L'Humanité Pédophilie. La Marche blanche pour une vraie justice

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Arborant ballons et vêtements blancs, 300 000 personnes submergent Bruxelles le 20 octobre 1996. Un Belge sur dix dans la rue ! Transposée en France, il faudrait imaginer une manifestation de six millions de personnes. Tous affichent leur émotion, leur solidarité avec les parents des victimes. Ils protestent contre les graves dysfonctionnements de la justice. Le dessaisissement du juge Connerotte qui privilégiait la piste du réseau donne l’impression qu’on veut étouffer l’affaire. La Marche blanche n’est pas révolutionnaire. Elle exige simplement que les institutions fonctionnent dans ce royaume curieusement fédéral, divisé par le bilinguisme.Face à une justice éparpillée en ressorts plutôt étanches, la gendarmerie unifiée sur tout le pays s’estimait-elle au-dessus des juges ? Est-ce pour cela que cette dernière n’a pas transmis à la juge compétente les informations qui auraient permis d’arrêter Dutroux un an plus tôt ? Les pandores se préparaient à l’épingler en flagrant délit dans le cadre d’un trafic de voitures. Il ne fallait pas qu’une magistrate sabote leur opération  » pro-active  » sous prétexte qu’elle recherchait des gamines disparues. Cette bavure s’ajoutait à la longue liste des affaires mal ou non élucidées au nom de la raison d’Etat : l’assassinat du ministre André Cools en 1991, les mitraillages apparemment aberrants de clients d’hypermarchés par les Tueurs fous du Brabant, sans oublier les affaires de corruption, le scandale Augusta qui entraînera la chute de Willy Claes, patron belge de l’OTAN. L’affaire Dutroux achève de ruiner la confiance entre les citoyens – sujets de sa majesté – et les pouvoirs publics. Mais l’électrochoc Dutroux agit au-delà des frontières belges. Jusqu’en 1996, la pédocriminalité organisée était totalement niée en Europe. À titre d’exemples, l’Humanité Dimanche avait révélé en 1986 des  » ballets bleus sur minitel  » et une organisation de pédopornographie sise à Paris à proximité du Sénat, dans une indifférence totale. Quand un enfant disparaissait, il s’agissait soit d’une fugue, soit d’un viol suivi de meurtre commis par un détraqué et de toute façon il était trop tard.

Bref, ce n’était jamais une priorité. En Belgique, les parents de Julie et de Mélissa, puis la grande masse des citoyens en imposant leur parole dans la rue, signifiaient aux gouvernements européens qu’ils n’acceptaient plus la désinvolture de l’État face aux crimes commis sur les enfants. Dans ce mouvement, 1996 est aussi une date clé dans la révélation des incestes et des agressions sexuelles commis sur des mineurs au sein des familles. Personne ne soupçonnait l’ampleur du phénomène, dans tous les milieux sociaux. Coup sur coup, trois réseaux sont démantelés de façon hypermédiatisée, en France : Toro Bravo, Achille, Ado 71. Il s’agit de calmer l’opinion, en démontrant qu’en France une affaire Dutroux était impossible. Pourtant sept jeunes filles handicapées mentales avaient disparu dans l’Yonne dans les années soixante-dix, sans susciter de réaction de la Justice. Le réseau franco-colombien Toro Bravo était organisé par ceux que nous avions dénoncés dix ans auparavant, derrière la galerie de photo qui jouxtait le Sénat. Après 1998, le naturel judiciaire a repris le dessus. Les réseaux ? quels réseaux ? Des fantasmes de journalistes. Des tribunaux ont jugé des affaires impliquant des dizaines de personnes comme s’il s’agissait d’individus sans liens organisés. La mondialisation et l’Internet dopaient la pédocriminalité partout, sauf en France où l’on continue d’opposer les violences sexuelles intrafamiliale (90 % dit-on) aux réseaux. Un clivage qui ne correspond plus à la réalité. Dire cela, ce n’est pas minimiser l’importance de l’inceste. Mais dans de nombreuses affaires, on retrouve des noyaux familiaux et des échanges ou des ventes d’enfants, de matériels pédopornographiques, via le Web.

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ICW Présentation de l’association ICW-Collectif des mères

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ICWL’association International Children Welfare – Collectif des Mères, déclarée le 29 Mars 2001 puis est parue au J.O le 21 avril 2001, est née d’un constat grave : la défaillance criminelle de l’Etat français vis-à-vis des enfants victimes d’agressions sexuelles incestueuses et de leurs mères qui assument dignement leurs devoirs de représentantes légales.

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ICW - Collectif des Mères MANIFESTE – Agressions sexuelles incestueuses

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« Quiconque se tait et ferme les yeux est coupable de complicité  et de non-assistance à personne en danger »

Au nom d’une conception de la famille que nous refusons parce qu’elle maintient le secret sur les agressions sexuelles incestueuses, Femmes devenues mères, nous témoignons de l’injustice que nous vivons conjointement avec nos enfants.

