Vidéo de Me Vanessa Frasson, avocate et maman désenfantée pour avoir dénoncé l’inceste sur sa fille.
Certains juges inversent la pyramide des normes de Kelsen qui garantit la démocratie. Les juges doivent appliquer la loi qui est au service des citoyens et non asservir les citoyens en ignorant les lois.
Découvert au gré d’investigations mettant en cause un policier de Montauban (Tarn-et-Garonne), un groupe de discussion aux contenus vulgaires et sexistes fait désormais l’objet d’une enquête dédiée qui pourrait éclabousser policiers et magistrats haut placés.
Certainement pas prête à garder sa langue dans sa poche lorsqu’il s’agit d’injustices, Alexandra Lamy a dénoncé la condamnation d’Olivier Bailly, ancien juge pour enfants, qui a proposé à des inconnus de violer sa fille de 12 ans. L’homme ne purgera même pas un seul jour de prison ferme.
Le Conseil supérieur de la magistrature a prononcé, ce mardi 13 juillet, la révocation d’un magistrat qui avait proposé sur Internet à des inconnus d’avoir des relations sexuelles avec sa fille mineure.
Le ministère de la justice a prononcé une demande de révocation pour un magistrat qui proposait à des inconnus différents types de relations sexuelles sur sa fille mineure
« Il a perdu toute légitimité à faire respecter la loi » : la Chancellerie a réclamé jeudi au Conseil supérieur de la magistrature (CSM) la révocation d’un magistrat, mis en examen pour avoir proposé sur internet à des inconnus d’avoir des relations sexuelles avec sa fille mineure.
L’information révélée par Europe 1 a été confirmée par la Chancellerie ce vendredi matin: un magistrat de Dijon a été mis en examen à Besançon pour avoir proposé le viol de sa fille de 12 ans sur des sites internet de relations libertines. Agé de 55 ans, cet ancien juge pour enfants est marié avec une magistrate.
Compte-rendu du procès : prochainement sur Pedopolis
Procès en appel : prochainement à la cours d’appel de Poitiers
Rappel : Joël Le Scouarnec est le pédocriminel aux 350 victimes (minimum), chirurgien à Jonzac et en Bretagne, il est incarcéré dans la même prison que Stan Maillaud à Saintes. Il sortira de prison probablement avant Stan Maillaud #Pedoland
En 2016 je rencontre celui avec qui j’aurais un petit garçon, C. qui naît en Mars 2018.
À la suite de violences conjugales je quitte cet homme et retrouve ma famille dans le Nord de la France. J’avais quitté ma région pour Monsieur… Mais en Juillet 2018, C. âgé de 4 mois à peine, m’est enlevé par son père lors d’une consultation à l’hôpital d’où il s’enfuit en courant! Malgré la violence de la scène, personne ne peut rien faire car pas de jugement statuant sur la garde de C. . 4 jours plus tard, alors que j’attendais devant le domicile de Mr, je le vois sortir et le supplie de me rendre mon bébé, ce qu’il refuse et part en courant avec mon bébé dans les bras!! Voyant sa petite tête secouée, je hurle -ce qui alerte les passants qui interviennent. Mr chute avec le bébé, qui sera gardé 10 jours en observation par l’Unité Hospitalière de l’Enfance en Danger (UHED) de Toulouse.
Avant sa sortie, cette même unité me faisait signer un document fixant la résidence de C. chez son père, à Toulouse et m’obligeant à repartir vivre chez lui.
Le père a saisi le JAF de Toulouse après l’enlèvement de C. en Juillet 2018, l’audience a eu lieu le 5 septembre.
En septembre dernier, cette mère de famille s’est vue retirer la garde de son nourrisson par la justice toulousaine. Une décision qui faisait suite à une séparation d’avec le père de l’enfant : un influent chirurgien toulousain.
Des dysfonctionnements ont-ils abouti à séparer Pegah Hosseini de son fils ?
Tous les pédopsychiatres et spécialistes de la petite enfance insistent : on ne doit jamais séparer un bébé de sa mère. C’est pourtant ce qu’il s’est passé pour Pegah Hosseini. Une série de dysfonctionnements ont-ils abouti à séparer C., né en mars 2018 et sa mère ? Cette mère de famille est tombée amoureuse d’un chirurgien plasticien toulousain reconnu et influent. De cette union est né C. Mais dès le début de la grossesse le couple ne s’entend plus, les disputes et les conflits (parfois violents) sont permanents, jusqu’au paroxysme, à Toulouse en juillet dernier.