Toujours en détention arbitraire depuis le 22 février 2022 pour avoir protégé sa fille qui a porté plainte pour inceste.
Article 432-4 du code de procédure pénale :
Toujours en détention arbitraire depuis le 22 février 2022 pour avoir protégé sa fille qui a porté plainte pour inceste.
Article 432-4 du code de procédure pénale :
Parce que personne n’a fait le travail auparavant en francophonie… ce 21 juin verra la mise en ligne d’une (très) lourde compilation qui ne pourra qu’interpeller les plus sceptiques ayant eu le courage de la visionner en intégralité.
– Franc-Maçonnerie : La FIN du SILENCE – 33 Témoignages, 4 Heures de Documents audio & vidéo ➡️ 21 Juin 2023….
A partir de 14h
En soutien à tous les enfants dont la parole a été niée et à leurs parents protecteurs, nous nous retrouvons sur la place du Châtelet à Paris à partir de 14h le 17 Juin 2023.
Signe … !
Tu peux sauver des enfants obligés de vivre chez leur père violeur qu'ils ont dénoncé… (en France, oui!)
♬ son original – Arnaud Gallais
Dijon, 2ème ville étape. Prochaine étape Beauvais le 6 juillet !
#ProtégerLesEnfants #BeBrave #LeSaviezVous #DroitDesEnfants
L’histoire de Tamara et de sa fille Ana est extrême, mais ressemble, hélas à bien d’autres dossiers de victimes d’inceste où la mère protectrice devient l’accusée…
– Je serai jugée en appel pour avoir protégé mon enfant suite à une plainte pour inceste classée sans suite.
– J´ai déjà fait 6 mois de prison et risque 3 ans et 45 000 euros d’amende.
Liste de cagnottes pour aider les mamans en description de la vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=zMOd8y4LK5Y
Sophie Abida refuse de laisser la garde de sa fille de deux ans à un père qu’elle suppose violent et incestueux. Poursuivie pour soustraction d’enfant et en détention provisoire depuis trois semaines, elle a été condamnée ce samedi à dix mois de prison avec sursis avec l’obligation de rendre la fillette, et remise en liberté.
La lutte contre les violences intrafamiliale a besoin d’une grande loi, nous ne pouvons plus avancer petit pas par petit pas. Tout ce temps perdu, ce sont les mères et les enfants qui en pâtissent.
Malgré un droit de garde officiel, certaines femmes refusent de confier leurs enfants à leurs ex-conjoint qu’elles accusent de violences sexuelles. La justice a un mot pour cela : « la soustraction d’enfant ». Et bien souvent, au terme d’un ping pong de procédures entre les juges des affaires familiales et les assises, ce sont les parents protecteurs, devenus hors la loi, et les enfants, qui trinquent.
Porté par la députée PS Isabelle Santiago, le texte était réclamé de longue date par les associations et organisations de protection de l’enfance.