Notre Dame des Anges La Franc-Maçonnerie : amadouer et corrompre la mère pour s’arroger des droits sur l’enfant

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FM femme et enfantVoici quelques citations parmi une myriade. Vous remarquerez l’arme classique du préjugé anticlérical de la Franc-maçonnerie. La réelle volonté en influençant les femmes, et en les intronisant à la maçonnerie, est de s’arroger les esprits de leurs enfants, les arrachant à la religion catholique afin de les corrompre. Il est alors assez simple de déduire les conséquences qui s’en suivent, qui sont celles que nous vivons hélas aujourd’hui.

« Dans la Franc-Maçonnerie c’est l’Esprit du Mal qui triomphe. » disait le F:. Dunet, ex-33e, cité par Jospeh Santo, dans le Formidable secret de la Franc-maçonnerie. De nos jours, c’était il y a peu, un ministre de la Vème république, Mr Peillon, disait que la laïcité est « la religion de la Franc maçonnerie ». « Guerre à Dieu ! Haine à Dieu ! Le progrès est là ! Il faut crever le ciel comme une voute de papier. » criait le Franc-maçon Lafargue.


« La Franc-Maçonnerie doit poursuivre la déchristianisation de la France, en étendant sans cesse son influence morale et philosophique. » (1)
« Le catholicisme, nous devons nous Francs-Maçons, en poursuivre la démolition définitive. » (2)

En 1786, le Franc-maçon Zwack disait déjà des choses scandaleuses :
« Cet Ordre (la Maçonnerie des Dames) aura DEUX CLASSES, formant chacune leur société, ayant chacune leurs secrets à part. La première sera composée de femmes vertueuses ; la seconde, de femmes VOLAGES, LÉGÈRES, VOLUPTUEUSES. Les unes et les autres devront ignorer qu’elles sont dirigées par des hommes. Les Frères chargés de les diriger leur feront parvenir leurs leçons, sans se laisser connaître. Ils conduiront les premières par la lecture de bons livres (Holvétius, Rousseau, Diderot, Voltaire, Mirabeau, etc.), et les autres EN LES FORMANT A L’ART DE SATISFAIRE SECRÈTEMENT LEURS PASSIONS. » (3)

Le 26 juin 1868, le vénérable Foussier insista sur « la nécessité d’arracher les enfants aux congrégations religieuses, surtout pour l’instruction primaire, car, dit-il, les premières impressions étant ineffaçables, il importe que ces impressions soient saines et conformes aux idées modernes ».(4) Au convent du Grand-Orient, de septembre 1879, le F:. Francolin prononçait, au cours d’une allocution fort applaudie, ces paroles significatives : « J’ai cru qu’il fallait dire nettement que nous sommes l’avant-garde de l’éducation laïque et républicaine, et que partout ou il y a un enfant, partout ou il y a une école, on trouvera la main d’un Franc-maçon. » (5)

Ainsi, pour arracher (sic) les enfants à la religion, il faut nécessairement que la maçonnerie s’attaque au cœur du foyer : la mère de famille, ou la future mère de famille, en la corrompant soit par les mœurs, soit par l’intellect. Depuis un long moment déjà, nous pouvons malheureusement constater l’état des choses concernant les mères, les femmes plus généralement… C’est en la rendant adhérente, cette mère de famille, aux principes de la révolution que la secte s’attellera donc à lutter contre l’Église Catholique, puisque par ce biais, elle s’empare de l’intelligence de ses enfants, les mères envoyant ensuite leurs petits dans les mains maçonniques du massacre éducatif.

