Découvert au gré d’investigations mettant en cause un policier de Montauban (Tarn-et-Garonne), un groupe de discussion aux contenus vulgaires et sexistes fait désormais l’objet d’une enquête dédiée qui pourrait éclabousser policiers et magistrats haut placés.
L’affaire du groupe WhatsApp sur lequel magistrats et policiers de Montauban (Tarn-et-Garonne) s’échangeaient messages et photos à caractère pornographique change de dimension. Selon nos informations, le parquet de Montauban, « après lecture et analyse du dossier d’enquête par la direction territoriale de la PJ de Toulouse », a ouvert le vendredi 26 mai une information judiciaire pour « violation du secret professionnel et recel, violation du secret de l’enquête et de l’instruction et recel », mais aussi « tentative ou corruption de mineur de plus de 15 ans ».
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