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Retranscription de « C’est leur destin« – 20 septembre 2002, M6
Une vidéo introuvable sur le web. Merci à Romain pour avoir retranscrit l’archive à l’INA.
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Retranscription de « C’est leur destin« – 20 septembre 2002, M6
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Vous croyez, vous, à la sorcellerie ? Attention, pas les médiums, voyants et autres astrologues permanentées : nous parlons bien des sorciers. Des mages, des jeteurs de sorts et autres thaumaturges adeptes de magie noire ou blanche, qui enfoncent des aiguilles dans des poupées, fouillent la terre des cimetières, éventrent des crapauds… pour agir sur la réalité. Savoir si ces pratiques sont efficaces n’est pas notre propos, et nous n’avons pas non plus à juger les clients » ordinaires « .
A la demande de Thierry ARDISSON, Karen MULDER chante a cappella son single « I am what I am ». L’animateur lui fait ensuite une interview « Vérité ». Elle évoque sa carrière de top model. Après avoir quitté le métier, elle a fait quelques tentatives pour chanter ou jouer la comédie puis un jour elle a craqué sur le plateau de l’émission et a passé trois mois en clinique pour lutter contre la dépression. Aujourd’hui, elle se sent apaisée et plus heureuse et remercie Thierry ARDISSON de ne pas avoir diffusé sa précédente interview
Télé – médias – FRANCE 3
En novembre dernier, on découvre avec effarement cette affaire insensée de pédophilie en famille.
A Outreau, près de Boulogne-sur-Mer, six personnes, présentées comme des notables sont mises en examen pour viols et agressions sexuelles sur mineurs de 15 ans. Elles rejoignent sous les verrous onze autres personnes. Pendant six ans, des familles auraient abusé de leurs propres enfants. Dont certains auraient même été prostitués au sein d’un réseau qui aurait de ramification en Belgique…
« C’était très glauque, personne ne comprenait ce qu’il se passait, et moi non plus d’ailleurs. Moi j’ai compris assez vite que c’était un piège à con, parceque la position où il m’a mise pour être interviewé n’était pas du tout celle qu’on m’avait dit que j’aurai, c’est à dire qu’en principe j’aurai dû être toute seule, et puis quand j’ai vu qu’il y avait Alain Prost, j’ai dit là il y a quelque chose qui … mais … Ardisson ne peux pas être dans la combine … c’est pas possible (…) »
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xze1nr_marie-laforet-sur-les-revelations-de-karen-mulder_news[/dailymotion]
Extrait de:
Marie-Laforet revient sur son entrevue traquenard chez Thierry Ardisson
Thierry ARDISSON, en présence de Joey STARR et d’Elisa TOVATI, reçoit Marie LAFORET sous le nom de madame de LAVANDEYRA à propos l’affaire Didier SCHULLER et de ses soupçons quant à l’implication de son mari, Eric de LAVANDEYRA, dans cette affaire.
http://frenzy.chez.com/mulder.htm#.VCtp7VfeirY
Thierry ARDISSON reçoit la soeur de Karen MULDER, Saskia, qui fut également mannequin, dans une rubrique « Tout le monde s’explique ». En effet, en octobre 2001, l’animateur est contacté par Karen MULDER car elle a des révélations à faire sur l’agence Elite. Il la reçoit pour l’émission du 31 octobre 2001. Découvrant rapidement qu’elle n’est pas dans un état normal mais dans un délire paranoïaque, accusant un certain nombre de personnalités de l’avoir violée sous hypnose, Thierry ARDISSON décide d’arrêter l’interview et en accord avec la production de ne pas la diffuser. La famille MULDER fait interner Karen dans une clinique pour la soigner. Des « fuites » ayant eu lieu sur internet et dans la presse, la rumeur s’amplifiant de façon mensongère, sa soeur est là pour témoigner de la réalité : Karen va mieux, elle est soignée et n’a jamais eu d’épisode délirant auparavant. Elle a fait une dépression après avoir arrêté sa carrière de mannequin, elle est donc suivie depuis mais reste fragile. La jeune femme demande donc aux médias de ne pas créer une « affaire » là où il n’y en a pas. Un extrait musique générique « Les dossiers de l’écran » en off
Autre affaire. Paul, douze ans, dénonce plusieurs membres de sa famille agissant au sein d’un groupe sectaire, de tendance sataniste : » Ma marraine est entrée avec un bébé de quelques mois et elle l’a donné au grand-père. Le grand père a fait passer le bébé et il m’a donné un grand couteau avec des signes comme des lettres en bâton. Il m’a pris la main et il dirigea le couteau vers le bébé et on a tué le bébé. Il a récupéré le sang et nous l’avons bu un à un. Le grand-père m’a emmené dans l’ancienne maison de sa mère. Il a posé le bébé sur le lavabo en pierre et a repris le même couteau qu’il avait pris pour la cérémonie du sacrifice, il a récupéré une fois encore le sang et a commencé à découper l’enfant. ».
LE DRAME D’OUTREAU rappelle étrangement une autre affaire aujourd’hui entre les mains de la justice française et suisse. Le 15 novembre dernier, la cour d’assises du Maine-et-Loire a condamné respectivement à douze ans et à seize ans de prison Georges Liaigre et son ex-femme Marie-Pierre Collasseau, originaire de Jallais, près d’Angers, pour les viols entre 1984 et 1997 de leurs trois filles.
Pour Samir Tilikète, psychiatre au centre d’addictologie de Limeil-Brévannes, les déclarations de Karen Mulder dans VSD sont «des propos manifestement délirants qui relèvent du secret médical». «On n’a pas le droit de les publier, poursuit le praticien, c’est du people putassier, une démarche quasi pornographique. Et c’est irrespectueux de la personne humaine.» Et de préciser: «Il est impossible d’attribuer la moindre véracité à de tels propos. Ils ne sont ni vrais ni faux. Ce sont soit des constructions totalement inventées, soit nourries de faits réels, vécus par la personne ou empruntés à son entourage, ou bien lus ou vus à la télé. Ce n’est que lorsque l’état du patient s’améliore que le tri pourra intervenir au sein de la relation avec le médecin.» L’hospitalisation abusive de Karen Mulder? «Il s’agit là d’une projection fantasmatique d’une psychiatrie qui n’existe plus. L’hospitalisation à la demande d’un tiers (HDT), lorsque la personne peut être dangereuse pour elle-même et son entourage, est très codifiée. Elle est réévaluée à intervalles réguliers. Et le patient dispose à tout moment d’un recours devant une commission, s’il juge qu’il y a abus», rappelle ce psychiatre.