Archives de catégorie : QUI ose parler

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Libération / VSD Affaire Karen Mulder: «VSD» crée la polémique

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En janvier, le journal a publié l’interview confuse du top model.

«Le cri de détresse d’un grand top model.» Tel est le titre très accrocheur monté à la une par le journal VSD, dans son édition du 3 au 9 janvier. Le grand top model n’est autre que Karen Mulder, 33 ans, icône des années 90, très appréciée en France pour ses participations à la tournée des Enfoirés. Dans l’entretien qu’elle a accordé à l’hebdomadaire, le mannequin d’origine hollandaise égrène une litanie d’épisodes qu’elle aurait vécus. Tous plus douloureux les uns que les autres: abus sexuels pendant la petite enfance, viols répétés commis par son entourage et des personnalités du show-biz.

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VSD n°1271 Le cri de détresse d’un grand top model

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Karen Mulder était l’ange des podiums. Aujourd’hui, certains voudraient la faire passer pour folle.

La star de la mode des années 90 avait tenu à nous recevoir après l’enregistrement de l’émission, non diffusée, d’Ardisson. Entre déprime et parano, elle décrit son milieu avec de poignants accents de vérité.

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Fiche AFFAIRES OUTREAU

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Résumé & infos complémentaires

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Technikart n°58 Docteur Justice

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Sur France 3, Pascale Justice enquête depuis plusieurs années sur les réseaux pédophiles. Un parcours du combattant qui dérange pas mal de monde.

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Le Parisien Affaire Karen Mulder: ouverture d’une information judiciaire

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Titre d’origine: « L’affaire Karen Mulder »

UNE INFORMATION judiciaire contre X pour viols a été ouverte le 20 novembre par le parquet de Paris, suite à un dépôt de plainte de Karen Mulder, et confiée au juge d’instruction parisien Jean-Pierre Gaury. L’ex-mannequin, 31 ans, d’origine néerlandaise, avait effectué courant octobre une série de dépositions au commissariat de la 1 r e DPJ (direction de la police judiciaire) mettant en cause un membre de son entourage ainsi qu’un certain nombre de personnalités qui, selon elle, l’auraient agressée sexuellement.

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L'Humanité Combien d’enfants disparaissent chaque année ?

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Robert Hue vient d’interpeller Marylise Lebranchu, Garde des Sceaux, en lui demandant le chiffre  » des disparitions annuelles de mineurs de moins de quinze ans en France métropolitaine, mais aussi dans les départements et les territoires d’outre-mer, pour les dix dernières années, en évoquant non pas les fugues mais les seuls cas d’enfants dont on n’a plus aucune nouvelle « . L’initiative du député du Val-d’Oise peut sembler étonnante, mais elle pointe une étonnante carence dans le domaine des statistiques : si le nombre de ces disparitions de mineurs existe, il n’est pas rendu public. Pourquoi cette opacité que l’on retrouve dans la plupart des pays de l’Union européenne ? Les seules données chiffrées que nous avons pu exhumer remontent à 1982 et font frémir : 2 232 mineurs de treize à seize ans et 78 enfants de moins de treize ans auraient disparu, en France, cette année-là, sans laisser de traces ! Quelles enquêtes ont été menées pour les retrouver ? On reste sidéré par le contraste qui existe entre la surmédiatisation de quelques cas de disparitions de mineur(e)s et la chape de plomb qui pèse sur ce phénomène massif, s’il est confirmé. Sans doute est-on loin des chiffres rendus publics au Mexique, en juillet dernier. Selon Jose Luis Santiago Vasconcelos, procureur général en charge du crime organisé à Mexico, 130 000 petits Mexicains ont disparu au cours des cinq dernières années. Il parle de réseaux de prostitution, d’industrie pédopornographique et de trafics d’organes. Jusqu’à quel point la France échappe-t-elle à ces trafics ? Peu après avoir révélé l’affaire du cédérom pédocriminel de Zandvoort (Hollande) en février 2000, par dizaines des parents ont contacté l’Humanité pour visionner le fichier établi à partir de ce cédérom. Un document conçu par la police néerlandaise, transmis à Interpol et pourtant inexploité par la police française. Parmi ces parents, une mère lyonnaise à la recherche de son fils, six ans, disparu à la sortie de l’école. Aucune enquête sérieuse n’avait été lancée car les policiers avaient décrété qu’il s’agissait d’une fugue. Avant de passer à l’Humanité pour visionner le fichier, cette mère avait fait un détour par la Brigade des mineurs pour d’éventuelles nouvelles.  » C’est une fugue ! « , lui a-t-on répété. Au bord des larmes, elle nous a confié :  » Mon fils a disparu il y a vingt-six ans et ils me répètent toujours la même chose. « Robert Hue justifie sa demande en ces termes :  » Plusieurs affaires en France, aux États-Unis, en Grande-Bretagne, en Italie, en Russie et ailleurs ont mis en évidence l’existence de réseaux pédocriminels nationaux et transnationaux. Il est cependant difficile d’apprécier aujourd’hui l’ampleur du phénomène car nous ne disposons pas de chiffres et de données statistiques officiels dont la connaissance paraît pourtant indispensable à la recherche de solutions adaptées à cette criminalité d’une nature particulièrement abjecte. « 

