par Svali
Lorsqu’on est confronté avec la possibilité que les abus rituels peuvent réellement exister, l’une des premières questions que les gens se posent est:
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par Svali
Lorsqu’on est confronté avec la possibilité que les abus rituels peuvent réellement exister, l’une des premières questions que les gens se posent est:
David Icke a rencontré Arizona Wilder en 1998.
Cette femme est une rescapée d’un vaste programme de contrôle mental qui s’applique à des centaines de personnes depuis des dizaines d’années. Elle témoigne durant 2 heures de sa vie et de ses expériences, et lève le voile sur les cérémonies satanistes auxquelles elle a participé, durant lesquels elle a vu à de nombreuses reprises des êtres humains (en apparence) se transformer en créatures reptiliennes.
Arizona Wilder évoque aussi la mort de Lady Di, le programme de contrôle mental, la véritable signification des fêtes comme Noël ou Halloween, l’histoire Illuminati, le rôle de Josef Mengele, les lieux de rituels, etc… Elle cite à de nombreuses reprises des personnalités très célèbres étant impliquées dans ces rituels et initiées au « Plus Grand Secret ».
Témoignage de Dejoly Labrier avec Katy Fountain sur FOX 13 News – 1997
http://www.dailymotion.com/video/x16caev_culte-pedo-satanique-chez-des-militaires-us-personnalite-multiple-dejoly-labrier_news
Thierry Meyssan analyse une certaine conception nazie de l’homosexualité. La deuxième partie de cet article révèle les complicités qui ont permis, depuis des années, aux représentants en France de l’extrême droite pédophile d’échapper aux poursuites judiciaires.
Témoignage de Samir Aouchiche, enfant martyr, à la télévision Française (JT Antenne 2),
6 Mars 1997
Source: INA
Copie de sauvegarde :
Titre d’origine: « Messes noires et orgies sexuelles? »
Le témoignage de Samir, 23 ans: «J’ai participé à des rites sataniques pédophiles dans la région de Charleroi à l’âge de 11 ans.»
Samir, 23 ans, a été entrainé dans une secte satanique française, l’«Alliance Kripten» à l’âge de 11 ans. Pendant 9 ans, il a été vendu, violé, battu et torturé par des pervers lors de cérémonies sataniques. Il affirme avoir été emmené à deux orgies pédophiles en Belgique, à Charleroi et à Forchie-la-Marche.
C’est le quotidien français «Le Parisien» qui a publié le témoignage de ce jeune Français d’origine algérienne. Samir avait 11 ans lorsqu’il a rencontré un certain Bruno B. à la Foire du Trône en 1985. Ce dernier qui se faisait appeler «Ondathom» a proposé à Samir et à ses copains, une bande de gamins désoeuvrés et livrés à eux-même, de participer à des jeux de rôles. Il a distribué à une quinzaine de garçons mineurs d’âge des cartes d’adhésion à l’«Alliance Kripten- Planète Uranus». Un ticket d’entrée pour l’enfer…
Jeux pervers
En fait de rôle, celui réservé au jeune beur était celui de la victime sacrifiée aux jeux pervers des adultes de la secte. Au cours de rites sataniques, Samir a été violé, battu, fouetté et brûlé au vitriol sur les cuisses, le ventre et les bras. Pendant des années, Samir a été obligé de participer à des cérémonies sataniques dans les sous-sols de la gare Saint-Lazare, sous les menaces de mort à l’encontre de sa famille. Les adultes, aussi nombreux que les enfants, étaient revêtus d’aubes noires ornées d’un triangle mauve. Les cérémonies dégénéraient systématiquement en orgies sexuelles.
Pendant 9 ans, Bruno B. et deux complices ont obligé Samir à se prostituer avec les clients qu’ils lui présentaient. Bruno B. aurait été condamné en 1988 à 17 mois de prison pour attentat aux moeurs sur mineur. Bien que d’autres membres de l’«Alliance Kripten» aient été inquiétés et que les renseignements généraux se soient intéressés de près aux activités de cette secte satanique, le réseau a poursuivi ses activités.
Samir affirme avoir été emmené deux fois en Belgique pour des cérémonies sataniques, à Charleroi fin 1988 et à Forchies-la- Marche fin 1992. Bien qu’il ait été drogué, il se souvient d’une grande maison blanche avec un grand jardin et des murs intérieurs tapissés de mauve. Une vingtaine d’adultes belges et français et une dizaine d’enfants ont participé à ces messes noires qui ont dégénéré en orgies sexuelles. Certains enfants étaient accompagnés de leurs parents. Selon ce témoin, la plupart des adultes, bien que déguisés, agissaient à visages découvert. Samir affirme avoir assisté au viol d’une petite fille. Selon lui, deux enfants ne sont jamais revenus de cet enfer. On a dit aux autres gamins qu’ils étaient partis directement pour Uranus.
