Suite aux réquisitions lourdes du procureur : 15 mois de sursis dont 9 mois fermes avec 2 ans de sursis probatoire.
Les juges ont statué à 10 mois de prison avec sursis probatoire pour le délit de soustraction d’enfant, et la remise de la petite dernière, au père.
J’aimerais attirer votre attention sur le fait que Sophie ADIBA, n’a fait que protéger ses enfants et dénoncer les violences qu’ils-elles subissent quotidiennement.
En remettant ses 4 enfants au père, et en lui collant un sursis probatoire : le tribunal de Chartres la musèle définitivement… Pour voir ses enfants et ne pas finir en détention, Sophie va devoir se taire, en priant qu’au pénal, l’affaire ne soit pas classée. Et jouer le jeu de son ex-bourreau et du présumé agresseur de ses 4 enfants.
Désormais, quelques heures de visites médiatisées lui seront accordées, si elle est coopérative.
( et elle le sera. Parce qu’elle aime ses enfants plus que tout…)
Selon les juridictions, une mère qui dénonce des faits d’inceste et d’agressions sexuelles a plus de chance de finir derrière les barreaux pour soustraction d’enfants, qu’un père de famille, présumé coupable
(une enquête pénale est tjrs en cours) déjà condamné pour des faits de violences.
La parole des enfants n’est pas entendue. Le principe de précaution est violé et piétiné. C’est la violence de la loi des pères…
Le combat continue …
Merci aux militantes présentes a Chartres hier, et celles toujours aux côtés de Sophie ❤️… Reposez-vous bien
Bravo à @RongierPauline qui se bat sans défaillir contre un prétoire pro-SAP.
#JusticePourSophieEtSes4Enfants
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