les enfants à ces mères et les donner au père pédocriminel présumé.

Aujourd’hui, à cause la théorie du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP/AP), les pédocriminels sont dans leur toute-puissance. Ils savent qu’ils peuvent violer les enfants en toute liberté dans les familles.

Ils pensent « Quoi que vous disiez, on ne vous croira pas et j’obtiendrai même la garde exclusive des enfants ».

La toute-puissance des pères pédocriminels est si grande qu’aujourd’hui, ils se montrent volontairement hautement incestueux dans le huis clos familial, afin de contraindre les mères à signaler et d’obtenir ainsi la garde exclusive des enfants.

Un précédent article

Nous avions déjà écrit un article sur les pédocriminels qui se mettent en couple pour avoir des enfants.

Voici cet article : Les pédocriminels deviennent pères pour avoir « des droits » sur les enfants

Comme par hasard, cet article n’est plus disponible par le moteur de recherche Google. Le lobby pédocriminel a probablement fait censurer l’article qui les a beaucoup contrariés lorsqu’il a été publié (menaces à ce blog).

Si ce thème vous intéresse, prenez la peine de lire cet article qui a déplu aux pédocriminels, probablement parce qu’il révèle quelques-unes de leurs stratégies pour acquérir des enfants dans le cadre de la famille.

Dans l’article précédent, nous n’avions pas parlé spécifiquement de la GPA (gestation pour autrui ou mères porteuses) ni de l’adoption, car le principe est le même : devenir « père officiel » d’enfants pour avoir tous les droits sur eux.

Mais aujourd’hui, une affaire qui fait grand bruit dans les médias anglo-saxons nous donne l’occasion de pointer le problème de la GPA utilisée par les pédocriminels.

La GPA est une aubaine pour les pédocriminels

La GPA (gestation pour autrui ou mères porteuses)aussi nommée « prostitution utérine » se développe toujours plus, pour les couples hétérosexuels, pour les couples gays et …. pour les pédocriminels (hétérosexuels, bisexuels, gays, etc.).

Un article qui donne de nombreuses informations sur la GPA : GPA et PMA n’ont rien en commun

Et la GPA est une aubaine pour les pédocriminels : ils se font « fabriquer » des enfants pour pouvoir en abuser sexuellement en toute tranquillité en utilisant leur statut de père.

Pour résumer l’affaire australienne toute récente qui a motivé cet article, il s’agit d’une GPA dans laquelle il y avait 2 bébés : une fille et un garçon, soit des jumeaux dizygotes ou « faux jumeaux ». Après l’accouchement, le couple « commanditaire » n’a pris qu’un seul bébé (la fille). Le second bébé (le garçon) a été laissé à la mère porteuse parce qu’il était handicapé. En d’autres termes, ce couple a « laissé sur place » ce bébé, le considérant comme une « marchandise défectueuse ». Ensuite, le couple a prétendu qu’il ne savait pas qu’il y avait un 2ème bébé. Or, la mère porteuse affirme qu’ils étaient présents à l’accouchement et qu’ils ont très bien vu les 2 bébés.

Peu après l’annonce de l’abandon du bébé handicapé à la mère porteuse, les autorités australiennes ont révélé que le père est un pédocriminel multirécidiviste. Et comme par hasard, dans cette GPA, le pédocriminel hétéroxexuel a pris le bébé de sexe féminin.

Etrangement, alors que les médias anglo-saxons diffusent cette affaire et s’y intéressent beaucoup, les médias français sont restés presque muets, pour certains, venant même au secours du couple « commanditaire » de la GPA dont l’homme est un pédocriminel multirécidiviste.

Alors les médias français auraient-ils l’intention de protéger les pédocriminels ?

Selon cet article très complet (à recommander pour celles et ceux qui lisent l’anglais) de MailOnline du 6 août 2014, ce pédocriminel aurait déjà 22 condamnations pour agressions sexuelles sur des enfants et aurait fait de la prison pour avoir agressé sexuellement 2 fillettes de moins de 10 ans : ‘I’ll take the dumb baby’: Surrogacy agent claims birth mum said she’d take care of Gammy BEFORE Australian parents took home his healthy twin, as documents reveal his father was convicted of 22 child sex offences

Extrait de l’article : « He was jailed in late 1990s for sexually molesting two girls under age of 10 – Court documents reveal he was convicted on 22 child sex charges in total »

Traduction de l’extrait : « Il a été emprisonné à la fin des années 1990 pour avoir agressé sexuellement deux jeunes filles de moins de 10 ans – les documents de la Cour révèlent qu’il est reconnu coupable d’avoir abusé sexuellement de 22 enfants au total »

Un article de The Gardian du 5 août 2014 : Gammy’s mother demands his sister’s return over child abuse allegations

A propos de cet article : la mère porteuse a appris que le père commanditaire de la GPA était un pédocriminel multirécidiviste. C’est la raison pour laquelle elle demande que le bébé (une fille) pris par le couple lui soit rendu.

La réaction de cette femme montre qu’une mère porteuse est une vraie mère, engagée affectivement pour les enfants qu’elle porte pendant 9 mois.

La mère porteuse devrait être reconnue comme une mère officielle et avoir des droits sur les enfants. Elle est aussi importante (voire plus importante) pour l’enfant que la mère biologique (celle qui a fait don d’un ovocyte).