Le Vén :. Decamus, en 1869, prononça une allocution plus particulièrement  à l’adresse des sœurs : « Amenez-nous vos enfants, TT:., CC:., SS:., nous leur donnerons le baptême maçonnique; et plus tard, quand ils seront en âge de comprendre la haute signification de notre institution, ils nous aiderons  à remplir notre mission. » (6)
Le F:. Pugeault (Ven:. des Trinosophes de Bercy) se leva et fit remarquer que la dénonciation de baptême maçonnique a été remplacée par celle de Fête d’Adoption (ndlr : cérémonie par laquelle une Loge adopte le fils ou la fille d’un Franc-Maçon), expression plus en harmonie avec le caractère dont sont revêtus les travaux d’adoption.
« Oui, TT:., CC:., SS:., poursuivit le FF:. Pugeault, par l’adoption vos enfants deviennent les nôtres, ceux de la Franc-maçonnerie, en attendant qu’ils puissent nous aider dans l’accomplissement de la grande œuvre que nous avons entreprise. » (7)

Un chef des sociétés secrètes allemandes disait :
« Les femmes exercent une trop grande influence sur les hommes, pour que nous puissions réformer le monde si nous ne réformons pas les femmes. Mais comment l’entreprendre ? Là est toute la difficulté. Les dames adultes, les mères surtout, qui sont imbues de préjugés, souffriront-elles que d’autres s’occupent de l’éducation de leurs filles ? Il faut donc commencer par les demoiselles et les dames d’un certain âge. » (8)

La L :. « Bienfaisance et Progrès » donna, le 19 juin 1881, à l’O :. De Boulogne sur Seine une grande fête d’adoption et de maçonnerie blanche. Le F :. Janvier, Vén :., souhaita la bienvenue aux dames en ces termes : « Votre présence sur nos colonnes, très chers sœurs, ne peut qu’affirmer notre courage et nous avons le ferme espoir que bientôt vous nous aiderez à poursuivre l’œuvre de régénération sociale entreprise par nos pères, les illustres maçons du XVIIIe siècle, qui ont préparé la révolution française. Et, si depuis cette époque mémorable, nos efforts n’ont pas toujours été couronnés de succès, c’est que la femme était soumise à la domination du prêtre (ndlr : le fameux préjugé maçonnique), cet éternel ennemi de tout progrès, dont la pernicieuse influence se fait encore sentir jusqu’au foyer domestique. »
(…)
« C’est alors seulement, mesdames, qu’après avoir vaincu et désarmé pour toujours les noirs soldats de l’obscurantisme (ndlr : les prêtres), nous pourrons nous reposer après la victoire. Mais pour arriver à ce triomphe, votre concours nous est absolument indispensable. »
(…)
Le F :. Lefileur, s’ adressant aux maçonnes, disait : « C’est à vous TT :. CC :. SS :. qu’il appartient de prémunir l’enfant contre les doctrines funestes des religions qui en font des esclaves au lieu d’en faire des hommes libres ! » (9)

Lors de la fête maçonnique de la L:. la fraternité, O:. de Charleville, dans laquelle prirent la parole les FF:. Desmon, Meunier, instituteur à Charleville, et Lacloque, le premier de ces orateurs, Président du conseil de l’Ordre, dit aux sœurs, dames et jeunes filles présentes : « La Franc-Maçonnerie n’a qu’une ambition, celle de préparer l’avenir et c’est pour cela qu’elle dit à la femme, mère de nos enfants : ″ Venez à nous, si vous ne voulez plus être esclave, venez à nous, si vous voulez être l’égale de l’homme et si partageant ses joies comme ses peines, ses droits comme ses devoirs, si vous voulez qu’il n’y ai plus de distinction entre l’homme et la femme et que le genre humain marche groupé, sans distinction, sous le drapeau de la Fraternité et de l’Égalité universelle !″ » (10)

Chacun pourra ici relever les termes « d’esclave », « d’égale de l’homme », pour orienter sur l’imposture de la licence contre la liberté, et pour finir par donner une apologie sous ces termes : « qu’il n’y ai plus de distinction entre l’homme et la femme ». Cela ne vous rappelle rien ? Voilà donc comment procèdent les “doctrinaires infernaux” de l’égalitarisme.

