Alexis Caussette Trudel explique les liens entre Julian Assange, Donald Trump et l’État profond, ainsi que les raisons pour lesquelles Assange a appuyé Donald Trump en 2016 contre Clinton. Appuyez Radio-Québec: 

Affaire Julian Assange : un autre son de cloche.

#Wikileaks #Assange #RussiaGate #Pizzagate #Podesta #Epstein #Trump #Qanon #Géopolitique #Étatprofond #DeepState

Résumé : D’après Radio Quebec, Donald Trump n’aurait aucune hostilité contre Julian Assange. Le présentateur Alexis Caussette Trudel rappelle que contrairement à Trump, Hillary Clinton et son équipe ont subit de gros dégâts suite aux divulgations de Wikileaks en 2016, qui a révélé en début de période pré-électorale, des centaines de documents à charge contre Hillary Clinton et son clan, et a ainsi contribué à la faillite de sa campagne. Assange est en partie responsable de son échec face à Trump, il est donc compréhensible que son gouvernement l’ai pourchassé, pour l’extrader, le neutraliser, et l’empêcher de divulguer le reste des archives de Wikileaks. Mais la situation a changé avec la défaite du clan Clinton.
Les médias mainstream qui détestent unanimement Donald Trump ne parlent jamais de la guerre qu’il mène contre L’État profond américain, et pour cause, car ils en font partie. Pour Radio Québec, Assange est attendu aux USA en tant que témoin majeur face à l’État Profond criminel, et pas pour être jugé pour les dégâts qu’il à causé à cet état profond. Quand il était libre, Assange à plusieurs fois affirmé qu’il n’avait rien contre Trump, notamment pour « l’affaire russe ». Quelles raisons aurait-il de changer de version maintenant ?

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Rappel sur cette affaire sous l’angle de la pédocriminalité:

Le Pizzagate : le cœur nucléaire de cette série de divulgations concerne les mails piratés de John Podesta, directeur de campagne d’Hillary , dont le contenu décrypté par les membres du forum 4chan laissait entrevoir un réseau pédocriminel au plus haut sommet de l’état américain, et dont le quartier général se trouvait dans une pizzeria proche de la maison Blanche, d’où le nom de « pizzagate » donné à l’affaire. Le terme « Fakenews » est aussi apparu à cette époque, pour tenter d’anéantir cette histoire surréaliste. La présence de symboles de reconnaissance pédocriminels dans cette affaire, révélés eux aussi par Wikileaks quelques années auparavant, était pourtant incontestable jusque dans le logo de la pizzeria pour enfants « Comet Ping Pong ». Au delà du réseau pédocriminel impliquant les Clinton, leur Fondation et leur entourage, un aspect ésotérico-occultiste a fait trembler dans les chaumières, révélant la proximité de ce petit monde avec l’artiste satanique Marina Abramovic dont la spécialité, le « spirit cooking », allie simulacres de dîners cannibales sanguinolents pour les élites, et performances dites « artistiques » sur base de fluides corporels et d’incantations. Ce menu a dissuadé beaucoup d’électeurs d’un pays très croyant, de voter pour une candidate perçue comme une « sorcière ».

Vue sous l’angle français, il reste étonnant que personne ne s’étonne du choix d’Eric Dupond Moretti pour « défendre » Assange face à son procès d’extradition, un avocat réputé depuis qu’il a fait acquitter des accusés de pratiques pédocriminelles en réseau (les pervers d’Outreau). Personne ne s’étonne non plus que ce sombre personnage, qui déteste les lanceurs d’alertes et le monde Libre d’Internet, s’apprête à demander l’asile politique pour Assange au criminel liberticide Emmanuel Macron, agent des mafias internationales. Enfin, personne ne s’étonne non plus que les spécialistes français du dossier Assange ne parlent jamais des mails de Podesta et du Pizzagate. A méditer.

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