Archives de catégorie : Suisse

(Jacques Thomet) Priscilla Majani, la mère de Camille Chauvet, en fuite depuis 11 ans pour un inceste paternel présumé, a été extradée de Suisse vers la France

Article de Jacques Thomet du 4 août 2022 :

La mère de Camille Chauvet, en fuite depuis 11 ans pour un inceste paternel présumé, a été extradée de Suisse vers la France Priscilla Majani, arrêtée en février en Suisse où elle avait fui depuis onze ans pour échapper à son mari Alain Chauvet, le père de leur fille qu’elle accusait d’inceste sur la petite alors âgée de cinq ans, a été extradée à Toulon (Var) mardi (officiel). Avant d’y être jugée pour soustraction de mineure, la mère de Camille va être entendue par un juge des libertés et de la détention à Toulon. Ingénieure et officier de l’armée française, Mme Majani avait tout abandonné en 2011 pour trouver refuge dans la région de Lausanne avec Camille, aujourd’hui âgée de 16 ans. La jeune fille, placée dans un foyer suisse, n’a pas été renvoyée à Toulon avec sa mère. Elle avait refusé de rencontrer son père lorsqu’il s’était rendu en Suisse en mars. Voici la version de la mère rapportée par mes sources : en 2011, Camille faisait l’objet d’une garde alternée chez les deux parents, en instance de divorce. Le 5 janvier, au retour de chez son père, la fillette révèle à sa mère les violences sexuelles qu’elle aurait subies, avec des détails qu’un enfant de cet âge ne peut pas inventer. Priscilla fait alors un signalement au commissariat de police à Hyères (Var). Les 6 et 7 janvier, Camille est auditionnée à deux reprises en audiovisuel (procédure dite Mélanie) par les policiers et confirme ses dires. Le 7 au soir, l’officier en charge du dossier, mandaté verbalement, selon lui, par le substitut du procureur, annonce à Priscilla qu’elle peut garder sa fille face à ce contexte. Mais jamais la mère n’obtiendra copie de cette décision malgré ses demandes réitérées. Le 17 janvier, Camille se confie soudain devant sa mère et sa grand-mère, et révèle d’autres atrocités sexuelles commises par le père selon elle. Priscilla, « effondrée » selon ses propres mots, porte alors plainte devant la police dès le lendemain. Le 21 janvier, l’officier de police déjà cité annonce à Priscilla un classement sans suite par le juge, les faits « n’ayant pas été établis » après l’audition du père, à qui elle est sommée de rendre l’enfant le soir même. Sur le conseil de son avocate, la mère exige une décision écrite du juge, et garde son enfant. Elle n’a jamais reçu ce document, affirme-t-elle. Le 24 février, raconte-t-elle, « deux policiers sautent par- dessus la porte de mon jardin, tapent à la porte et menacent de l’enfoncer si je n’ouvre pas ». Son avocate, contactée, lui conseille d’ouvrir, les policiers ayant indiqué qu’il s’agissait d’une audition. Conduite au commissariat, elle est mise en garde à vue. « On me prend mes empreintes digitales, y compris des paumes, s’étonne-t-elle, mon ADN, et je me retrouve en cellule. Menottée, les policiers me conduisent alors en voiture à vive allure, gyrophares allumés, chez une psychiatre. Celle-ci, désagréable, met la faute sur moi. Je suis reconduite au poste, et j’y passe la nuit en cellule sans couverture. Le lendemain matin, un policier en colère m’annonce que ma mère a disparu avec Camille et qu’elle va être poursuivie pour enlèvement d’enfant. Or j’avais toujours officiellement la garde de ma fille. « Conduite menottée au tribunal de Toulon, je suis reçue par le substitut du procureur, qui m’ordonne une obligation de soins et la remise de Camille à son père. La juge des libertés et de la détention (JLD) me confirme ces instructions et me convoque à une audience au tribunal le 29 mars pour « non présentation d’enfant ». « Libérée sous contrôle judiciaire, j’en conclus à de sérieux problèmes dans l’appareil judiciaire du Var, et je me dois de protéger ma fille. C’est ainsi que je me suis retrouvée avec elle dans la clandestinité, au détriment de ma carrière dans l’armée, sans ressources, mais dans l’attente d’autorités intègres qui fassent leur travail de façon responsable ».

