Jeune Nation Australie : avocat et rabbins échouent à étouffer les affaires de pédocriminalité dans les écoles communautaristes

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Ceci pourrait être vu comme un nouvel avatar de leur « liberté d’expression » à sens unique, dans leurs républiques d’occupation anti-naturelles à travers le monde.

Le refus de dénoncer les crimes de Juifs, même perpétrés à l’encontre d’autres Juifs

Arguant d’une tradition juive conduisant à ne rien révéler au pouvoir séculier quant aux affaires entre juifs, maître Alex Lewenberg n’apprécie pas qu’un Juif coopère avec la police pour résoudre une affaire – quelle qu’en soit la gravité – impliquant d’autres juifs.

Contacté en tant qu’avocat par une victime qui avait été aiguillée vers lui par leur communauté, il a exercé des pressions pour qu’elle se taise à tout jamais, cherchant à dissimuler ce qui se passe dans une école judaïque de Melbourne.

Se croyant tout en haut, au-dessus des lois applicables au commun des mortels, ce juriste communautariste a ainsi violé un principe général qui lui interdisait de dire, pour un motif communautaire ou religieux, à un témoin – encore plus à une victime – de ne pas informer la police.

Pressions et représailles contre celui qui ose dénoncer leurs crimes

Chantage, menaces, dénonciation calomnieuse sur des blogues, contacts avec l’employeur pour lui signaler le comportement insuffisamment communautariste de son salarié : tout l’arsenal des pressions sociales et psychologiques y est passé contre celui qui a osé révéler un secret de cette sorte de mafia.

En effet, la direction de l’école judaïque –yeshivah – en question se sentant menacée, ses dirigeants ont eux-mêmes mené la kabbale pour éviter que ça ne desserve leur image pourtant déjà bien écornée, décrivant l’homme visé comme un « malade » et un « traître » qui devrait être expulsé de sa communauté.

Il faut dire que chaque décennie passée est désormais l’objet de scandales sexuels impliquant cet établissement d’enseignement décadent.

Chaque décade connaît ses affaires de pédocriminalité dans cette yeshiva de Melbourne

Ainsi, pour des cas remontant aux années 1980, une magistrate a déclaré, en 2012, « inconcevable » que le rabbin Abraham Glick, alors supérieur de cet établissement scolaire, ne fût pas au courant des abus sexuels qui s’y produisaient.

Pour les années 1990, le gardien Cyprys et le professeur David Kramer ont été emprisonnés après avoir été déclarés coupables, l’année dernière, d’agressions sexuelles reconnues. Après que des parents se soient plaints des agissements de Kramer auprès de l’école, celle-ci lui avait permis de partir en Israël. Puis il s’était rendu aux États-Unis d’Amérique (ÉUA) où il avait… violé un garçon de douze ans. Emprisonné un très court laps de temps en Australie, il vient d’être extradé vers les ÉUA pour y être également emprisonné.

Et pour la décade 2000, Aron Kestecher, a été convoqué au tribunal l’an passé pour des accusations d’abus sexuels, également sur des enfants, au sein de cette école, mais il s’est suicidé avant le procès, ce qui plaide plutôt en faveur de sa culpabilité.

On attend désormais que d’autres acteurs de cette yeshivah soient interrogés pour n’avoir pas signalé à la police les personnes soupçonnées et avoir ainsi contribué à cacher leurs crimes, respectant ainsi la tradition de secrets internes à cette communauté.

Dans une yeshiva de Sidney, les noms diffèrent, mais les comportements sont les mêmes

L’école juive de Bondi, toujours en Australie, a connu les mêmes agissements. La pédocriminalité à l’encontre d’adolescentes et d’adolescents était connue de la direction de l’établissement – dont le rabbin Boruch Lesches – mais a été cachée à la police non juive, alors que des parents s’étaient déjà plaints – mais seulement auprès de l’école – du comportement de Daniel Hayman.

Ce dernier a plaidé coupable d’attentats à la pudeur et a ainsi écopé de 19 mois d’interdiction de travailler en école, mais a bizarrement échappé aux poursuites pour l’agression d’une fillette de douze ans.

Tentant de se disculper d’avoir couvert les crimes de son subordonné dont il était parfaitement informé, le rabbin Boruch Lesches s’est emmêlé dans ses inventions mensongères, d’autant plus qu’il a été progressivement confronté aux contradictions entre ses différentes déclarations.

Il aura donc été tantôt « convaincu » que les personnes étaient consentantes, ce qui est légalement impossible pour des mineurs, et donc tantôt pas au courant d’affaires impliquant… des mineurs.

Mais il a été enregistré en train de demander à ce même Daniel Hayman de ne pas approcher un garçon de dix ans son cadet. Confronté à cette conversation, il a finalement été contraint de reconnaître qu’il avait tenu ces propos.

Pas sûr que toutes ces affaires et leurs prochains rebondissements judiciaires soient beaucoup relayés en France dans les médiats de leur République, sauf peut-être pour tenter d’en minimiser la présentation, maintenant que nous les avons signalées.

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