Les chroniques de Svali n°36 – MK-Ultra, la programmation d’un assassin

Share Button

par Svali

Dans les prochains mois, je prévois d’écrire des articles sur les méthodes Illuminati pour des formes plus complexes de programmation. Celui-ci est le premier de la série et j’espère que son information sera utile.

Comme il est impossible d’aborder une programmation sans mentionner la manière dont elle est faite, s’il vous plaît soyez conscient, vous qui êtes survivant de ce type d’abus, que cette lecture peut être un déclencheur. Protégez-vous s’il vous plaît et ne lisez que si vous êtes avec votre thérapeute ou dans un endroit sécurisant.

L’une des plus cruelles formes d’entraînement qu’un jeune enfant ait à subir est celui en vue de devenir assassin, ou de pouvoir de sang-froid prendre la vie d’un autre être humain sur ordre. Dans le groupe Illuminati auquel j’appartenais, presque tous les enfants et les adolescents devaient se plier à cet entraînement militaire.

Ses résultats sont dramatiques. L’enfant doit fortement se dissocier pour supporter l’épreuve de la programmation ainsi que les exigences impossibles pour sa psyché. On peut enseigner et entraîner un enfant à cela mais il ne pourra jamais apprendre à se sentir à l’aise avec la culpabilité engendrée.

L’entraînement commence souvent à un âge très jeune. Un enfant de deux ans est mis dans une cage métallique reliée à des électrodes ou on le torture sur une table ou une chaise. Au bout d’un long moment, on le libère. Il se sentira hébété et pourra à peine marcher. On lui donnera un petit animal, souvent un chaton et on lui dira de lui tordre le cou. L’enfant va refuser. On le remettra alors dans la cage ou on lui attachera de nouveau des électrodes et il subira un autre électrochoc en punition. Il sera libéré de nouveau et on lui dira de tordre le cou d’un jeune animal. L’enfant va pleurer et il aura peur d’une autre torture. En tremblant il fera finalement ce qu’on lui a ordonné. Après quoi il ira souvent dans un coin pour vomir, félicité pendant tout ce temps par son formateur pour le  »bon travail » effectué. L’enfant aura créé une fragmentation qui obéit au formateur, pour éviter l’horrible souffrance de la désobéissance (plus la programmation est importante, plus elle s’éloigne des valeurs naturelles fondamentales de l’enfant, plus sévère sera le niveau de souffrance utilisé pour créer la programmation.)

C’est la première d’une horrible série d’étapes. Cela se poursuit au cours des années et les animaux seront de plus en plus grands. C’est pour désensibiliser l’enfant au concept de prendre une vie. Pendant l’entraînement militaire, les plus âgés (entre 7 et 10 ans) apprendront à manier un fusil avec précision. Ils apprennent à nettoyer une arme, à la recharger, à la décharger, et à tirer sur des cibles. On les récompense énormément pour leur précision et réprimandés et punis s’ils font des erreurs. À douze ans, la plupart des enfants se débrouillent très bien avec un petit pistolet ou un fusil. On les emmène ensuite dans une enceinte et on leur apprend à tirer sur des animaux qui ont été drogués pour ralentir légèrement leurs mouvements. L’enfant apprend à viser la tête ou le cœur. Les cibles se transforment ensuite en photos de modèles humains réalistes.

Et pendant tout ce temps ils accroissent leur niveau de colère avec la continuation des tortures et abus. On dit à l’enfant  »d’utiliser sa colère » pour augmenter ses performances. Pendant les exercices de réalité virtuelle, les cibles animales sont remplacées par des cibles humaines. L’enfant va apprendre à toucher les  »sales types » et à diriger sa rage contre eux. La précision dans ces exercices est récompensée et félicitée et les erreurs sont punies.

