Pedopolis v2 référence les articles archivés selon 3 types de sources:
« Les sources Mainstream », organismes médiatiques relayant généralement comme son nom l’indique en anglais le « courant de pensée dominante », mais qui pourtant nous offrent parfois des perles de Vérité. Ces organismes appartiennent en général à d’autres organismes, qui eux même appartiennent à encore d’autres propriétaires, et ainsi de suite jusqu’aux pouvoirs dominants rééls.
« Les sources alternatives », indépendantes de tout pouvoir et libres de leur expression. Ces sources interviennent généralement sur le web sous la forme de sites et de blogs.
« Qui ose parler« (et/ ou agir !), catégorie transversale issue de la première version de Pedopolis, elle référence toutes ces personnes courageuses qui osent évoquer les sujets tabous qui animent notre site, en se mettant souvent en danger professionellement, socialement, fiscalement, physiquement, etc. Ces personnages bénéficient de notre respect pour leurs prises de positions assumées, et interviennent dans les 2 types de sources précédentes.
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Reportage: Suite aux troubles comportementaux et aux aveux progressifs de ses deux enfants Marie et Pierre, une mère décide de porter plainte contre son mari pour inceste et appartenance à une secte pédophile. Le reportage propose une chronologie de l’enquête judiciaire avec les témoignages de Marie et de sa mère, mais aussi des représentants de la justice impliqués dans l’instruction. Après trois ans d’enquête et de doutes sur la véracité des aveux de Marie la plainte aboutit sur un non lieu. Commentaire sur des images factuelles, alternant avec les interview de Marie et sa mère, de Pierre SABOURIN, psychiatre, psychanalyste et thérapeute familial, de l’avocate de la mère des enfants Catherine LARDON GALEOTE, de Nicole TRICART, chef de la brigade de protection des mineurs de Paris, de Christiane BERKANI, premier juge d’instruction au Tribunal de Grande Instance de Paris, et de Georges GLATZ, fondateur du comité international pour la dignité de l’enfant
Avertissement: Si vous êtes survivant d’abus rituels, soyez conscient que cet article peut-être un déclencheur. Prenez soin de vous et assurez-vous d’être dans un endroit sûr avant de lire cet article. S’il vous plaît.
**If you are a survivor of ritual abuse, please be aware that reading about it may be triggering. Please take care of yourself, and be in a safe place before reading
Et la France ? Alors que le monde découvrait avec horreur l’affaire Dutroux en Belgique, quatre opérations de police ont ciblé les pédophiles dans l’Hexagone. Premier coup de filet, en avril 1996. Nom de code : opération Toro Bravo. Quinze mois d’enquête à partir de la saisie d’une cassette chez un cadre parisien, pour débusquer un réseau impliquant soixante-douze personnes. À sa tête Caignet et Vuillaume.
Pédophilie : les regards insoutenables
470 photos d’enfants.
Des garçonnets, des fillettes, des pré-ados. Parfois, des bambins de deux ou trois ans. Visages insoutenables. Le tableau de chasse de trafiquants pervers. Photos récentes ? S’agit-il d’enfants disparus depuis des mois, voire des années ? Mineurs, étrangers clandestins échappant au maillage des services sociaux et des éducations nationales ? Progénitures prostituées avec le consentement de leurs parents ? Qui sont-ils ? C’est peu dire qu’ils sont en danger. Sur de nombreux clichés, on lit la souffrance, la peur. Parfois un regard révulsé ou vitreux nous glace. La jeune victime est-elle droguée ? Est-elle encore en vie ? On découvre aussi des scènes de tortures…Ces portraits font de nous les témoins d’un massacre, dans une indifférence institutionnelle presque totale. La chasse aux immigrés clandestins est une priorité. Le démantèlement des réseaux pédophiles ne l’est pas, dans aucun des pays européens. Certes, les déclarations officielles abondent lorsque, sporadiquement, une affaire de pédophilie défraie la chronique. Il s’agit alors de s’indigner et de rassurer l’opinion publique. Mais les actes ?Cet album de photos est un nouvel élément qui témoigne de la curieuse apathie qui frappe les polices et les justices d’Europe. Pourtant, on nous rebat les oreilles de l’espace Schengen et d’Europol. Cette appréciation sévère paraîtra injuste aux trop rares enquêteurs, gendarmes, policiers, qui tentent de faire leur délicat travail. Mais combien sont-ils ? Quels sont leurs moyens ?
