Le ministère de la Justice a annoncé le 11 Juin l’arrestation de près de 1 700 personnes soupçonnées d’avoir commis des crimes sexuels sur Internet au cours d’une opération nationale de deux mois menée par les forces opérationnelles contre crimes contre les enfants. Les forces opérationnelles ont identifié 308 délinquants qui ont produit de la pornographie juvénile ou commis des abus pédosexuels, et 357 enfants qui ont subi des abus sexuels récents, répétitifs ou anciens ou qui ont été exploités dans la production de pornographie enfantine.
Les 61 forces opérationnelles de «l’Independent Commission Against Corruption», répartis dans les 50 États et composés de plus de 4 500 services de police fédéraux, étatiques, locaux et tribaux, ont dirigé l’opération coordonnée connue sous le nom de «Cœur brisé» en avril et mai 2019. Au cours de l’opération, les équipes spéciales ont enquêté sur plus de 18 500 plaintes concernant des crimes à l’aide de la technologie visant des enfants et ont présenté plus de 2 150 présentations sur la sécurité sur Internet à plus de 201 000 jeunes et adultes.
Georges Glatz est un homme politique suisse, il est le fondateur du CIDE: Comité International pour la Dignité de l’Enfant. Cette ONG basée à Lausanne a produit en 2012 un rapport explosif montrant l’ampleur du phénomène de la pédocriminalité de réseau. Ce rapport vise à expliquer pourquoi une chape de plomb recouvre toutes ces affaires. En 2000, sur le plateau de télévision de France 3, George Glatz déclarait face à Élise Lucet que des films montrant la mort réelle d’enfants avaient été retrouvés en Belgique :
– Georges Glatz: Les cassettes de snuff-movies se vendent entre dix et vingt-mille francs suisse… – Élise Lucet: Qu’est ce que vous voulez dire par « snuff-movies » ?…
– Georges Glatz: Des cassettes avec mort réelle d’enfants…
– Élise Lucet: …. ?!?!!…
– Georges Glatz: Oui, ces cassettes existent, on en a découvert il y a déjà quelques années en
Nous sommes parvenus à faire passer un message sur les violences sexuelles faites aux mineurs, au nom de l’association Moiaussiamnésie qui a été lu aujourd’hui devant le Conseil des droits de l’homme de l’ONU Genève
« Monsieur Ballard, vous avez été questionné sur le traitement inhumain des enfants qui font l’objet d’un trafic transfrontalier – un traitement inhumain, malheureusement comme cela a été allégué à l’encontre de notre propre gouvernement. Parlez-moi du type de conditions inhumaines que vous avez observées de la part de ceux qui ont été impliqués dans le trafic sexuel d’enfants. Sont-ils soumis à des traitements inhumains ?
Un blogueur a dénoncé le laissez-faire de YouTube, qui permet à des pédophiles de s’échanger des liens et les coordonnées de petites filles en commentant sous les vidéos que publient naïvement celles-ci.
Le projet pseudo-médical MK-Ultra, pendant la Guerre froide, refait surface à Montréal. Des victimes ont déposé plainte.
L’histoire
Dans les années 1950-1960, le projet MK-Ultra, projet de la puissante CIA américaine, cherchait à contrer les « avancées » soviétiques en matière de lavage de cerveaux. Injections de LSD, électrochocs … Tout ou presque a été administré à des milliers de cobayes, sous couvert de traitements expérimentaux, dans plus de 80 institutions en Amérique du nord. Au Canada, ces tests sadiques portent le nom de Montreal Experiment et se déroulaient à l’hôpital Royal-Victoria ou à l’institut Allan Memorial, de l’université McGill. Avec le feu vert et l’argent du gouvernement canadien de l’époque, aux bottes du grand frère américain. Après les révélations du New York Times, en 1974, la CIA a indemnisé 9 patients canadiens atteints de graves séquelles. Dans les années 1990, le Canada en a indemnisé soixante-dix-sept, sans reconnaitre de « responsabilité »
Les drag-queens sont le plus souvent des hommes homosexuels qui se travestissent en femmes aux atours excessifs et à l’allure provocante. Depuis quelques années aux États-Unis, des enfants se sont mis à effectuer le même genre de performance. On les appelle les « drag kids ». Ils sont suivis par les milliers de personnes sur les réseaux sociaux.
C’est une affaire sans précédent qui touche désormais le monde du rap aux États-Unis après la diffusion d’un documentaire accablant.
Cela fait des années que le chanteur R. Kelly, interprète du tube « I believe I can fly », est continuellement accusé de pédophilie tout en restant libre. Il avait pourtant déjà été poursuivi en 2002 pour pédopornographie après avoir filmé ses ébats avec une fille de 13 ans ans, mais il avait finalement été acquitté, la victime, devenue adulte, ayant refusé de reconnaître que c’était bien elle à l’écran. En 1994, son mariage avec la chanteuse Aaliyah, alors âgée d’à peine 15 ans, avait aussi défrayé la chroniqué et confirmé son goût pour les très jeunes filles.
Suite au documentaire « Surviving R.Kelly », j’ai décidé d’analyser les points les plus importants des 6 épisodes. N’hésite pas à donner ton point de vue dans les commentaires avec respect bien sûr, le sujet est déjà assez sensible comme ça.
Sacha Baron Cohen a choisi de ne pas diffuser une interview faite pour sa série Who Is America? dans laquelle un concierge, qui assure travailler pour des politiciens et des milliardaires, accepterait d’organiser un rendez-vous avec un jeune garçon.
Depuis quelques mois, c’est la crème tendance à Hollywood pour prendre soin de son visage, utilisée par des stars comme Sandra Bullock ou encore Cate Blanchett : le sérum de prépuce de bébé.