Le 14 juillet, les LL:. Sincérité, Parfaite Union, et Constante Amitié réunies, O:. de Besançon, fêtèrent le Centenaire de 1789-1889, par une distribution de prix aux enfants les plus méritants des écoles laïques de la ville, baptême maçonnique, banquet et bal.
« La séance ouverte, le Vén:. F:. Baigue et le F:. Beauquier, député du Doubs, Orat:. prononcèrent des allocutions brillantes. Ils s’adressèrent surtout aux dames et vantèrent le rôle de la femme, cet auxiliaire indispensable de l’homme.  » La femme doit renoncer à ses croyances surannées ; elle doit confier ses enfants à des éducateurs laïques, seuls capables de former de loyaux citoyens, de vrais et honnêtes républicains. » » (11)

Mais, le lecteur se demandera alors quel est l’intérêt de ces citations, d’autant qu’elle ne sont que locales (cf sources), et quel est donc le but profond de gérer dès l’enfance, l’éducation maçonnique des individus. Chers lecteurs, voyons donc ce que dit un certain Albert Pike concernant les loges féminines. Nous citons de tels propos pour dénoncer  la manipulation qui est opérée dans le langage soutenu de Pike, qui fait de la façon la plus nette la promotion de l’hermétisme, de la fornication et de l’adultère. Voilà donc, ou ces fameuses loges veulent mener les enfants, qu’elles tiennent à former par l’école laïque et par leur influence sur les mères adeptes ou sympathisantes (latomisées) des idéologies des loges. La base est donc de faire adhérer les esprits de la jeunesse aux comportements dont nous voyons clairement aujourd’hui toute la portée. Nous vous épargnerons toutes les citations de Pike, et tant d’autres, faisant l’apologie de Lucifer, pour vous faire comprendre vers quel endroit, in fine, les maçons veulent emmener les âmes dès leur plus jeune âge. Citons l’ouvrage de A.C De La Rive :

Le quatorzième jour du cinquième mois de l’an 000889 de la Vraie Lumière (par conséquent le 14 juillet 1889, ère vulgaire) Albert Pike, Souverain Grand-inspecteur Général, 33e et dernier degré ; Très puissant Souverain Commandeur Grand-Maître du Suprême conseil de Charleston, premier Suprême Conseil du Globe ; Grand-Maître Conservateur du palladium sacré ; Souverain Pontife de la Franc-Maçonnerie Universelle, en la trente-unième année de son Pontificat, adressait aux 23 Suprêmes Conseils Confédérés du monde entier ces diaboliques instructions dont nous extrayons que les passages relatifs à la Femme : « A la science de Faust, le vrai Maçon joindra l’impassibilité de Job. Il piétinera la superstition dans son cœur. Il sera sans indécision et sans caprices. Il n’acceptera le plaisir que lorsqu’il le voudra et ne le voudra que lorsqu’il le devra. Nous RECOMMANDONS TRÈS INSTAMMENT DE MULTIPLIER LES LOGES D’ADOPTION (ndlr : ou loge féminines). ELLES SONT INDISPENSABLES POUR FORMER DES MAÇONS BIEN MAÎTRES D’EUX-MÊMES… Le prêtre essaye de dompter sa chair en s’astreignant au célibat. Le vrai Maçon, au contraire, arrive à la perfection, c’est-à-dire à se dominer, en employant son zèle dans les Loges d’Adoption à se soumettre aux épreuves naturelles. LE COMMERCE AVEC LA FEMME COMMUNE A TOUS SES FRÈRES LUI FAIT UNE CUIRASSE CONTRE LES PASSIONS QUI ÉGARENT LE CŒUR. Celui-là seul peut vraiment posséder la volupté de l’amour, qui a vaincu, par l’usage fréquent, l’amour de la volupté. Pouvoir, à volonté, user et s’abstenir, c’est pouvoir deux fois. La femme t’enchaîne par tes désirs, disons-nous à l’adepte ; eh bien, use des femmes souvent et sans passion; tu deviendras ainsi maître de tes désirs, et tu enchaîneras la femme. D’où il résulte que le vrai Maçon parviendra facilement à résoudre le problème de la chair… » (12)

