La violence et la torture rituelles ne sont pas définies par le Code criminel canadien. Et jusqu’à maintenant, on ne tient aucune statistique à cet égard au pays. Mais il s’agit de crimes bien réels. Jeanne Sarson et Linda MacDonald, deux infirmières et enseignantes de la Nouvelle-Écosse, ont reçu le récit de plusieurs centaines de victimes ayant survécu à cette forme de violence familiale ou collective organisée. Dans le présent article, elles définissent ce que sont la violence et la torture rituelles et offrent des renseignements qui pourraient aider la police à repérer les victimes de ces crimes atroces.
Affaire Alègre à Toulouse – En 2003, alors que les prostituées témoignent chez les gendarmes, Pierre Roche est mort dans des conditions que ses enfants jugent suspectes.
Titre d’origine: Mais qui a encore besoin de Libération?
Libé face à son passé pédophile
La plus longue grève de son histoire, les journalistes unanimes qui se la jouent solidaires, un silence respectueux entoure les évènements qui secouent la rédaction du quotidien Libération. Alors que l’occasion s’y prête à merveille, personne n’ose la critique envers ce QG suprême de la pensée de gauche, ni même l’interrogation envers les problèmes de financement et encore moins le constat devant l’hémorragie de lecteurs. Sous des dehors militants, Libération a des manières de grande muette.
L’action se passe dans feue l’émission de Thierry Ardisson 93, faubourg Saint-Honoré. On se souvient que c’est dans c’est cette même émission qui passait sur Paris Première qui avait lancé l’affaire DSK. En haut, Frédéric Mitterrand, est accueilli par l’animateur qui fait la promo de son livre. On apprend au passage que La Mauvaise vie est le premier volume d’une trilogie dont on attend la suite avec impatience. On passe ensuite au salon où sont réunis notamment autour de la grande table Stéphane Bern, Isabelle de Botton, Michèle Bernier et Stéphane Guillon (à notre connaissance, il n’a pas consacré de chronique au passage clé de ce dîner). En bas, en détail, ce fameux passage du dîner où, face aux convives hilares Frédéric Mitterrand lâche une phrase qui deviendra culte, sans aucun doute !
Politique de Vie a réalisé courant octobre 2005 l’interview vidéo de Charles et Diane Roche, enfants du magistrat Pierre Roche, décédé en février 2003 peu de temps avant la médiatisation de l’affaire Alègre.
Titre d’origine: « Juge onaniste : pas de sanction »
Le CSM a annoncé qu’il ne sanctionnerait pas le juge surpris en train de se masturber lors d’une audience et jugé irresponsable de ses actes par des psychiatres.
Une vingtaine de cyberpédophiles ont été placés en garde à vue mercredi dans le cadre l’opération européenne « Icebraker », visant à lutter contre la pédopornographie.
« S’il a réussi à la Culture, c’est qu’il avait des budgets et il les obtenait par sa pugnacité », témoigne l’un de ses anciens collaborateurs. Jack Lang a toujours dépensé sans hésiter l’argent public pour la création. Ainsi, en 2000, il fit refaire à une designer une série complète de meubles destinés à la salle à manger du ministère, les premiers ayant été jugés inconfortables. On l’accuse aussi d’oublier des notes dans les restaurants. « Tout est parti d’un établissement de Blois où je ne n’étais jamais allé et qui a fait courir ce bruit, plaide-t-il. Des années plus tard, dans un banquet, des vignerons ont dit à ma femme: « On votera pour votre mari, même si on est de droite. Mais pourquoi ne paie-t-il pas au restaurant? » François Mitterrand m’a rassuré un jour sur ces ragots: « Ça n’influence que ceux qui sont déjà contre vous. » »
Les membres de la famille Ram, installée aux Etats-Unis, dénoncent les agissements de Sai Baba, un gourou indien qu’ils accusent d’abus sexuels sur leur fils.
Diffusé les 11 août 2005, 24 juin 2007 et 30 juin 2009
L’affaire des disparues de l’Yonne est la plus importante affaire de disparitions que la France ait connue : entre 1977 et 1979, on perd toute trace de sept jeunes filles légèrement déficientes mentalement, toutes pupilles de la DDASS. En novembre 2004, Emile Louis, 70 ans, déjà condamné à plusieurs années de prison à Auxerre et Draguignan pour attentat à la pudeur, est arrêté et condamné à vingt ans de réclusion criminelle. Sur ses indications, la justice retrouve les corps de deux des disparues. Ayant fait appel, Emile Louis a été rejugé. En juin 2006, les douze jurés de la Cour d’appel de Paris ont confirmé une peine identique à la première instance : réclusion criminelle à perpétuité avec peine de sûreté de 18 ans avec dédommagement des familles