par Svali
Programmation de NDE
(Note : le contenu de cet article aborde en détails une programmation traumatisante et pourrait être un important déclencheur pour des survivants qui ont subi ce type d’abus. Si vous êtes un survivant, ne lisez pas s’il vous plaît, à moins de vous trouver avec une personne rassurante ou votre thérapeute)
Cet article fait partie d’une série en cours que je suis en train d’écrire comme ébauche sur les programmations complexes pour la suite de mon premier livre, »Briser les chaînes ». Je vais parler de l’une des formes de programmation les plus traumatisantes que peut subir un survivant. Cette programmation implique l’utilisation d’expériences aux frontières de la mort. Les Illuminati ont étudié pendant des années la neurophysiologie humaine et les effets d’un conditionnement traumatisant sur le cerveau et la psyché. En cherchant des méthodes meilleures et plus fiables pour instiller les programmations, ils ont utilisé des recherches provenant de diverses sources : agences du gouvernement, régimes totalitaires, et leurs propres expérimentations continuelles (et secrètes).
Mais certains fondements de ce type de programmation existent depuis des siècles. L’un des plus anciens rituels qu’utilisent les Illuminati est la »cérémonie de résurrection ». Le phénix, symbole de mort et de vie nouvelle, est en fait l’un de leurs symboles les plus appréciés, il symbolise la venue du Nouvel Ordre et de son dirigeant.
Comment se passe une programmation de résurrection ou ses variantes ? Je vais partager ce que j’ai subi et/ou dont j’ai été témoin.
Un jeune enfant d’environ deux ou trois ans va être très fortement traumatisé pendant une cérémonie occulte. Il sera violé, frappé, électrochoqué et même asphyxié et il recevra des drogues qui vont créer un état proche de la mort. L’enfant sentira toujours à ce moment-là des présences suspendues au-dessus de son corps, observant le corps inconscient qui a été torturé au point d’être presque mort. Du personnel médical compétent participera toujours à la programmation de cette mort, surveillant l’état physique de l’enfant pour le ressusciter.
Ils ont un équipement de résurrection et des médicaments sous la main en permanence. L’enfant arrivé à cette extrémité pleurera au fond de son cœur et il reprendra conscience dans d’extrêmes souffrances. On lui dira ensuite qu’il a le »choix » : faire face à une mort certaine ou choisir de vivre en invitant en lui un puissant démon. L’enfant choisit la vie. Un démon entre, l’enfant sombre dans l’inconscience et s’éveille ensuite dans des vêtements propres, dans un lit douillet, enduit d’onguents guérisseurs. Il est extrêmement faible et secoué et une voix féminine (ou masculine) douce, attentionnée lui raconte qu’il est mort, mais que le démon »l’a ramené à la vie », qu’il lui est redevable ainsi qu’à ceux qui l’ont »sauvé » de sa vie et des battements de son cœur. On dit aussi à l’enfant que s’il demande à l’entité démoniaque de partir, on le ramènera dans l’état proche de la mort où il se trouvait quand elle a fait son entrée.
C’est l’un des types d’expérience de NDE utilisée pour contrôler et terrifier un très jeune enfant et pour l’obliger à accepter une spiritualité démoniaque dans les circonstances les plus traumatiques et coercitives imaginables. L’enfant se sent marqué et choisi pour la vie par cette expérience et elle influence profondément les propres croyances intérieures de l’enfant et sa réalité la plus fondamentale. C’est également l’une des plus horribles manipulations que doit subir un jeune enfant et elle est prévue pour leur enlever son libre-arbitre ou sa volonté. Une autre forme de programmation aux frontières de la mort se passera dans les conditions qui ont été souvent appelées »contrôle mental du gouvernement » mais que j’ai toujours vu reliées à la programmation Illuminati (car les formateurs/scientifiques de part et d’autre ont échangé et partagé leurs informations).
Par exemple, au Centre Médical Tulane, il y avait tout à côté un endroit nommé »l’Institut ». L’Institut s’occupait d’expérimenter des techniques de contrôle mental effectuées dans les circonstances les plus extrêmes, incluant à un moment une presque mort physique. Pour certaines de ces programmations, le »sujet » (comme je hais ce mot utilisé par les formateurs pour se distancer émotionnellement du fait que c’est un être humain avec des sentiments et des émotions sur lesquels on travaille) va dans une pièce de l’hôpital isolée des autres par des murs nus gris clair. Le sujet est attaché à quatre endroits et aussi à la taille et au cou. On l’enveloppe ensuite dans une sorte de cocon de bandages souples qui limite les mouvements ou supprime toute sensation dans les membres. Les »sujets » sont habituellement nourris par intraveineuse et ils subissent ensuite une forte privation sensorielle, bombardés par des bruits extrêmement violents. L’obscurité de la pièce sera entrecoupée en pleine nuit de lumières blanches éblouissantes, et le »sujet » va perdre le sens du jour et de la nuit.
Le sujet, presque brisé, est ensuite électrochoqué fortement et drogué. Il peut être mis sous respirateur et recevoir des drogues paralysantes. Le niveau d’angoisse atteint des points extrêmes à mesure de l’avancement des abus et j’ai entendu dire que des gens faisaient littéralement des crises cardiaques à cause de la peur vécue à ce moment-là. La personne est droguée et choquée de nouveau et on lui dit qu’elle est en train de mourir. Elle voit son corps par au-dessus et elle est en fait heureuse à ce moment-là d’être enfin libérée de ses jours de torture.