 

Article de Jacques Thomet du 6 août 2022 :

Exclusif La mère de Camille Chauvet a été incarcérée à Marseille et sera jugée en septembre à Toulon Priscilla Majani, extradée mardi en France après son arrestation en Suisse où elle avait fui avec sa fille depuis onze ans pour échapper à son mari Alain Chauvet, qu’elle accusait d’inceste sur la petite alors âgée de cinq ans, a été incarcérée ce samedi soir à la prison des Baumettes (Marseille), selon une source sûre. Elle sera jugée le 16 septembre à Toulon (Var) pour soustraction de mineure et non-présentation d’enfant. Ces décisions ont été prises par le juge des libertés et de la détention (JLD) de Toulon. Après son extradition, elle avait passé quelques jours à la prison des femmes de Toulon. Selon la sœur de la détenue, qui a pu parler au téléphone avec Priscilla, la mère de Camille « n’a pas reçu de nourriture pendant son séjour à la prison de Toulon, et elle a faim », m’a affirmé la même source. Elle n’a plus d’avocat, faute de ressources. Ingénieure et officier de l’armée française, Mme Majani avait tout abandonné en 2011 pour trouver refuge dans la région de Lausanne avec Camille, aujourd’hui âgée de 16 ans. La jeune fille, placée dans un foyer suisse, n’a pas été renvoyée à Toulon avec sa mère. Elle avait refusé de rencontrer son père lorsqu’il s’était rendu en Suisse en mars. Camille ne sera pas extradée en France, selon mes informations, car la loi locale autorise un mineur de plus de 15 ans de rester en Suisse s’il le souhaite, à condition d’y avoir eu une vie sociale reconnue depuis au moins un an, ce qui est le cas.

Article de Jacques Thomet du 7 août 2022 :

L’adresse de Priscilla Majani à la prison de Marseille La mère de Camille Chauvet, dont j’ai publié le dossier dans mes précédents papiers, est détenue à la prison des Baumettes à Marseille dans l’attente de son procès à Toulon le 16 septembre. Voici son adresse pour ceux qui souhaitent la contacter:

Mme Priscilla Majani

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(Jacques Thomet & CIDE) Mises au point de Jacques Thomet sur l’arrestation de Priscilla Majani et de sa fille Camille, en fuite depuis 11 ans

17 mars 2022 , Jacques Thomet pour le CIDE :

