(France 3, Agoravox) Cannibalisme : Béatrice Dalle raconte avoir dévoré l’oreille d’un cadavre !

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Invitée dans l’émission « Le Divan » de Marc-Olivier Fogiel, diffusée le mardi 2 février sur France 3, l’actrice Béatrice Dalle a fait une révélation très, très glauque. La comédienne a en effet confié que, sous acide, elle avait goûté dans sa jeunesse un morceau d’oreille découpé sur un cadavre dans une morgue.

Béatrice Dalle n’a pas eu une jeunesse facile, semble-t-il. C’est ainsi qu’elle faisait jadis la tournée des morgues avec ses potes pour prélever des parties de cadavres afin d’en faire le commerce. « C’était pour gagner des sous. C’est le seul travail que j’ai trouvé à ce moment là. On ne va quand même pas me le repro­cher », s’est justifiée, en toute innocence, l’ancienne compagne de Joey Starr.

L’ancien rappeur, de son côté, avait confié chez Thierry Ardisson son goût pour la viande de singe (il venait alors de faire scandale en tabassant devant les caméras un petit singe qui le gênait pour regarder la télévision). Comme quoi, qui se ressemble s’assemble.

L’actrice de 51 ans n’en a pas dit davantage sur le commerce de chair humaine auquel elle se livrait avec ses amis. Elle a cependant assuré qu’il ne s’agissait pas de trafic d’organes. On se demande alors quelles parties du corps pouvaient bien être vendues (des pieds, des mains, des crânes ?), et à qui… Mystère.

La comédienne n’a manifesté aucun remord d’avoir pris part – à son échelle – à la marchandisation de l’humain, les morts (comme elle le dit) n’ayant pas eu l’occasion de se plaindre d’avoir été découpés en morceaux, vendus… et même parfois dévorés.

Voici en effet son témoignage – accablant :

« Aujourd’hui, je ne vais plus dans les morgues avec mes potes zicos. On a fait ça deux, trois fois pour gagner un peu de sous. Personne n’est venu se plaindre tu vois. Ça ne m’effrayait pas, même une fois on s’était fait un plat, on voulait le manger parce qu’on avait pris un acide… Alors tu sais, on peut bien couper des mains quand on pense à le manger. On a goûté, c’était de l’oreille. Olala ce n’est pas grave, de toute façon le mec il s’est pas plaint hein, il ne sait même pas que j’ai mangé ses oreilles ! »

Bref, si l’on résume la situation : une actrice célèbre vient déclarer sur le service public (dans une émission enregistrée, qui aurait pu donc être coupée) qu’elle a découpé des cadavres, a fait commerce de certaines parties de leurs corps, et, sous l’emprise de drogues, a mangé l’oreille d’un de ces cadavres, s’est donc livrée au cannibalisme. Le tout, avec un air hilare, et sans rien voir de problématique dans sa conduite. Quelque chose ne tourne pas rond au royaume de France…

Une fois n’est pas coutume, je rejoindrai le jugement – sans concession – du Libre Penseur :

« Quand on lit une telle énormité, le mot dégénéré que j’ai l’habitude d’utiliser, sonne comme un euphémisme. Il faudrait forger un autre mot, plus fort, à même d’être capable de véhiculer le caractère sauvage et totalement inhumain d’un tel comportement. (…) et la caractéristique de la modernité et de sa faillite est justement [d'inviter une telle personne] sur un plateau et lui permettre de débiter ces insanités et ces horreurs tout en rigolant« .

Extrait 1 : « On a goûté, c’était de l’oreille »

Extrait 2 : « C’était pas du trafic d’organes »

 

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