Serge Garde

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L'Humanité Angers: Derrière les bourreaux, un réseau

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La cour d’assise d’Angers a condamné à seize et douze ans de prison les parents proxénètes de leurs quatre filles.Seize ans de prison pour la mère tortionnaire, quarante-trois ans, incestueuse et proxénète de ses filles, douze ans pour le père, quarante et un ans, bourreau violeur de ses enfants. La cour d’assises d’Angers (Maine-et-Loire) n’a eu aucune indulgence pour le couple L., dont le sadisme a transformé l’enfance de leurs quatre filles en un enfer quotidien, pendant plus de onze ans : coups et blessures, humiliations, dénutrition, privation des soins les plus élémentaires, viols dès l’âge de cinq ans. L’horreur se lisait sur le visage des jurés tout au long des trois jours de ce procès, jugé en la seule présence des journalistes. Comment ces gamines ont-elles pu survivre, régulièrement battues, sommées de rester des dizaines d’heures debout mains sur la tête, jetées presque nues dans le jardin, la nuit en plein hiver ? Des enfants objets de la perversion de leurs parents, et des désirs des  » clients « . Au su de tout le village, près de Cholet. Plusieurs témoins confirment la rumeur selon laquelle les filles L.,  » on pouvait se les faire « . Et pourtant le martyr des enfants s’est éternisé de 1986 à 1997, sans qu’aucun signalement n’aboutisse. Procès étouffant. Le président Vermorel répète :  » Nous sommes là pour juger ceux-là et rien d’autre. « . Mais le couple L. paraît bien seul dans le box. Où sont les clients, violeurs de mineures de moins de quinze ans ? Claquement de talons, salut militaire, le gradé de la gendarmerie, H., soutient à la barre qu’il n’a rien vu et que Caroline (1), l’aînée des victimes, affabule. Caroline se lève :  » Il ment ! « . Le gendarme H. est accusé par Caroline d’être le protecteur du réseau de prostitution. Or c’est lui qui  » s’occupait  » de l’enquête. De tous les clients dénoncés par les victimes, seul l’un d’eux attend d’être jugé. En correctionnelle, car ses viols ont été décriminalisés. Caroline est l’une des enfants identifiés sur le cédérom pédosexuel trouvé à Zandvoort (Hollande), dont nous avions révélé l’existence. Elle y a reconnu cinq autres mineurs de la région. Quel est le lien entre le Maine-et-Loire et la Hollande ? Cela aurait dû être établi par la juge Ringot qui instruit l’affaire du cédérom, à Paris. Le procès d’Angers, prévu en 2000, a même été repoussé pour cette raison.  » J’ai écrit plusieurs fois au juge Ringot, mais elle n’a jamais répondu « , proteste Me Salquain, avocat de la mère. Pourquoi ce blocage ? Pourquoi l’instruction, à Angers, a-t-elle réduit le dossier à une affaire de parents maltraitants et de proxénétisme sans client ? Le verdict aurait pu être plus lourd si Caroline n’avait demandé l’indulgence du jury :  » Ce sont mes parents, je les aime.  » Pour Jean Claude Disses, l’avocat de Caroline,  » justice a été rendue aux victimes, mais l’essentiel, le réseau, n’a pas été jugé « . Fait significatif, l’avocat général Rudy a fait immédiatement appel, afin que le futur procès soit aussi celui du réseau.