L’enlèvement de Camille Chauvet par sa mère : leur version contredit celle du père (Jacques Thomet – Délégué du CIDE) Un nouveau coup de théâtre vient d’éclater dans l’affaire Camille Chauvet, cette fillette française de 5 ans enlevée par sa mère Priscilla il y a 11 ans près de Toulon, et retrouvée lors de la récente arrestation en Suisse de la maman, ingénieure et officier de l’armée française. Le Comité international pour la dignité de l’enfant (CIDE-Lausanne) a eu accès à plusieurs sources concordantes sur les faits dénoncés par Priscilla et Camille, qui contredisent la version du père, Alain Chauvet. Face aux dénégations du père, accusé par la mère et Camille d’inceste sur la petite, Priscilla a maintenu ses dires devant ces sources, de même que la fillette, et relaté les dysfonctionnements, selon sa version, de la justice française dans ce dossier. Le CIDE a jugé utile d’en faire état face au déchaînement médiatique contre Priscilla à partir de la seule et unique version d’Alain Chauvet sur ce qu’il a qualifié de « mensonges ». En 2011, Camille fait l’objet d’une garde alternée chez les deux parents, en instance de divorce. Le 5 janvier, au retour de chez son père, la fillette révèle à sa mère les violences sexuelles qu’elle aurait subies, avec des détails qu’un enfant de cet âge ne peut pas inventer. Priscilla fait alors un signalement au commissariat de police à Hyères (Var). Les 6 et 7 janvier, Camille est auditionnée à deux reprises en audiovisuel (procédure dite Mélanie) par les policiers et confirme ses dires. Le 7 au soir, l’officier en charge du dossier, mandaté verbalement, selon lui, par le substitut du procureur, annonce à Priscilla qu’elle peut garder sa fille face à ce contexte. Mais jamais la mère n’obtiendra copie de cette décision malgré ses demandes réitérées. Le 17 janvier, Camille se confie soudain devant sa mère et sa grand-mère, et révèle d’autres atrocités sexuelles commises par le père selon elle. Priscilla, « effondrée » selon ses propres mots, porte alors plainte devant la police dès le lendemain. Le 21 janvier, l’officier de police déjà cité annonce à Priscilla un classement sans suite par le juge, les faits « n’ayant pas été établis » après l’audition du père, à qui elle est sommée de rendre l’enfant le soir même. Sur le conseil de son avocate, la mère exige une décision écrite du juge, et garde son enfant. Elle n’a jamais reçu ce document, affirme-t-elle. Le 24 février, raconte-t-elle, « deux policiers sautent par- dessus la porte de mon jardin, tapent à la porte et menacent de l’enfoncer si je n’ouvre pas ». Son avocate, contactée, lui conseille d’ouvrir, les policiers ayant indiqué qu’il s’agissait d’une audition. Conduite au commissariat, elle est mise en garde à vue. « On me prend mes empreintes digitales, y compris des paumes, s’étonne-t-elle, mon ADN, et je me retrouve en cellule. Menottée, les policiers me conduisent alors en voiture à vive allure, gyrophares allumés, chez une psychiatre. Celle-ci, désagréable, met la faute sur moi. Je suis reconduite au poste, et j’y passe la nuit en cellule sans couverture. Le lendemain matin, un policier en colère m’annonce que ma mère a disparu avec Camille et qu’elle va être poursuivie pour enlèvement d’enfant. Or j’avais toujours officiellement la garde de ma fille. « Conduite menottée au tribunal de Toulon, je suis reçue par le substitut du procureur, qui m’ordonne une obligation de soins et la remise de Camille à son père. La juge des libertés et de la détention (JLD) me confirme ces instructions et me convoque à une audience au tribunal le 29 mars pour « non présentation d’enfant ». « Libérée sous contrôle judiciaire, j’en conclus à de sérieux problèmes dans l’appareil judiciaire du Var, et je me dois de protéger ma fille. C’est ainsi que je me suis retrouvée avec elle dans la clandestinité, au détriment de ma carrière dans l’armée, sans ressources, mais dans l’attente d’autorités intègres qui fassent leur travail de façon responsable ». Priscilla est actuellement détenue dans une prison près de Lausanne, et sa fille placée dans un foyer. Une réunion est prévue ce vendredi 18 mars entre les avocats des deux parties avec un juge de paix, à Morges, près de Lausanne. 18 mars 2022 – Jacques Thomet, article indépendant : Affaire Camille Chauvet: le père s’en prend à la Suisse (mes articles sur ce Facebook personnel n’engagent que moi et sont totalement indépendants de mes fonctions au CIDE de Lausanne) Avant sa confrontation ce matin à Morges (Suisse), devant un juge de paix, avec son ex-épouse Priscilla, détenue près de Lausanne depuis son arrestation en février, Alain Chauvet, le père de la jeune Camille enlevée il y a 11 ans par sa mère et retrouvée avec elle, a mis en cause les autorités helvétiques. « Je suis face à un État étranger qui m’empêche de voir ma fille », a-t-il déclaré à la presse. La réunion entre les parties, accompagnées de leurs avocats, s’est ouverte à 9h30 et n’était toujours pas achevée à 12h30. Article de La Tribune de Genève :  

https://www.tdg.ch/le-sort-de-la-jeune-fille-entre-les-mains-de-la-justice-de-paix-506731178982

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(20 Minutes) Rennes : Un magicien bientôt jugé pour des viols et agressions sexuelles sur 26 enfants

ASSISES Âgé de 35 ans, l’individu est en détention provisoire depuis trois ans et demi

Il est passé aux aveux fin 2017 dans un commissariat à Rennes. Devant les enquêteurs, cet homme, magicien de profession, aurait avoué avoir violé ou agressé sexuellement 26 enfants, selon une information révélée par RMC. Les faits se seraient produits entre 2002 et 2017 dans la capitale bretonne ainsi qu’à Lisieux, Niort ou bien encore en Suisse.

