Polanski a photographié la nudité d’une enfant de 13 ans, avant qu’il ne la drogue et la sodomise, ce qui présume qu’il avait une de ces « collections » qualifiées de pédopornographie. Son comité de soutien comprend plusieurs personnalités mises en cause dans le réseau Coral, dont la collection de pédopornographie était vendue par le réseau de Zandvoort. Ces dossiers comportent les plus anciennes collections européennes de photos de crimes réels sur les enfants. Polanski était en France au moment du scandale Coral. Ses amis et leurs intérêts communs pourraient inciter la justice Américaine a vérifier si la victime de Polanski figure aux cédéroms de Zandvoort.
Reportage diffusé sur la chaine Allemande N24, il y a plus de 10 ans et censuré en France.
Témoignages effroyables de plusieurs enfants, victimes d’un réseau pédocriminel en France, et de soirées sataniques avec cannibalisme et crimes rituels. Certains témoignages sont reliés à l’affaire Dutroux mais ils n’ont pas été pris en compte.
Quel est le point commun entre Nayna Patel, une femme médecin en Inde, Doron, un homme d’affaires israélien, et Katerine, une mère de famille du Tennessee ? La fabrication de bébés ! Ainsi, Doron décrit le négoce assez particulier auquel il se livre. D’abord, le matériel génétique est acheté aux États-Unis – par exemple à Katerine qui, pour rénover sa maison, vend régulièrement ses ovules. Une fois les œufs fécondés, les clients de Doron sélectionnent les embryons qui les intéressent. Ceux-ci sont alors envoyés en Inde à la clinique du docteur Patel, qui insémine les mères porteuses. Neuf mois plus tard, les « parents » viennent récupérer l’enfant. Les femmes enceintes sont logées à l’hôtel, à l’écart de leur famille et de la réprobation sociale. Elles portent les bébés occidentaux contre rémunération et espèrent ainsi améliorer leur situation. Chez Doron, on explique que l’externalisation vers un pays en développement permet tout simplement de baisser les coûts…
Le chanteur de raï est reconnu coupable d’avoir fait subir un avortement forcé à son ex compagne.
Cinq ans ferme. Vendredi, au tribunal correctionnel de Bobigny, Cheb Mami, chemisette blanche, visage fermé, a été reconnu coupable de tentative d’avortement forcé sur son ex-compagne. Ecroué depuis lundi à la prison de la Santé à Paris, après deux ans de fuite en Algérie, il devrait avec les remises de peine recouvrer la liberté dans un peu plus de deux ans. Une peine moins sévère que les sept ans requis la veille par la procureure, et en dessous de la peine maximale dix ans encourue. «Je regrette tout ce qui s’est passé. Je lui demande pardon, je regrette», avait lancé Cheb Mami jeudi après-midi, reconnaissant sa responsabilité mais soutenant avoir été «piégé».
Camille, qui a porté plainte contre Cheb Mami et son manager a raconté la tentative d’avortement forcé au tribunal.
L’horreur. L’horreur dans ce qu’elle a de plus moyenâgeuse et barbare. Une négation de l’être narrée à la barre du tribunal de Bobigny par Camille*. Cette dernière racontait sa séquestration et la tentative d’avortement qu’elle a subie en 2005 par le chanteur de raï Cheb Mami et plusieurs de ses proches à Alger.
Le chanteur de raï a été condamné à cinq ans de prison, après avoir reconnu devant le tribunal correctionnel de Bobigny, avoir été au courant que son entourage organisait l’avortement forcé de son ex-compagne.
La star franco-algérienne du raï Cheb Mami, 42 ans, accusé de tentative d’avortement forcé sur son ex-compagne, a reconnu sa responsabilité, avouant dans des sanglots « sa faute grave », mais dit avoir été « piégé », jeudi lors de son procès devant le tribunal correctionnel de Bobigny.
La star du raï est accusée d’avoir forcé son ex-compagne à avorter. Revenu d’Algérie, où il avait fui en 2007, il a été arrêté lundi. Il risque dix ans de prison et 150 000 euros d’amende.
La star franco-algérienne du raï Cheb Mami comparaît jeudi devant le tribunal correctionnel de Bobigny, en banlieue parisienne, pour tentative d’avortement forcé sur son ex-compagne.