Karl Zéro revient sur l’affaire de la petite Rose. Sa mère, française vivant en Israël, et son beau-père sont accusés du meurtre de la petite fille de 4 ans, dont le corps a été retrouvé dans une valise rouge, sur les bords d’une rivière.
On va revenir sur deux affaires de réseaux pédophiles, passées fort discrètement il y a quelques années bien qu’elles révèlent d’intéressantes connexions. Jean-Marc Smadja a été condamné à 8 ans de prison ferme, avec une dizaine de complices dont Michel Albenque, une sorte de parrain pédocriminel qui se faisait appeler « tonton Mimi ». Le procès de ce réseau « pédophile » a débuté en septembre 2002 et bizarrement, on n’en a pas beaucoup parlé. C’était (soi-disant) le premier procès d’un réseau pédophile en France. Et presque le dernier, puisqu’Outreau s’est déroulé à la même époque. Dans la foulée, c’est Robert Mégel qui est condamné pour pédophilie dans le centre pour délinquants qu’il dirigeait. Un centre géré par du beau monde, qui n’a « rien vu, rien entendu » pendant des années.
À l’occasion de la manifestation contre les placements abusifs d’enfants, qui se déroulait à Paris le 8 août dernier, le Cercle des Volontaires a rencontré Chérif Delay, l’un des enfants victimes de l’affaire d’Outreau. Douze ans après l’éclatement de cette affaire, Chérif, aujourd’hui âgé de 23 ans, nous raconte son parcours pour se reconstruire et son combat au quotidien pour rester debout. Il nous interpelle sur l’omerta des pouvoirs publics français sur ces affaires de pédo-criminalité, mais aussi sur les œillères de beaucoup de nos concitoyens concernant l’existence de réseaux pédo-criminels.
Daniel Galvan Vina, dit le « violeur de Kénitra », est un prédateur sexuel condamné, au Maroc, en juin 2012, à 30 ans de prison ferme pour le viol de onze enfants âgés de 4 à 15 ans. Né en Irak, il obtint la nationalité espagnole par mariage. Employé de l’Université de Murcie en Espagne, il fut ensuite emprisonné en Irak, où il aurait aidé à renverser Saddam Hussein.
Titre d’origine: « Kubrick & The Illuminati – Don’t you want to go where the rainbow ends? »
A l’occasion de son anniversaire -Stanley Kubrick aurait eu 85 ans le 26 juillet dernier-, un joli cadeau a fait son apparition sur la toile pour tous les fans du maître Kubrick : un documentaire de 30 minutes tentant de percer les secrets d’Eyes Wide Shut. Baptisé Kubrick & The Illuminati et sous-titré « Don’t you want to go where the rainbow ends? », le film, illustré avec de nombreux extraits de films de Kubrick et autres (Nolan, Polanski, Spielberg), développe plusieurs pistes, notamment liées à la scientologie, la pédophilie, la symbolique maçonnique, et aux théories du complot (d’où le titre faisant référence à l’Illuminati). Gasface (Mathieu Rochet et Nicolas Venancio), à l’origine de ce documentaire, s’appuie sur l’analyse du scénariste et critique Laurent Vachaud, auteur de l’article Le secret de la pyramide, publié dans la revue Positif en janvier dernier. Michel Ciment participe également au film.
Des rituels sataniques organisés par des banquiers US se tiendraient régulièrement à Denver, d’après un certain Stew Webb, qui a été marié à une femme de ce sérail, et qui a enquêté sur le sujet auprès de nombreuses sources des renseignements. Il a d’ailleurs alerté les autorités qu’un nouveau né allait être kidnappé en juin 2013, mais cela n’a eu aucun effet.
Dans mon enquête de deux ans sur « Retour à Outreau » (éditions KontreKulture), j’ai évité d’aborder la question maçonnique pour ne pas « polluer » mon principal objectif : la défense des enfants français violés et désormais privés de parole quand ils ne sont pas traités de menteurs ou mêle remis à leurs prédateurs par certains juges.