Un article de 20Minutes.fr du 5 août 2014 : Bébé trisomique en Thaïlande: L’affaire se double d’une histoire de pédophilie

Extrait de l’article : « La mère porteuse de 21 ans, Pattaramon Chabua, accuse le couple d’avoir emmené la fillette, bien portante, et laissé sur place son frère jumeau à cause de sa trisomie. Elle explique avoir accepté en échange de plus de 10.000 euros de porter l’enfant, résultat de la fécondation d’un ovule d’une donneuse thaïlandaise par l’homme australien. Après que les tests ont révélé la trisomie 21 du garçon, l’agence qui a servi d’intermédiaire lui a dit que les parents voulaient qu’elle avorte, a-t-elle expliqué. Mais elle a refusé. «L’agent a dit que le couple paierait pour l’avortement (…). Mais nous sommes dans un pays bouddhiste, ils ne comprennent pas. Si j’avais avorté, j’aurais été arrêtée, parce que c’est comme tuer quelqu’un», a-t-elle ajouté. Elle a également assuré à l’AFP que les Australiens avaient vu les deux bébés, allongés côte à côte à l’hôpital après son accouchement.

(…) L’Australian Associated Press affirme avoir consulté des pièces judiciaires montrant que l’homme, qui serait âgé de 56 ans, a été condamné pour avoir agressé sexuellement trois jeunes filles. La télévision publique australienne ABC indique de son côté qu’il a fait de la prison pour des agressions sur des mineures de moins de 10 ans quand il était âgé d’une vingtaine d’années. Il a également été accusé d’agressions sur un enfant en 1997. »

Un article de « 7 sur 7 » du 5 août 2014 : Le père australien de Gammy condamné pour agression sexuelle sur mineure

Extrait de l’article : « L’affaire du bébé trisomique né d’une mère porteuse thaïlandaise et abandonné par les parents australiens a connu mardi un rebondissement avec la révélation par la presse australienne que le père avait été condamné pour des agressions sexuelles sur mineures.

(…) Ces informations ont émergé au moment où le couple australien tentait de se défendre des allégations de Pattaramon Chabua, la mère porteuse qui a accouché de jumeaux, dont le garçon, Gammy, est trisomique et malade du coeur. La jeune femme de 21 ans accuse le couple d’avoir emmené la fillette, bien portante, et laissé sur place le garçon à cause de sa trisomie.

L’histoire tragique de Gammy, désormais âgé de 7 mois, fait les gros titres de la presse internationale depuis quelques jours et suscite un immense intérêt sur les réseaux sociaux. »

Un article du 5 août 2014 de Actu-droitsenfants avec uniquement le thème de l’abandon du bébé handicapé à la mère porteuse : Australie : les dérives de la gestation pour autrui

Extrait de l’article : « Né il y a six mois d’une mère porteuse thaïlandaise dans le cadre d’une gestation pour autrui (GPA), le petit Gammy se trouve aujourd’hui au centre d’une controverse. Ce bébé atteint de la trisomie 21 et d’une malformation cardiaque aurait été abandonné par ses parents génétiques, des Australiens, qui auraient tout de même adopté sa sœur jumelle.

Les parents affirment qu’ils n’étaient pas au courant de l’existence de ce second bébé et indiquent que l’hôpital ne les avait pas prévenus que la mère porteuse avait accouché d’un garçon atteint de trisomie 21. Ils jettent également le doute sur l’agence de mères porteuses, avec laquelle ils disent avoir eu une relation « traumatisante ». Plus troublant, ils disent avoir voulu contacter l’organisme et avoir découvert qu’il n’existait plus.

De son côté, la mère porteuse assure que l’agence lui doit encore des milliers de dollars, et a annoncé son intention de la dénoncer à la police. Elle affirme en outre que le couple australien ment. Selon elle, les deux bébés étaient ensemble à l’hôpital et son père n’a pas eu un regard pour celui qui était handicapé.

Les parents, qui résident dans l’ouest de l’Australie, veulent rester anonymes. La jeune thaïlandaise dispose selon la loi locale de la garde du bébé et elle est a déjà fait part de son désir de l’élever comme ses autres enfants.

Cette sordide affaire aura eu au moins le mérite de mettre en lumière les dérives de la GPA et le rôle trouble des agences de mères porteuses qui servent d’intermédiaires dans ce pays. Elle a également provoqué une forte remise en question en Thaïlande. Ainsi, des dizaines de cliniques thaïlandaises ont cessé de promouvoir la GPA, alors qu’on estime que 200 couples australiens ont actuellement recours à une mère porteuse dans le pays. Une pratique jusqu’ici non régulée, que le gouvernement thaïlandais envisage maintenant d’interdire si la mère porteuse n’est pas de la famille des parents.

L’abandon de Gammy ouvre également un débat en Australie, où la gestation pour autrui est autorisée dans certains états, mais très difficile d’accès, car les mères porteuses n’ont pas le droit de se faire rémunérer. D’autre part, les soins, l’insémination de la mère porteuse coûtent très cher en Australie.

Les parents se tournent donc vers l’étranger, principalement la Thaïlande, où les soins sont moins chers et les lois plus laxistes, au point donc de permettre l’abandon d’un bébé trisomique. »

Laisser un commentaire