Serge Garde

*L’identité de la victime a été modifiée.

Source: http://www.humanite.fr/node/255697 Suite ...

(France 2, Tout le monde en parle) Karen Mulder fait des révélations explosives sur l’agence Elite et les viols qu’elle a subi

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Émission censurée et introuvable

Tout le monde a en mémoire les remous provoqués dans la presse par l’émission censurée de Thierry Ardisson du 3 novembre 2001, « Tout le monde en parle ». Les invités étaient, entre autres, Karen Mulder et Ophélie Winter. Paradoxalement, la production décida de censurer ce dont tout le monde parla à l’époque.

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(Livre de Laurence Beneux et Serge Garde) Le Livre de la honte : Les réseaux pédophiles

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livre-de-la-honteAu printemps 2000, Serge Garde dans le journal L’Humanité, puis Laurence Beneux dans le Figaro et dans l’émission L.B sur Canal + révèlent l’existence du CD-Rom de Zandvoort contenant 8500 documents pédosexuels, et d’un fichier établi par la police hollandaise. Dans une Europe traumatisée par l’affaire Dutroux, ce CD-Rom devient en France un formidable révélateur de problèmes : pourquoi le déni actuel, comment lutter contre les réseaux, à l’époque d’Internet ? Un deuxième CD-Rom contenant des scènes de viols et de torture inouïe est transmis par les journalistes à la justice. Elle n’a rien fait. Dans leur conclusion, les auteurs annoncent qu’ils existent plus de 20 CD-Rom.

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(Livre de Frédéric Lavachery et Jean Nicolas) Dossier pédophilie – Le scandale de l’affaire Dutroux

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  livre-dossier-pedophilie      Jean Nicolas, journaliste d’investigation, et Frédéric Lavachery, responsable d’un collectif contre la pédocriminalité, se sont associés pour rouvrir le dossier de l’affaire Marc Dutroux. Pourtant, tout semblait avoir été dit. Dutroux arrêté, les corps des enfants retrouvés, l’affaire avait créé une onde de choc sans précédent en Belgique. Une « marche blanche » à laquelle s’étaient associés les médias, les politiques et la population avait réuni tout le pays Plus jamais ça. On s’était indigné, on avait voulu expier. Mais avait-on pour autant identifié tous les coupables et tous les réseaux connexes de l’affaire ? Nicolas et Lavachery montent au créneau. Les deux enquêteurs ont reconstitué méticuleusement le dossier de l’affaire Dutroux et pointent systématiquement toutes les défaillances de l’instruction. À un certain niveau, il apparaît que des politiques, des membres de la Couronne et des hommes de justice ont partie liée avec le trafic d’enfants en vue de parties fines. Du beau linge mouillé dans de sales draps. Comme l’annoncent et le démontrent les auteurs : « pas de doute, le Dossier Dutroux semble aller beaucoup plus loin qu’on l’a d’abord cru : c’est une affaire d’État. –Denis Gombert

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TF1 Secte sataniste et sacrifices d’enfants à Agen – Témoignage de Véronique Liaigre

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Voici le témoignage de Véronique Liaigre, diffusé sur TF1 le 5 juillet 2001 et qui avait mystérieusement disparu par la suite. Le sujet, bien trop lourd pour la chaîne, sera creusé dans notre vidéo de samedi et j’expliquerais les différentes ramifications entre plusieurs affaires et celle-ci. En attendant, voici un résumé de l’histoire de Véronique Liaigre ainsi que son témoignage vidéo…

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(Libération) Images pédophiles: coup de filet

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Perquisition hier chez 66 suspects.

Un réseau organisé de trafic d’images pédophiles sur plusieurs sites Internet a été démantelé hier en France. Au bout de trois ans d’instruction, le juge Pierre Creton, de Troyes (Aube), et la section de recherches de gendarmerie de Reims ont déclenché l’opération baptisée «Forum 51». Du coup, à 6 h 30 du matin, deux cent vingt militaires sont allés interpeller en même temps soixante-six suspects domiciliés sur vingt-sept départements, dont l’île de La Réunion.

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