L’enfant apprend à obéir à un code de commande pour démarrer la séquence de la  »recherche de la cible » et pour ensuite exécuter la séquence  »de liquider », qui implique de tuer la cible. Sous drogues et par hypnose, le jeune adolescent sera convaincu que c’est la réalité. Un jour il sera testé et on lui dira (en réalité virtuelle, mais il ne le réalise pas sous état d’hypnose) de tirer sur ses parents ou ses frères et sœurs, qui sont simulés graphiquement dans le programme de réalité virtuelle. Ce qu’ils font.

À ce moment-là, l’enfant est considéré comme  »fiable » sur  »commande ». S’il tire sur commande sur la personne qu’il aime le plus, la programmation est considérée comme  »gravée », et n’a besoin désormais que d’être renforcée périodiquement.

Ceci semble horrible, mais c’est comme cela qu’on faisait l’entraînement d’un assassin dans le groupe où j’étais. Je l’ai subi et ai du le faire subir à d’autres. Je le regrette tellement aujourd’hui. C’était un processus parfaitement planifié, avec une progression par étapes. Personne ne donne un fusil à un adolescent en lui disant,  »Va tuer quelqu’un » dans ces groupes, parce que l’enfant refuserait et en serait incapable. Ils commencent à un âge pré-verbal et développent chaque compétence pour qu’elle empiète sur les autres.

Ils tablent sur l’impuissance du jeune enfant et sa rage envers les autres pour alimenter la programmation. Plusieurs de ces techniques sont basées sur les recherches MK ULTRA faites par la CIA dans les années 60 et 70. Les formateurs Illuminati étaient en contact rapproché avec des membres des services secrets de l’armée qui travaillaient sur ces projets, comme le Col. Aquinos, Sidney Gottlieb et Alan Dulles, parmi d’autres. Cette connaissance sur la manière de conditionner un sujet s’est transmise aux formateurs des différents groupes et a été mise en pratique avec des modifications en fonction de l’âge.

On attend des enfants, au sein des Illuminati, de remplir par étapes des tâches de ce genre et d’avancer vers le niveau suivant dès qu’ils peuvent démontrer leur maîtrise. Un commandant de l’armée demandera à un jeune chef adolescent de tuer quelqu’un devant les autres, à mains nues, pour démontrer sa loyauté et son obéissance. L’adolescent recevra un statut plus élevé et des récompenses s’il fait vite et bien.

Ce type de programmation peut être démonté, avec du temps, une thérapie et un effort concerté et surtout par la prière, afin de dissoudre les horribles traumas qui ont été induits. Aucun être humain ne devrait être forcé à commettre ces choses ou à subir cette forme d’entraînement. Il génère une dissociation massive et un intense chagrin quand la personne réalise ce qu’elle a fait. Cela m’a aidé à réaliser que :

• Je n’avais pas le choix à l’époque. Quand j’étais une jeune enfant, les plus âgés m’y ont obligée. Les alters créés qui ont appris à accepter ou même à apprécier cet entraînement, ont été mis en place par le besoin de dissociation et de fuite psychologique causés par cet horrible trauma et ces éléments contiennent une profonde souffrance et des blessures.
• Je peux déposer mon fardeau aux pieds de Dieu et Lui déposer ma souffrance et les blessures de toute une vie d’intense peine et de culpabilité que ces expériences ont causé aux autres et connaître Son pardon
• J’ai maintenant le choix et j’ai choisi de m’éloigner de ce type d’activités
• Je peux prier pour que les autres s’en sortent et échappent à cet horrible genre d’abus
• Je peux exprimer à Dieu la colère et le sentiment d’outrage que cette manipulation délibérée a entraîné sur moi et sur les autres, et trouver la guérison. Cette rage a souvent permis de supporter les abus du passé et en diminuant, l’emprise de la programmation peut s’affaiblir aussi.

Ce type de programmation est un contrôle mental des plus insidieux et une guérison est possible. C’est un processus long et lent mais il vaut le coup de s’y appliquer.

Traduction Hélios pour pedopolis

Source (page 169): http://www.fichier-pdf.fr/2012/11/24/ritual-abuse/

 

Laisser un commentaire