Puis un formateur à la douce voix gentille arrive et lui répète sans arrêt »tu mérites de vivre, je ne te laisserai pas mourir. Tu me dois la vie. » Des messages enregistrés sont également diffusés en permanence qui décrivent la future destinée des »sujets » envers la »famille », etc. Finalement, avec lenteur, on autorise le sujet à se réveiller, à sortir de son inconscience, accompagné du constant message qu’il est »re-né » pour le groupe familial. Des gens au visage aimable réconfortent le sujet pendant qu’il récupère de cette séquence de programmation horriblement traumatisante. La personne se sent extrêmement reconnaissante d’être en vie, d’être libérée des horreurs de ces journées où elles gisaient à l’Institut dans un état proche de la mort et elle agrippera comme un petit enfant les adultes autour d’elle. Elle est très vulnérable à ce moment-là et extrêmement réceptive aux messages intégrés sous trauma. Je devrais le savoir. J’ai été un »sujet » de l’Institut en tant qu’enfant dans les années 60 et au début des années 70 et ensuite comme adulte, en tant que »consultante ».
C’est une programmation d’un niveau intense exécutée dans des circonstances extrêmes et le niveau de peur d’un survivant qui commence à se souvenir de ce type de trauma peut être extrêmement élevé. Je voudrais pouvoir enjoliver, dire que ce n’est pas si méchant, mais ça l’est réellement. Je sais que certains seront incrédules, mais ce type de programmation existe réellement (avec d’autres types de méthodes sophistiquées de contrôle mental). La programmation aux frontières de la mort possède de nombreuses variantes et je n’en aborde que deux (il en existe aussi d’autres formes).
Une programmation installée dans un état proche de la mort existera au niveau le plus fondamental, car le niveau de survie à ce moment-là touche le cœur de l’être, peu importe que le sujet soit bien protégé ou non. La personne l’ayant subi peut penser qu’elle va en mourir si elle tente de la rompre. Qu’elle va se retrouver dans un état proche de la mort. Que son cœur va s’arrêter. J’ai traversé toutes ces peurs et d’autres en affrontant ce type de programmation intérieure et aujourd’hui je combats de temps en temps la terreur résiduelle qu’elle a laissée. Les mensonges proférés dans cet état presque inconscient seront crus à un niveau profond, car l’enfant qui le subit a un besoin désespéré de croire les adultes qui tiennent littéralement sa vie et sa mort entre leurs mains. L’enfant a été complètement brisé par l’horrible trauma programmé et adoptera ces messages comme vrais.
Voilà pourquoi des croyances et messages intégrés sont si difficiles à supprimer à ce niveau. Cela nécessite un excellent soutien, un environnement sécuritaire et une connaissance et un discernement spirituels, car le bastion démoniaque sera également très sérieux. L’aide d’un thérapeute averti sur les programmations et un suivi spirituel par des personnes qui connaissent les moyens de l »exorciser seront des éléments vitaux de la thérapie. Le survivant qui a atteint ce niveau de programmation intérieure aura touché le fond du fond. Cette programmation sera l’une des plus intégrées et restera impossible à cerner à un niveau conscient, sauf s’il existe une coopération profonde, un climat sécurisant et une mise en confiance de la part des personnes extérieures qui aident le survivant. C’est là aussi que la foi en Dieu, en Sa capacité de TOUT guérir, même les traumas physiques, émotionnels et spirituels les plus sévères fera toute la différence. Ce type de programmation peut nécessiter un cadre sécurisant hospitalier ou un climat d’extrême sécurité en extérieur, car la peur peut engendrer de la panique et son extériorisation quand elle commence à s’évacuer. Une perte de la réalité peut se produire quand les séquences de programmation font surface et il faudra une puissante aide pour que les souvenirs surgissent lentement et qu’ils soient gérables. Des médicaments seront probablement nécessaires pour contrer une forte tendance à la dépression, un sentiment de perte, d’abandon et de trahison qu’implique ce type de programmation. Se manifesteront du désespoir pour les choix qui ont été faits et une interrogation sur la possibilité de survivre aux souvenirs. Une attitude compassionnelle d’encouragement peut faire la différence. Seront aussi très importants la lecture de passages des Écritures qui rappelleront à la personne l’amour de Dieu et sa capacité à guérir, Son attention et les promesses de pardon. Se déconnecter de ce genre de programmation est extrêmement fatigant et il faut beaucoup de repos et une alimentation nutritive. Ce N’EST PAS le moment d’ajouter des causes de stress extérieures. Permettre au survivant d’évacuer sa peur, le rassurer, prier avec lui et rester attentif deviendront des guides de vie. Écouter sa colère sur ce qui a été fait quand il parle des »fils de pute qui lui ont fait ça » sera guérisseur et ne pas le précipiter vers un pardon prématuré ou faux. Le survivant devra regarder le trauma et les blessures et les reconnaître et ensuite découvrir qu’il y a un espoir de survie aux souvenirs du trauma intégré. Lui faire vivre de bonnes expériences non obligatoires comme des jeux, du dessin ou une promenade dans la nature seront des éléments de guérison. Des débouchés comme un journal intime et des discussions sur ses sensations seront très importants dans le processus de ce type de programmation.
Je viens de décrire une des plus traumatisantes programmation qui puisse être faite dans ce groupe à un enfant ou un jeune adolescent. Il est possible d’en venir à bout, lentement, avec du temps et un soutien affectueux et des prières. Je souhaite en l’évoquant ne pas avoir été trop gore ou trop crue, mais avoir aidé d’autres gens à comprendre que ce type de programmation se pratique et que le survivant d’abus occultes ritualisés a le besoin de le surmonter.
Traduction Hélios pour pedopolis
Source (page 190): http://www.fichier-pdf.fr/2012/11/24/ritual-abuse/