Nous avouons au lecteur que, même habitués à ces lectures de citations provenant des soldats de la cité du mal, nous avons toujours mal aux yeux… Nous tenons réellement à insister : il s’agit là de prévenir, de souligner la causalité du système éducatif corrupteur actuel par de telles citations. Le but de la secte, autrement dit, est donc de récupérer l’enfant, de le corrompre et de le rendre esclave du péché par le biais de la « liberté de penser » en tâchant d’abord d’influencer les parents (et de les corrompre eux-même) ; et de générer la déstructuration du pivot socio-politique que constitue la morale, matérialisé principalement par le socle de l’état : la famille. On détruit le foyer familial en retirant les principes de la morale chrétienne, par de fallacieuses méthodes dont les appellations de «correction de l’obscurantisme», ou encore « d’arrivée à la perfection » en disent vraiment très long sur la perversité idéologique véhiculée par cette difformité sémantique volontaire, faisant office d’une inversion tout à fait caractéristique de celui qui a chuté des cieux. Il parait donc aisé, cher lecteur, de déduire par exemple que mai 68 n’est en rien nouveau, encore moins soudain, mais clairement planifié de longue date, Pike faisant ouvertement l’apologie des vices comme moyens de perfection. En effet, la femme est considérée comme la prostituée, l’adultère du maçon. Ici encore, Pike le fait très bien pressentir, car selon lui, rester attaché à une seule femme, c’est être victime de ses passions :

« N’initiez jamais au troisième degré l’homme qui, malgré les enseignements reçus aux deux grades précédents, eut demeuré esclave des préjugés du monde profane. Il ne parviendra jamais tant qu’il ne se réformera pas. Au grade de Compagnon, vous lui ouvrez les portes des Loges d’Adoption , vous le jugerez bien. Vous verrez si ses préjugés tombent. S’il reste esclave de ses passions, S’IL S’ATTACHE EXCLUSIVEMENT A UNE FEMME, ne vous préoccupez plus de lui, vous perdriez votre temps. Il ne saurait être un adepte ; car le mot « adepte » signifie celui qui est parvenu par sa volonté et par ses œuvres, qui méprise les préjugés et qui triomphe de ses passions. » (12)

Le 20 octobre [1889], eut lieu la reconnaissance du mariage civil du F:. Dr Pannier, par les LL:. École, Équité et Travailleurs, réunies, au Grand-Orient. « Les invitations faites par la Loge et l’annonce de la Conférence avaient attiré une nombreuse assistance, composée
en majorité de dames et de demoiselles. » (13)
« Le F:. et la Sœur Pannier sauront faire de leurs enfants de bons citoyens ou de bonnes mères de famille et aussi des LIBRES-PENSEURS, » dit le F.-. Amiable, Maire du Ve arrondissement, Membre du Conseil de l’Ordre et G:. Orat:. du Grand Collège des Rites, dans sa Conférence sur Le Mariage civil et la Franc-Maçonnerie.(13)

Le V:. Y. A. Leblanc fut chargé de publier sur la Femme et la F:. M:., un travail dont l’argumentation parut si serrée que la lecture en fut recommandée à tous les FF:. : « La femme est en effet la véritable éducatrice : elle seule sait former le cœur et l’esprit de son enfant; et si banale que soit cette vérité, elle ne l’est pas encore assez puisqu’en dehors de l’Église nul ne l’a encore comprise et mise en pratique. Le meilleur moyen de combattre des adversaires est quelquefois de leur emprunter leur tactique. (…) c’est à la Maçonnerie qu’il appartient de donner, à un pays, qui a des institutions républicaines des générations qui auront des sentiments vraiment républicains. Il nous a semblé qu’un des moyens les plus sûrs pour atteindre ce but était de former des réunions maçonniques où les femmes seraient admises à nos côtés.» (14)

Le Dr Debierre, au convent de 1901 :
«Tant que nous n’aurons pas transformé le cerveau de nos concitoyens, tant que nous n’aurons pas pétri autrement le cerveau de nos enfants, j’estime que nous n’aurons rien fait pour l’avenir de la libre pensée…» (15)

