Le docteur David Callaway, récemment veuf, essaie désespérément de renouer le contact avec sa fille de neuf ans, Emily, après la mort tragique de sa femme.
Après plusieurs mois de traitement psychiatrique avec le docteur Katherine Carson, une des anciennes étudiantes de David, Emily semble réussir à vivre avec le traumatisme, et semble prête à redémarrer une nouvelle vie.
David, son père, décide de quitter New York pour une petite ville pour solidifier leur rapport père fille. Mais les choses tournent au sinistre quand Emily se crée un ami imaginaire effrayant et maniaque, Charlie, qui adore jouer à des jeux macabres. Les amis imaginaires peuvent parfois paraître si réels…
L’histoire d’une enfance déchirée, vue par les yeux d’un petit garçon, Jérémie, et de sa mère, Sarah, jeune femme impulsive, insatiable et profondément perdue qui se prostitue pour des routiers sur des aires d’autoroute dans le sud des Etats-Unis.
Ce film est le deuxième volet du reportage d’Alex Jones « Dark Secrets Inside Bohemian Grove ».
« The Order of Death » résume tout ce qu’a appris Alex Jones depuis son infiltration au Bohemian Grove le 15 Juillet 2000, levant ainsi le voile sur les pratiques occultes de l’élite. Dans les semaines qui suivirent, Alex diffusa ses images sur son site et publia une vidéo. Les gens furent étonnés d’apprendre que de nombreuses personnalités se rendaient au Grove chaque année, et que cela durait depuis le début du siècle dernier. Ce 2ème film donne la parole aux membres de Bohemian Grove, la presse, et même les militants locaux qui protestent contre le Grove. Enfin, on apprend que le Grove est seulement une des multiples facettes de l’immense société secrète internationale décidée à établir un gouvernement mondial.
» Plus de 25 ans après la disparition de deux jeunes militaires du camp de Valdahon (Doubs), où Pierre Chanal était instructeur, leurs familles placent dans une indemnisation de la justice leur seul et ultime espoir de réhabiliter la mémoire des deux garçons, considérés comme déserteurs. La commission d’indemnisation des victimes d’infraction (CIVI) de Besançon rendra le 3 février sa décision sur la demande d’indemnisation déposée par les familles de Michel Giannini et Aldo Tacchini. Pour statuer, elle devra se prononcer sur le caractère criminel, ou non, de la mystérieuse disparition des deux appelés du camp où ils effectuaient leur service militaire, en 1975 et 1977. Avocats et familles des jeunes gens venus jeudi à Besançon défendre le dossier devant la CIVI sont convaincus que les « disparus de Valdahon » ont été les premières victimes de l’adjudant Chanal. « On ne déserte pas pendant près de trente ans sans laisser de traces et sans donner de nouvelles », soutient Me Gérard Chemla, qui défend, avec Me Vincent Durtette, sept des huit familles de victimes présumées de Pierre Chanal à Mourmelon (Marne) et dans les départements limitrophes entre 1980 et Après le suicide de l’ancien adjudant-chef en octobre 2003 durant son procès devant la cour d’assises de la Marne pour trois de ces assassinats, la requête devant la CIVI constitue le seul recours possible des familles des « disparus de Valdahon ». « Nous voulons que l’armée et la justice reconnaissent leurs négligences et leurs fautes », explique Bruno Tacchini, frère d’Aldo, selon lequel « aucune enquête sérieuse n’a été faite pendant vingt-cinq ans alors que le rapprochement avec Chanal aurait dû être établi ». En 2001, une première enquête de la gendarmerie de Besançon apprenait aux familles qu’un lien avec Chanal était envisagé mais sans preuves. « Le montant de l’indemnisation est symbolique. Nous attendons avant tout la reconnaissance des familles en qualité de victimes et qu’il soit dit que les deux jeunes gens n’ont pas disparu dans des conditions naturelles », explique Me Chemla. Le représentant du ministère public devant la CIVI n’a pas soutenu la requête des familles qui demandent 40.000 euros en faveur des parents et 20.000 euros pour les frères des jeunes gens. Le Fonds de garantie des victimes, chargé de l’indemnisation, s’est également prononcé contre la requête. »
http://www.dailymotion.com/video/x9q7k8_un-crime-dans-la-tete-bande-annonce_shortfilms Il y a quelques années, une nuit, durant la guerre du Golfe, le capitaine Marco et ses hommes furent victimes d’une embuscade et ne durent la vie sauve qu’à l’intervention héroïque du sergent Shaw, devenu désormais l’un des candidats les plus sérieux à la fonction de vice-président des États-Unis. Quant à Marco, devenu major, il ne cesse de rêver à cette fameuse nuit, mais ce dont il rêve est bien différent de ce dont il croit se souvenir …
Le procès de Marcel Lechien, 51 ans, cet instituteur accusé de viols et agressions sexuelles sur 38 enfants à l’école primaire de Cormeilles (Eure), s’ouvre ce mardi devant la cour d’assises de l’Eure à Evreux. Le procès, prévu pour durer jusqu’au 19 novembre se dérouler à huis clos. Marcel Lechien, qui, de son côté et par la voie de son avocat, demande que son procès soit public, encourt une peine de vingt ans de réclusion criminelle. L’instituteur, écroué depuis février 2001, est renvoyé pour trois viols et de multiples agressions sexuelles à l’encontre de 38 victimes âgées de 6 à 10 ans, des actes pédophiles commis entre1989 et2001 en classe de CP à l’école primaire de Cormeilles (ouest de la France), 1.100 habitants.
