« Une personne de mon entourage familial (elle cite un nom) a abusé de moi sexuellement, j’avais deux ans. C’est un psychopathe. Il m’avait placé sous hypnose. Depuis, toute personne ayant de l’autorité et connaissant mon secret peut me manipuler. Tant que je n’avais pas évacué la terreur de mon enfance, n’importe qui, en me faisant peur, pouvait avoir une emprise sur moi (…)
Dans des signalements, trois ex-mannequins accusent Gérald Marie de « viols ».
Après Jean-Luc Brunel, une autre figure du monde des mannequins est visée par la justice : le parquet de Paris a ouvert une enquête contre Gérald Marie, l’ancien patron Europe de la célèbre agence Elite, après des accusations de viols lancées par quatre femmes.
Description par l’auteur: « Je n’ai pas eu le temps de le faire au moment de la diffusion d’Apprenez à Voir 3-1, mais voici l’organigramme autour de Jeffrey Epstein que vous apercevez dans ma vidéo. »
« Toute personne ayant de l’autorité et connaissant mon secret peut me manipuler. Tant que je n’avais pas évacué la terreur de mon enfance, n’importe qui, en me faisant peur, pouvait avoir une emprise sur moi. On a essayé de faire de moi une prostituée : c’était tellement facile, je ne me souvenais de rien, j’oubliais tout. »
Pour la première fois dans le monde francophone, un livre tente d’explorer les sujets complexes que sont les abus rituels traumatiques et le contrôle mental qui en découle. Il s’agit ici d’approfondir la lourde question de la pédocriminalité élitiste, aussi appelée le pédo-satanisme.
La société de mannequins s’estime diffamée par l’un de ses ex-associés.
C’est une guerre d’images si féroce et interminable qu’elle devait s’achever devant la 17e chambre correctionnelle du tribunal de Paris, spécialisée dans les procédures en diffamation. Une guerre de communication telle que le plaignant, numéro 1 mondial des agences de mannequinat, Elite, prend soin, démarche inhabituelle, de faire distribuer un dossier de presse aux chroniqueurs judiciaires.
homme d’affaires libanais
IL EST L’HOMME par qui le scandale avait rebondi. L’été dernier, dans une interview au magazine « Capital », Omar Harfouch, un homme d’affaires libanais, avait porté de nouvelles accusations de harcèlement sexuel sur mineures et autres pratiques douteuses dont se seraient rendus coupables certains responsables de la célèbre agence de mannequins Elite.
A la demande de Thierry ARDISSON, Karen MULDER chante a cappella son single « I am what I am ». L’animateur lui fait ensuite une interview « Vérité ». Elle évoque sa carrière de top model. Après avoir quitté le métier, elle a fait quelques tentatives pour chanter ou jouer la comédie puis un jour elle a craqué sur le plateau de l’émission et a passé trois mois en clinique pour lutter contre la dépression. Aujourd’hui, elle se sent apaisée et plus heureuse et remercie Thierry ARDISSON de ne pas avoir diffusé sa précédente interview