Voici un extrait du rapport présenté à la loge “La Jérusalem Ecossaise”, par le F:. Lazard, au nom de la commission chargée d’étudier les moyens de fonder une loge mixte :
« Nous voulons faire mieux que nos devanciers, c’est à l’esprit même de la Maçonnerie que nous voulons initier les femmes qui viendront parmi nous ; nous voulons tâcher de faire partager nos opinions, nos croyances, nos idées à nos sœurs de demain, d’abord parce que la vérité ne doit pas être l’apanage d’une seule moitié de l’humanité ; ensuite parce que le seul moyen d’arriver à transmettre aux générations futures notre pensée, c’est d’avoir auprès de nous des femmes qui la partagent. La femme est en effet la véritable éducatrice : elle seule sait former le cœur et l’esprit de son enfant; et si banale que soit cette vérité, elle ne l’est pas encore assez puisqu’en dehors de l’Église nul ne Va encore comprise et mise en pratique. Le meilleur moyen de combattre des adversaires est quelquefois de leur emprunter leur tactique.» (16)

Le Pape Léon XIII, entre autres Papes, avait très bien vu la chose :
inscrutrabili Léon XIII

Pie XI insistait ensuite (Divini Illius Magistri du 31 décembre 1929):
« Il est donc de suprême importance de ne pas errer en matière d’éducation, non plus qu’au sujet de la tendance à la fin dernière, à laquelle est intimement et nécessairement liée toute l’œuvre éducatrice. En fait, puisque l’éducation consiste essentiellement dans la formation de l’homme, lui enseignant ce qu’il doit être et comment il doit se comporter dans cette vie terrestre pour atteindre la fin sublime en vue de laquelle il a été créé, il est clair qu’il ne peut y avoir de véritable éducation qui ne soit tout entière dirigée vers cette fin dernière. Mais aussi, dans l’ordre présent de la Providence, c’est-à-dire depuis que Dieu s’est révélé dans son Fils unique, qui seul est la voie, la vérité et la vie, il ne peut y avoir d’éducation complète et parfaite en dehors de l’éducation chrétienne. »

NOTES :

1/ Le poison maçonnique, par l’Abbé Huot, p.1, Paroles du F.*. Léon Martin au Congrès des Loges de la Région Parisienne. Séance du 30 mai 1904. Compte-rendu du Congrès, p. 31.
2/ Le poison maçonnique, par l’Abbé Huot, p.1,Bulletin du Grand-Orient, septembre 1895, p. 168.
3/ La femme et l’enfant dans la Franc-Maçonnerie universelle, par A.C. De La Rive, p 122-123
4/ La femme et l’enfant dans la Franc-Maçonnerie universelle, par A.C. De La Rive, p 347, Histoire de la R:. L:. Les Trinosophes de Bercy, etc., 4ème partie, par le F:. Alfred Desrues, p.14-15
5/ Le poison maçonnique, par l’Abbé Huot, p.8, Compte rendu du Convent de 1879, p. 337.
6/ La femme et l’enfant dans la Franc-Maçonnerie universelle, par A.C. De La Rive, p 348
7/ La femme et l’enfant dans la Franc-Maçonnerie universelle, par A.C. De La Rive, p 349
8/ Le Libéralisme, la Franc-maçonnerie et l’Église Catholique, par le Chanoine Labis, p.114
9/ La femme et l’enfant dans la Franc-Maçonnerie universelle, par A.C. De La Rive, p 474
10/ La femme et l’enfant dans la Franc-Maçonnerie universelle, par A.C. De La Rive, p 573 – Chaine d’Union, janvier 1888 p. 69-70
11/ La femme et l’enfant dans la Franc-Maçonnerie universelle, par A.C. De La Rive, p 586-587 – Chaine d’Union, janvier 1889, n° 1 et 2 janvier et février 1890
12/ La femme et l’enfant dans la Franc-Maçonnerie universelle, par A.C. De La Rive, p 587-588
13/ La femme et l’enfant dans la Franc-Maçonnerie universelle, par A.C. De La Rive, p 595
14/ La femme et l’enfant dans la Franc-Maçonnerie universelle, par A.C. De La Rive, p 599 – bulletin Maçonnique, organec de la F. M:. universelle : décembre 1891. p.256
15/ Le poison maçonnique, par l’Abbé Huot, p.11
16/ La femme et l’enfant dans la Franc-Maçonnerie universelle, par A.C. De La Rive, p 601

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