La secte toujours active?
Samir n’a réussi a échapper à l’influence de l’Alliance qu’en 1994. Il est persuadé que la secte est toujours active sous la forme d’une association installée dans le Val de Marne. Terrorisé et caché dans le Sud-Ouest, le jeune homme, aujourd’hui âgé de 23 ans, a trouvé le courage de déposer plainte contre ses tortionnaires parce qu’il est persuadé que d’autres enfants subissent encore actuellement le même calvaire que lui. Son avocat, Me Jean-Paul Baduel a déposé une plainte contre X pour viol, violences et actes de barbarie et proxénétisme, vendredi devant le Tribunal de Grande Instance de Paris. «J’ai fait procéder à une expertise médicale qui prouve que les blessures de mon client ne résultent pas d’accidents domestiques. Les cicatrices laissées par les brûlures à l’acide forment des dessins cabalistiques», explique Me Baduel. Ce dernier est persuadé que Samir est sincère et a réellement subi les sévices d’une atrocité insoutenable qu’il dénonce aujourd’hui.
L’enquête qui démarre en France rejoindra peut-être celle en cours au parquet de Neufchâteau sur Marc Dutroux.
E.Ma.
Enquête réalisée par Bruno Fouchereau
Samir Aouchiche… un gamin de onze ans de banlieue… sa mère est alcoolique, ses frères n’en ont rien à fou*** de lui et il s’ennuie… on lui propose un bonheur total, il rencontre des gens formidables et aisés qui lui promettent monts et merveilles… seulement… dans cette triste société, tout se paie. C’est ainsi qu’au nom de Smir Karo, guerrier de l’Alliance Kripten, il est torturé, prostitué, harcelé… il assiste à des rituels sadiques de véritable perversion sexuelle passant par la torture et la drogue… il sombre petit à petit jusqu’à ne plus se souvenir du jeune Samir qu’il était. Le Samir peu aisé et gentil a été nié pour faire place au Smir puissant, supérieur, violent le jour et pleurant la nuit… il ne parle plus, il crie la nuit, ses cauchemars sont ignobles et sans fin… jusqu’au jour où une main se tend. Willy Marceau, jeune homosexuel d’environ dix-neuf ans. C’est un coup de foudre et Samir renaît au fil du temps et se laisse bercer par cette nouvelle idylle qui lui donne l’espoir de s’en sortir… mais il ne peut rien dire. Sinon, les dirigeants de la secte tueront Willy et entraîneront un des frères de Samir dans ce réseau de prostitution enfantine planétaire (USA, Grande-Bretagne, France, Belgique, Algérie, …). Alors, il se tait. Jusqu’à ce que Willy mène son enquête pour comprendre les raisons de ces sanglots qu’il perçoit la nuit et contre lesquels il ne peut rien faire…
Alors que les 4 jeunes gens responsables de la profanation d’une tombe à Toulon ont avoué être des adeptes de satanisme, reportage en Italie, à Bologne où « la secte des enfants de satan » a de nombreux adeptes.A Bologne arrestation de deux jeunes adeptes de satanisme escortés par des policiers et visite de la vieille bâtisse où se tenaient des messes noires, révélées par de jeunes enfants qui en ont été victimes. Banc titre évoquant les articles de journaux relatifs au récits d’envoûtement. Des archives dont celles du 19/02/1996 rappellent quelques séances d’exorcisme.
Si la Grèce ancienne semble ne jamais s’être adonnée à la pratique d’immolations humaines, elle nous a légué une quantité paradoxalement élevée de mythes de sacrifice humain, rattachés à un nombre d’institutions socio-religieuses, qui vont des boucs émissaires aux usages de la guerre et aux cultes de presque toutes les divinités, locaux ou panhelléniques. Ce paradoxe peut être résolu en dépassant l’idée d’un progrès moral conduisant à l’abolition progressive de la barbarie des temps premiers, pour considérer le rôle tenu par le concept de sacrifice humain dans la société grecque : symbole de mort dans les rituels initiatiques et de renversement dans les cérémonies d’inversion, ce concept est d’abord une exagération mythique qui en fait la contre-valeur par excellence du système normatif hellénique. En ce sens, il joue dans la vie quotidienne des Grecs un rôle aussi important que peu soupçonné. À la fin du Ve siècle, il deviendra, dans la mentalité grecque gagnée aux valeurs patriotiques, l’illustration de l’abnégation idéale en faveur de la polis.