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(BFM) Mia et sa mère retrouvées en Suisse

Invités : Général Jacques Fombonne, ancien commandant du centre national de formation de la police judiciaire, Mélanie Vecchio, journaliste police/justice BFMTV, Maître Guillaume Fort, avocat des grands-parents paternels de Mia, Pascal Neveu, psychanalyste, directeur de l’Institut Français de la Psychanalyse Active (IFPA), et Jacques Morel, Général de gendarmerie, ancien patron de la section de recherche de Versailles.

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(France Soir) La Radio-Télévision Suisse entre pédophilie, harcèlement et mensonge

De gauche à droite :

– Patrick Allenbach, 30 ans journaliste à la RTS, condamné pour crimes sexuel sur mineurs impliquant l’abus de sa position professionnelle. Des témoins rapporteront « tout le monde savait à la RTS ».

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(Konbini) Viols, agressions, pédophilie : voilà de quoi Roman Polanski est accusé

Le cinéaste est accusé de douze agressions sexuelles

Ce vendredi 28 février, Roman Polanski a remporté le César du Meilleur réalisateur. Un prix controversé qui a déclenché le départ fracassant d’Adèle Haenel, Céline Sciamma, Aïssa Maïga et d’autres personnalités du cinéma de la salle Pleyel à Paris, où se déroulait la cérémonie.

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(WhataBeautifulWorld) Interview de Janett Seemann sur Stan Maillaud – le procès du 31.01.2020

Interview téléphonique de Janett Seemann effectué du Venezuela à Lausanne. (réalisée le 23 janvier 2020)

https://youtu.be/seQTX39aOcc

Reportage « Janett Seemann & Stan Maillaud … Le retour » (ou « Dénonciation de l’inquisition pédocriminelle ») (dont la partie 6) : https://smrrr.wordpress.com/2014/08/29/denonciation-de-linquisition-pedocriminelle-conference-video-janett-seemann-stan-maillaud-20132014/

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(RTS) Les bébés volés du Sri Lanka, un scandale suisse

Trafic de bébés volés, l’heure des comptes

Pendant longtemps, l’adoption internationale a fait l’objet d’odieux trafics : enfants volés, documents falsifiés, mères abusées… Ce business du bébé a enrichi des filières criminelles, alimenté par une forte demande occidentale auprès de pays pauvres et instables comme le Sri Lanka, le Brésil, le Liban, la Corée, etc. La Suisse y a participé, les autorités ayant choisi de fermer les yeux. Entre 1980 et 2000, près de 14’000 enfants étrangers ont été adoptés en Suisse. Aujourd’hui ils demandent des comptes.

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(Team Moore) La Team Moore a encore frappé ! Aujourd’hui un autre pédocriminel piégé à Bordeaux, place de la Victoire, devant les caméras d’Envoyé Spécial

70163655_129503058404915_9147492080837197824_nNeila Moore s’est déguisée en petite fille pour attendre le prédateur, au rendez-vous qu’il avait fixé, suite à ses propositions sexuelles et ses photos dénudées qu’il a envoyé à l’enfant virtuelle de 12 ans depuis un mois et demi.
L’individu d’une trentaine d’années voulait faire des enfants à la prétendue mineure…

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(20 Minutes) #LaTeamMoore Chasseurs de pédophiles : Qui sont ces internautes qui traquent les prédateurs sexuels sur le Web ?

Face à la recrudescence des actes pédophiles sur Internet, des citoyens ont décidé de partir en guerre contre les pervers sexuels qui agissent sur les réseaux sociaux

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(La Team Moore) Traque aux pédocriminels : La Team Moore recherche des volontaires !

Vous aussi vous voulez combattre efficacement la pédocriminalité sur internet ?

Vous voulez créer un faux profil d’enfant pour compromettre numériquement des prédateurs sur la toile, vous avez des compétences en informatique, des talents d’enquêteurs, des atouts que vous pourriez mettre au service de la cause, etc… ?

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(Le Point) « La Tribune de Genève » accuse Tariq Ramadan d’avoir couché avec des mineures

Professeur de français dans un collège à Genève en 1980-1990, l’islamologue aurait eu des relations sexuelles avec au moins trois adolescentes.

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