1. La « justice » française trouve des prétextes à deux balles pour montrer qu’une maman aimante est, en fait, une mauvaise mère (liste non-exhaustive): relation mère-enfant trop fusionnelle, fragilité psychologique de la maman (qu’est ce que ces deux notions, de « relation trop fusionnelle » et de « fragilité psychologique » veulent dire, concrètement ? Aucune idée), refus de scolarisation de l’enfant suite au harcèlement scolaire, le fait que la maman n’a pas pu/su protéger son enfant du père de l’enfant /conjoint violent, dénonciations, par la maman, de faits de nature violente et/ou sexuelle subis par son enfant à l’école, chez le père de l’enfant, etc., ces dénonciations étant d’emblée considérées comme abusives par la « justice » française, etc.
2. La maman se voit retirer la garde de l’enfant, au bénéfice du père de l’enfant ou d’une structure d’accueil (foyer/maison d’enfant, famille d’ accueil)
3. La maman n’arrive pas à accepter le fait qu’elle soit privée de son enfant sans aucune raison valable
4. La maman, privée de son enfant sans aucune raison valable, en souffrance, désespérée, voulant protéger son enfant, peut, selon le cas: dénoncer l’injustice dont son enfant et elle même sont victimes, refuser de rendre son enfant au père / à la structure d’accueil, essayer d' »enlever » son propre enfant, etc
5. Ça y est, la maman aimante est considérée une criminelle par la « justice » française