L’avocate d’une des sept personnes acquittées au procès pour pédophilie d’Outreau a réclamé à l’Etat une indemnisation de 500.000 euros pour le fils mineur de sa cliente en estimant qu’il était « aussi victime » dans ce dossier.
Un véritable phénomène social ; 86 000 enfants sont en danger en France. Victimes de pédophiles ou de parents incestueux, négligés, battus, violés ou prostitués, tous vivent leur cauchemar en silence. Martine Nisse, dont le travail remarquable a participé à l’évolution des mentalités en France et a ouvert des voies juridiques, nous explique, à travers de nombreux cas, comment ces drames se mettent en place. S’il est vrai que beaucoup de maltraitants reproduisent un schéma dont ils ont été victimes, il n’y a pas de fatalité, pourvu que soit rompu à temps le silence. Les actions conjointes de la thérapie familiale de réseau et de la justice peuvent mettre fin aux règles familiales abusives. Nous pouvons tous être un jour confrontés à un cas de maltraitance. Parce qu’il est hasardeux, voire dangereux, d’intervenir seul dans des situations si bouleversantes, Martine Nisse nous aide à agir. Quels symptômes physiques ou comportementaux doivent nous alerter ? Comment amener les victimes à se confier ? À qui peut-on adresser un signalement ? Comment aider ces enfants à retrouver leur dignité ? Éléments juridiques et psychologiques à l’appui, l’auteur répond concrètement et précisément à ces questions de première importance. Le premier état des lieux sur la maltraitance à l’encontre des enfants, qui donne, à tous, les clés pour comprendre et les démarches à suivre.
Diffusé les 12 août 2004, 8 octobre 2006 et 14 mars 2010
Dans l’esprit du public, Guy Georges est l’archétype du criminel sexuel, du tueur en série. L’affaire Guy Georges est aussi celle qui a imposé, pour le public et pour le législateur, le principe du fichage ADN. Véritable révolution dans le domaine de l’investigation policière, le relevé d’empreintes ADN permit d’identifier le meurtrier. Retour sur les faits. Automne 1997. Un homme terrorise la capitale. Coup sur coup, il vient de tuer deux jeunes femmes. A chaque fois, l’homme a suivi ses victimes dans la rue avant de pénétrer de force chez elles. Le «tueur de l’Est parisien» fait la une des journaux. Martine Monteil, directrice de la P.J. et à l’époque chef de la Brigade criminelle, revient sur les péripéties de cette enquête hors du commun.
« Il n’aura pas échappé à votre attention que notre société ne se porte pas très bien. Les gens sont mal à l’aise, nerveux et ne se sentent pas en sécurité. Parallèlement, notre vie privée revêt à nos yeux de moins en moins d’importance (…) nous confions l’ensemble de nos informations privées au système et en sommes totalement dépendants pour nos besoins monétaires et autres. Beaucoup se demandent: « Où est-ce que le monde va? Où nous mène cette route? Qu’est-ce qui nous attend encore? Comment en sommes-nous arrivés à ce chaos? »
Chaque année en France, des milliers d’enfants sont maltraités et victimes d’abus sexuels. Dans un cas sur deux, ils n’ont pas encore atteint l’âge de la puberté ; les tout-petits ne sont pas à l’abri. Deux fois sur trois, ces enfants sont abusés par l’un de leurs parents ou de leurs proches. Ils restent parfois marqués à vie : troubles psychologiques, échec scolaire, dépression, suicide, délinquance, toxicomanie, prostitution sont parmi les conséquences de ces traumatismes. Et si on ne les aide pas, ils risquent de reproduire le même comportement avec leurs propres enfants. Cet ouvrage constitue un guide très pragmatique, qui à la fois analyse sur le fond le phénomène de la maltraitance et des abus sexuels et permet aux professionnels une prise en charge de ces violences de façon concertée, au niveau social, judiciaire et thérapeutique.
Biographie de l’auteur
Frédérique Gruyer, psychothérapeute, psycho-sexologue. Martine Nisse, thérapeute familiale, éducatrice spécialisée. Dr Pierre Sabourin, psychiatre, psychanalyste.