Il comparaissait vendredi devant le tribunal correctionnel de Toulouse. L’audience a été reportée au mois prochain.
Le principal accusé de l’affaire d’Outreau, Thierry Delay – condamné en 2004 à vingt ans de prison pour viols sur ses fils – avait cette semaine de nouveau rendez-vous avec la justice. Il comparaissait ce vendredi devant le tribunal correctionnel de Toulouse pour des faits présumés d’agressions sexuelles et de harcèlement envers l’une de ses co-pensionnaires, dans un établissement de santé de Haute-Garonne, révèle La Dépêche du Midi.
En 2016 je rencontre celui avec qui j’aurais un petit garçon, C. qui naît en Mars 2018.
À la suite de violences conjugales je quitte cet homme et retrouve ma famille dans le Nord de la France. J’avais quitté ma région pour Monsieur… Mais en Juillet 2018, C. âgé de 4 mois à peine, m’est enlevé par son père lors d’une consultation à l’hôpital d’où il s’enfuit en courant! Malgré la violence de la scène, personne ne peut rien faire car pas de jugement statuant sur la garde de C. . 4 jours plus tard, alors que j’attendais devant le domicile de Mr, je le vois sortir et le supplie de me rendre mon bébé, ce qu’il refuse et part en courant avec mon bébé dans les bras!! Voyant sa petite tête secouée, je hurle -ce qui alerte les passants qui interviennent. Mr chute avec le bébé, qui sera gardé 10 jours en observation par l’Unité Hospitalière de l’Enfance en Danger (UHED) de Toulouse.
Avant sa sortie, cette même unité me faisait signer un document fixant la résidence de C. chez son père, à Toulouse et m’obligeant à repartir vivre chez lui.
Le père a saisi le JAF de Toulouse après l’enlèvement de C. en Juillet 2018, l’audience a eu lieu le 5 septembre.
En septembre dernier, cette mère de famille s’est vue retirer la garde de son nourrisson par la justice toulousaine. Une décision qui faisait suite à une séparation d’avec le père de l’enfant : un influent chirurgien toulousain.
Des dysfonctionnements ont-ils abouti à séparer Pegah Hosseini de son fils ?
Tous les pédopsychiatres et spécialistes de la petite enfance insistent : on ne doit jamais séparer un bébé de sa mère. C’est pourtant ce qu’il s’est passé pour Pegah Hosseini. Une série de dysfonctionnements ont-ils abouti à séparer C., né en mars 2018 et sa mère ? Cette mère de famille est tombée amoureuse d’un chirurgien plasticien toulousain reconnu et influent. De cette union est né C. Mais dès le début de la grossesse le couple ne s’entend plus, les disputes et les conflits (parfois violents) sont permanents, jusqu’au paroxysme, à Toulouse en juillet dernier.
La pièce issue du livre « Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon » est mise en scène à Toulouse au théâtre du Grand Rond et présentée dans le cadre scolaire à des élèves de primaire.
CEDIF : Bonjour Professeur Tarrius, vous êtes professeur émérite des universités à Toulouse le Mirail, vous avez été directeur du département de sociologie et d’ethnologie de l’université de Toulouse, vous êtes membre du comité de lecture de la Revue Européenne des Migrations internationales, membre du comité scientifique de la Revue des Sciences Sociales. Vous êtes membres de plusieurs commissions dont la « Commission Nationale d’Evaluation des Politiques Urbaines.
Dans cette étape toulousaine nous sommes allés à la rencontre de Gilbert Abas ancien membre des renseignements généraux (devenu la DCRI) dénonce les réseaux pédo-sataniste qui agissent en toute impunité en France.
A Toulouse, ce non-lieu est loin de faire l’unanimité et dix ans après les graves accusations portées contre Dominique Baudis, la mort de ce dernier pourrait bien réveiller de mauvais souvenirs, ainsi que de nouvelles velléités de mise au jour de la vérité.Je n’ai ni la prétention de rouvrir l’enquête, ni celle de réécrire l’histoire. Cependant, je me souviens de ce sentiment de malaise à la vue des grosses gouttes de sueur perler sur le front de Dominique Baudis, alors qu’il annonçait lui-même sa mise en cause dans l’affaire, le 18 mai 2003 sur le plateau du JT de 20h sur TF1. Alors sans vouloir tirer sur le corbillard, considérons simplement ces quelques faits :