Des enfants sont enlevés de leur famille de manière abusive, voire violente par le système socio-judiciaire.
Victimes, collectifs de familles sonnons l’alerte.
Des enfants sont enlevés de leur famille de manière abusive, voire violente par le système socio-judiciaire.
Victimes, collectifs de familles sonnons l’alerte.
Alors que l’Assemblée nationale étudie une proposition de loi sur le consentement des mineurs, 164 personnalités interpellent les élus sur l’âge limite à fixer pour protéger les enfants. Nous publions leur tribune.
Il paraît que j’étais ton préféré.
Pourtant, tu m’as violé, tu as commis sur moi toutes sortes d’actes de barbarie, tu m’as vendu et tu t’es rangé du côté de ceux qui m’ont traité de fou et de menteur.
Tiitre d’origine: Une lettre ouverte qui sème le doute ou l’opprobre
Accusations – Le conseil municipal a été marqué par la lecture d’un texte où la victime prétendue d’un viol dénonce l’existence d’un réseau de pédophilie
On pensait que l’assistance restreinte mais inhabituelle au conseil municipal de Fayence, lundi soir, tenait au « remaniement » attendu parmi les adjoints et leurs délégations, à la suite de la démission de Stéphane Robsic, adjoint aux finances, condamné par le tribunal correctionnel de Draguignan pour exhibition sexuelle.
Lettre ouverte à Mesdames et Messieurs les Médecins du Conseil de L’ordre,
Permettez-moi de m’adresser à vous de manière générale puisqu’il ne s’agit pas d’une plainte mais d’un questionnement citoyen et professionnel.
Monsieur,
Dans un tweet, vous me traitez « d’imposteur révisionniste » à propos de ma lutte en faveur de la vérité dans les procès d’Outreau, avant le procès de votre client, Daniel Legrand fils, devant les assises des mineurs à Rennes le 18 mai.
Je ne m’abaisserai pas à jouer dans votre basse-Cour, avec le facile dicton sur « la bave du crapaud etc… ». Non, je préfère vous remercier pour la publicité gratuite que vous faites ainsi à mon livre « Retour à Outreau-Contre-enquête sur une manipulation pédocriminelle ».
Oui, je suis un « contestataire » de cette abominable machination, et non pas un « révisionniste ». Je vous somme de cesser d’utiliser à mon égard ce terme réservé à ceux qui nient l’extermination massive des juifs par les nazis. Quant aux vrais imposteurs, ils se trouvent dans votre camp, celui des avocats de la défense, avec derrière eux la tache indélébile de leur atroce conduite en audience face aux enfants violés. Vous oubliez que douze d’entre ces petites victimes, reléguées dans le box des accusés ( !) aux assises de Douai en 2004, ont été reconnues comme telles et indemnisées par l’Etat. C’est pour elles et contre les mensonges que j’ai mené ce combat.
La peur vous étreint avant ce nouveau procès, et vous perdez votre sang-froid. Si j’étais un imposteur, il fallait me poursuivre en diffamation en 2013 dans les trois mois après la publication de mon enquête. Mais vous n’avez pas osé. Pourquoi donc, si ces deux ans de travail constituaient une « imposture » ? Et demandez à vos deux collègues, Eric Dupond-Moretti et Frank Berton, pourquoi ils ont décliné ma demande d’interview avant l’édition de mon livre.