Archives de catégorie : BUSINESS
La Lettre du Continent n°657 Les pépins d’Orange avec ses filiales
Le procureur de Paris et la division de la Commission européenne chargée des affaires intérieures, présidée par Cécilia Malmström, devraient être saisis, cette semaine, d’une plainte de Me Norbert Tricaud concernant le groupe France Télécom-Orange (FT). Cet avocat parisien, défenseur d’Yves Garcia, un cadre de la direction Afrique/Moyen-Orient et Asie (AMOA) du groupe français de télécoms et délégué syndical, entend alerter sur des « présomptions de malversations comptables graves ». Auditeur interne à FT alors qu’il avait des responsabilités dans les filiales centrafricaines et équato-guinéenne, Yves Garcia, qui agit en qualité de témoin direct, attire depuis plusieurs mois l’atention de sa hiérarchie sur des comportements qu’il juge « anti-déontologiques ». Concernannt la société la société Getesa, filiale de FT en Guinée équatoriale, il s’appuie sur un audit effectué par Deloitte en 2009, dont les conclusions sont accablantes. Pour cette seule année, le cabinet note « un dépassement budgétaire de 2.5 milliards F CFA sans autorisation » ; « un dispositif interne de contrôle inexistant » ; « des factures d’achat dont les montants sont nettement supérieurs aux bons de commande » ; « des détournements ou vol des stocks marchands », etc. D’autres soupçons concernent les filiales en côte d’Ivoire, au Niger et en Centrafrique. Yves Garcia demande la réalisation d’un audit sur l’utilisation des subventions que l’état français, actionnaire de FT à hauteur de 26.97%, a versé ces dix dernières années à l’opérateur. En vain. Comme seul réponse, il a reçu de la direction des ressources humaines de FT une menace de sanction pouvant aller jusqu’au licenciement pour « accusations mensongères, atteinte à l’image de FT, discrédit et atteinte à la réputation de (sa) hiérarchie ». Le 29 novembre 2012, Norbert Tricaud a interpellé la Cour des Comptes. Plusieurs courriers ont par ailleurs été adressés au patron de FT, Stéphane Richard. Faute de recour, Me Tricaud veut faire monter la pression d’un cran en s’adressant au procureur de la République et aux instances européennes.
(Souveraineté du Peuple) Spring Breakers : Disney, Actrices à scandales et Messe noire
Miley Cyrus :
Selena Gomez :
Vanessa Hudgens :
DE DISNEY A SPRING BREAKERS, MESSE NOIRE ET HARMONY KORINE
Vanessa Hudgens est donc la petite star d’une série de film lancée par Disney en 2006 : High School Musical. De cette série ressortira Zac Efron, aujourd’hui acteur pour l’empire hollywoodien et Vanessa Hudgens qui emprunte le même chemin. Le 6 mars dernier est sorti au cinéma le film « Spring Breakers » d’Harmony Korine avec Vanessa Hudgens, Selena Gomez, Ashley Benson, Rachel Korine et James Franco dans le rôle d’un rappeur déjanté. Les médias parlent d’un film à la sauce Tarantino mais il n’en est rien, si ce n’est la place de la femme (plutôt la jeune femme) dans le long métrage. Spring Breakers est le passage de Vanessa et ses amies dans le monde pervers adulte d’Hollywood et pour leur premier grand film elles feront les choses en grand : sexe, drogue et gros flingue.
Quand Goldman Sachs spécule sur le trafic sexuel de mineurs (Bastamag, 4 Avril 2012)
Pour la banque de Wall Street, tout est bon pour se faire un paquet de fric. Après les subprimes ou la spéculation sur les produits alimentaires, le trafic sexuel et la prostitution ! Goldman Sachs a investi au sein d’une entreprise impliquée dans de nombreuses affaires de trafic sexuel aux États-Unis, révèle un journaliste du New York Times. Bientôt une cotation sur les enfants mineurs forcés à la prostitution ?
Orange vs L'Express Droit de réponse de Orange France Télécom à l’Express
La société France Télécom-Orange, dont l’intégrité et la probité ont été gravement mises en cause dans l’article intitulé « Guinée Equatoriale les gros pépins d’Orange« , publié en pages 60 et 61 du n° 3210 du magazine L’Express, daté du 9 janvier 2013, entend apporter les précisions suivantes:
Libération La fille de Klaus Kinski dit avoir été abusée sexuellement par son père
Pola Kinski, 60 ans, affirme dans les colonnes du magazine allemand «Stern», à paraître demain, qu’elle était l’«objet sexuel» de son père.
L'Express n°3210 Guinée équatoriale: les gros pépins d’Orange
Affaire de moeurs, guérilla judiciaire interne, contentieux avec les autorités de Malabo: l’aventure du géant des télécoms dans un pays qui faisait figure d’eldorado vire à l’aigre.
Le Figaro Pierre Bergé et la GPA « Louer son ventre ou louer ses bras, quelle différence ? »
Extrait de l’article « Mariage gay : les partisans perdent le match de la rue »
(…) «Nous ne pouvons pas faire de distinction dans les droits, que ce soit la PMA, la GPA ou l’adoption, souligne Pierre Bergé, président du Sidaction et fondateur de Têtu. Moi je suis pour toutes les libertés. Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l’usine, quelle différence? C’est faire un distinguo qui est choquant». (…)
Le Canard Enchainé n°4785 Les étranges pépins d’Orange en Afrique
Pour conserver l’un de ses plus rentable contrat africain, Orange ex-France Telecom, s’est livré à des forfaits, pas seulement téléphoniques … Là il ne s’agit pas de panne. L’histoire se passe en Guinée Equatoriale, petit Etat pétrolier. En 1984, la dictature au pouvoir (toujours dirigée pas Teodoro Obiang) désigne France Telecom comme seul opérateur privé du pays, les militaires percevant 60% des profits réalisés.
La Lettre du Continent n°634 Guinée équatoriale – L’affaire de moeurs qui cible Orange
Déjà sur le grill à Malabo, la filiale de France Télécom-Orange est visée par plusieurs plaintes au pénal à Paris.
Au moment où les activités de Getesa, filiale de France Télécom-Orange en Guinée équatoriale, se trouvent en mauvaise posture dans ce pays (LC n°632), cinq de ses anciens ou actuels salariés sont sous le coup d’une plainte, en France, pour viol sur mineure et entraves à la saisine de la justice.
L'Express Plainte pour viol contre un ex-cadre de France Télécom
Au courant de l’affaire en Guinée équatoriale, France Télécom-Orange s’était engagée à sanctionner l’employé incriminé mais n’avait pas donné suite.