Réalisé par la police hollandaise, cet album de photos reste confidentiel, pour ne pas dire inexploité. Il contient pourtant les portraits de 14 pédophiles qui ont eu l’imprudence de se laisser filmer ou photographier en action. Qui sont ces violeurs ? Pourquoi ne sont-ils pas activement recherchés ?
Morkhoven. Le nom d’une bourgade près d’Anvers, en Belgique. Le nom d’une association qui défraie la chronique. Les Morkhoven traquent les réseaux internationaux de pédophilie avec des méthodes peu orthodoxes. Ils ont dénoncé le réseau Zandvoort après s’être appropriés le cédérom du pédophile néerlandais Gerrit Ulrich, dans des conditions controversées. Après une perquisition de la police qui, dit-on, n’avait rien trouvé. C’est peu dire que les Morkhoven dérangent les institutions belges bousculées par les contrecoups de l’affaire Dutroux. Le président de l’association, Marcel Vervloessem, a fait l’objet de perquisitions, de plaintes, y compris pour pédophilie. Lui hausse les épaules. » Seuls les résultats comptent « , dit-il. Le fait est que l’Italie, le Portugal et la Hollande ont donné des suites judiciaires aux révélations de cette association, à l’origine du démantèlement du réseau Temse en Belgique aux nombreuses ramifications internationales. Rencontre à Gand avec plusieurs responsables de l’association.
470 photos d’enfants. Des garçonnets, des fillettes, des pré-ados. Parfois, des bambins de deux ou trois ans. Visages insoutenables. Le tableau de chasse de trafiquants pervers. Photos récentes ? S’agit-il d’enfants disparus depuis des mois, voire des années ? Mineurs, étrangers clandestins échappant au maillage des services sociaux et des éducations nationales ? Progénitures prostituées avec le consentement de leurs parents ? Qui sont-ils ? C’est peu dire qu’ils sont en danger. Sur de nombreux clichés, on lit la souffrance, la peur. Parfois un regard révulsé ou vitreux nous glace. La jeune victime est-elle droguée ? Est-elle encore en vie ? On découvre aussi des scènes de tortures…
En un an, la justice a mis au jour de troublantes affaires de pédophilie à Evreux. Au point d’incarcérer, coup sur coup, des notables. D’abord, Gérard Walsser, assesseur au tribunal pour enfants, est arrêté, car son nom figure sur une liste de pédophiles recevant des cassettes. Ce fondateur d’une association chargée des enfants victimes de violences a été confondu dans le cadre du dossier Ado 12, instruit à Millau. Au cours de la perquisition, les gendarmes vont trouver une photo de Walsser avec un jeune homme – le cliché ne laisse pas de doute sur leurs relations – qui fera vite découvrir aux enquêteurs que Gérard Walsser a hébergé chez lui des mineurs dont il a abusé.
En décembre 1999, l’émission ‘Tomorrow’s World’ de la BBC diffusa une émission consacrée au Trouble Dissociaitf de I’identité. Pour la première fois, un patient avec un TDI a été soumis à un scanner IRM pendant la transition d’une personnalité à l’autre. Les analyses ont montré des changements significatifs au niveau du cerveau. Curieusement l’hippocampe, une zone associée à la mémoire du long terme, s’éteint pendant le changement d’alter et se réactive une fois la transition effectuée.
Gérald MARIE, ex dirigeant d’Elite Europe, est accompagné par Loan CHABANOL et de Laura CISNEROS qui sont des mannequins. Extrait de musique off à leur arrivée. Il est accusé par un journaliste qui s’est fait passer pour un photographe de mode. Un reportage de ce journaliste à la BBC a déclenché la polémique. Thierry ARDISSON décrit les images de ce reportage. Gérald MARIE évoque l’affaire en se défendant de toutes les accusations. Linda HARDY qui a été mannequin chez Elite n’a jamais constaté ce genre de dérive. Réaction des deux mannequins
Le 11 octobre 1999, l’Ecran Témoin de la RTBF s’est déroulé sans son habituel “débat”
Son thème était : “Dutroux est-il un pervers isolé ?”. Le débat n’a pas eu lieu parce que plusieurs intervenants se sont désistés et que le pla- teau ne pouvait plus être “équilibré”.