Pedopolis v2 référence les articles archivés selon 3 types de sources:
« Les sources Mainstream », organismes médiatiques relayant généralement comme son nom l’indique en anglais le « courant de pensée dominante », mais qui pourtant nous offrent parfois des perles de Vérité. Ces organismes appartiennent en général à d’autres organismes, qui eux même appartiennent à encore d’autres propriétaires, et ainsi de suite jusqu’aux pouvoirs dominants rééls.
« Les sources alternatives », indépendantes de tout pouvoir et libres de leur expression. Ces sources interviennent généralement sur le web sous la forme de sites et de blogs.
« Qui ose parler« (et/ ou agir !), catégorie transversale issue de la première version de Pedopolis, elle référence toutes ces personnes courageuses qui osent évoquer les sujets tabous qui animent notre site, en se mettant souvent en danger professionellement, socialement, fiscalement, physiquement, etc. Ces personnages bénéficient de notre respect pour leurs prises de positions assumées, et interviennent dans les 2 types de sources précédentes.
Vous pouvez par mail nous suggérer des sources qui ne sont pas répertoriées dans notre base de donnée.
Si certaines sources ont zéro articles répertoriés, c’est que le ou les articles n’ont pas encore été classés.
Vidéo de Me Vanessa Frasson, avocate et maman désenfantée pour avoir dénoncé l’inceste sur sa fille.
ONU : Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels inhumains ou dégradants entrée en vigueur le 26 juin 1987 ratifiée par la France en février 1986
Art 1 : définition de la torture
Alors que la chape de plomb des abus rituels commence à se fissurer sérieusement en Allemagne et en Suisse alémanique, on assiste au même phénomène qu’en Angleterre quand l’affaire Savile a ouvert la boîte de Pandore du réseau pédocriminel : l’étouffoir se met en œuvre.
Le site « Rencontre ados », ouvert à l’inscription dès l’âge de 13 ans, ne contrôle que très rarement l’identité de leurs usagers. Les plus jeunes deviennent rapidement des proies pour des utilisateurs beaucoup plus âgés.
C’est une initiative importante de survivants d’abus de type rituel de plusieurs pays, qui ont décidé de témoigner publiquement de ce qu’ils ont vécu pour alerter l’opinion publique. Surtout, ils expliquent comment fonctionne le système global de corruption et de destruction de la société, dont ils ont été, enfants, les premières victimes. Parce qu’aujourd’hui le trauma est organisé à grande échelle, il est crucial de diffuser ces témoignages.
Anneke Lucas (60 ans) a subi la violence rituelle en Belgique (entre autres) entre l’âge de 6 et 11 ans. Dans cette vidéo, elle partage ses expériences.
Lorsque j’ai commencé à enquêter sur les enlèvements d’enfants à Artiomovsk par l’Ukraine, je n’imaginais pas à quel point j’allais découvrir des trafics d’une ampleur internationale et des méthodes plus sordides les unes que les autres pour fournir des enfants aux réseaux pédocriminels et aux trafiquants d’organes.
Carina (63 ans) a subi la violence rituelle dans différents endroits d’Allemagne entre l’âge de 0 et 20 ans. Les premiers flashbacks n’ont commencé qu’à 51 ans et l’ont ramenée dans des cages et des enclos.
Le trafic d’enfants est arrivé dans le débat public tout récemment avec le film Sound of Freedom, qui montre un volet bien réel du trafic d’enfants, mais pas en occident. Le documentaire polonais Les Yeux du Diable du réalisateur Patryk Vega, parle d’un réseau international de trafic d’enfants qui opère en Pologne, en Allemagne, en Belgique et dans de nombreux autres pays.