Il fut une époque où Thierry Ardisson invitait et tutoyait Gabriel Matzneff, l’un des plus grand militant pédophile de France. En 1995, tous deux confessaient regretter une époque plus libertaire, celle probablement où Matzneff pouvait publiquement faire l’apologie de la sodomie d’enfants sans être inquiété. Mais en 2002, dans son émission « Tout le monde en parle », Ardisson s’est subitement mis a vouvoyer Matzneff, et a tenté de faire croire à ses téléspectateurs que ce dernier n’avait jamais fait « l’amour » avec des enfants en dessous de l’adolescence. Rappelons donc à cet emblématique représentant du show-business la réalité de celui qu’il a interviewé à au moins trois reprises.
A la fin des années 70, les mêmes bien-pensants progressistes qui soutiennent actuellement la loi pour l’homoparentalité, le mariage homo et la PMA (procréation médicalement assistée), défendaient, au nom de la liberté, de l’égalité et contre les vilains réactionnaires, la pédophilie. 24heuresactu a retrouvé les signataires et leurs revendications concernant la sexualité avec les enfants. Quand l’histoire se répète.
1)J’ai une question qui me vient à l’esprit: pourquoi un officier de police des RG en est arrivé à s’intéresser à la violence des sectes satanistes et à écrire un livre: « Qui veut encore tuer le Christ? »
Attention! Contenu très explicite. Apologie de la pédophilie.
Il y a quinze jours, France-Soir paraissait avec en première page un grand titre sur « une écœurante affaire de mœurs » où un soit-disant éducateur aurait livré à la prostitution internationale des régiments de gamins. L’information reprise par la presse et la TV, concernant cette affaire Dugué » venait d’une seule source : Minute. Pas un journal, pas un journaliste, excepté Libération ne se donnait la peine de vérifier les inculpations contre Dugué : en fait, ni prostitution ni proxénétisme, mais un simple attentat à la pudeur sur mineurs sans violences. Aucun journal n’a d’ailleurs publié de rectificatif. Dugué, qui nous a fait parvenir la lettre qui suit, gagnerait tous les procès en diffamation s’il les intentait. Mais Dugué a décidé de se défendre seul, refusant le concours de tout avocat. Comme l’a écrit Le Monde avec une lourde ironie, Dugué écrit en effet des « thèses sur la pédophilie », comme en témoigne cette lettre. Son univers, celui des couples échangistes, qui se passent des photos d’enfants, sa franchise quant à la sodomie sont d’un langage différent de la pédérastie plus intellectuelle ou artistique. Mais cet homme, voué pendant trois jours à la vindicte publique comme le monstre absolu par les plus puissants médias sur la base d’informations parfaitement erronées, a bien gagné le droit à l’expression depuis sa prison.