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Au Troisième Oeil Affaire Alègre : les terribles aveux du gendarme Michel Roussel

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Le snuff de Julie et Melissa

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Extrait de la lettre d’Albert Mahieu au président de la Cour d’Assises d’Arlon à propos de l’affaire Dutroux…

Jeudi 15 janv. 2004

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France 2, Tout le monde en parle Marilyn Manson: « Quand j’étais gamin, mon grand-père me paraissait monstrueux… »

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2003

http://mk-polis2.eklablog.com/marylin-manson-quand-j-etais-gamin-mon-grand-pere-me-paraissait-monstr-a106163840

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X « Vivre l’enfer » – Abus rituels sataniques en Allemagne

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http://www.fichier-pdf.fr/2013/06/18/rapport-sur-abus-rituel-et-contro-le-mental/rapport-sur-abus-rituel-et-contro-le-mental.pdf

http://mk-polis.e-monsite.com/pages/les-abus-rituels/

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Sisyphe & Collectif féministe contre le viol Protéger son enfant contre un père agresseur est souvent un long et vain combat pour la mère

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Extrait du Dossier « Agressions sexuelles incestueuses dans un contexte de séparation des parents : dénis de justice ? » @ Copyright Collectif Féministe Contre le Viol – VIOLS FEMMES INFORMATIONS, numéro vert : 0 800 05 95 95
(appel confidentiel et gratuit pour la France métropolitaine, du lundi au vendredi, de 10h à 19h) – Site Internet.

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(Le Bouclier ) Non elles ne sont pas folles les mamans qui se battent pour leurs enfants !

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dossier | Libre expression
Nous n´avons pas pour habitude de mélanger les genres. Nous avons suffisamment soutenu les magistrats et nous continuons d´ailleurs sans peine à le faire, comme nous le ferons, chaque fois que nous estimerons devoir le faire. Cela ne plait généralement pas à toute une faune associative pour laquelle « la justice est pourrie » , faune qui se garde bien cependant d´attaquer de front les faits et les décisions iniques de certains juges.
Personne ne les ignore ces décisions iniques, pas plus le monde associatif que magistrats, policiers, ministères et parlementaires, mais chacun se borne à faire la prude, sans jamais oser mettre les pieds dans le plat.


A ce jour, ce sont des centaines de femmes qui se battent dans une indifférence totale contre des décisions de justices contestables quand des médecins ont signalé des violences sexuelles sur leur enfant, de la part d´un mari ou d´un conjoint incestueux et pédophile. A chaque fois, c´est toujours le même chef d´orchestre qui mobilise des moyens contre elles, montrant au passage et si besoin était que les femmes sont encore maintenues dans des dépendances économiques et un isolement qui colle mal avec les rond de jambe de la « journée de la femme ».


LE SCENARIO EST IMMUABLE

 

Une femme a de forts soupçons d´abus sexuel sur son enfant.

 

Un médecin constate, la conforte dans ce soupçon et alerte la justice.

 

Le procureur prend les mesures de protection de l´enfant.

 

Un ou une juge suit le procureur et protège l´enfant.

 

Un second médecin confirme le diagnostic du premier.

 

Un ou une autre juge balaye les certificats médicaux et confie l´enfant au père soupçonné qui entre temps a reçu le soutien d´une officine spécialisée.

 

Le ou la juge commet un expert psychiatre ou un psychologue qui rend un avis exactement contraire à celui des médecins spécialisés.

 

La maman n´en peut plus.

 

Elle déprime et se bat dans toutes les directions et on la dit « folle »

 

Les associations censées l´aider lui réclament le remboursement des frais d´avocat ou l´entraîne dans des aventures aussi rocambolesques que celle des « mères en fuite en Suisse ».

 

Il arrive que la maman s´enfuit avec l´enfant.

 

Là elle est vite retrouvée, les prédateurs lâchent rarement leurs victimes, et elle est condamnée à de la prison pour non présentation d´enfant.

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La Dépêche Marc Bourragué devant le juge

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Affaire Alègre à Toulouse – AFFAIRE ALÈGRE – LE MAGISTRAT MIS EN CAUSE PAR LES EX-PROSTITUÉES ENTENDU, HIER, COMME TÉMOIN ASSISTÉ

Pour la première fois depuis que son nom est apparu dans le volet « mœurs » de l’affaire Alègre, Marc Bourragué, procureur adjoint de Montauban et ex-substitut du procureur de Toulouse, a été interrogé, hier matin, par l’un des juges d’instruction en charge de l’information judiciaire ouverte le 15 avril contre « Patrice Alègre et tous autres » pour « proxénétisme en bande organisée, viols, tortures et actes de barbarie et viols sur mineurs par personne dépositaire d’une autorité publique ».

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Reportage France 2, Faites entrer l'accusé Marc Dutroux Le démon belge

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Faites entrer l’accusé

Saison n°3 – Épisode n°8

Diffusé les 28 août 2003, 23 avril 2006 et 12 mai 2009

Le 15 août 1996, la Belgique et l’Europe entière découvrent le nom et le visage de Marc Dutroux. Ce jour-là, on retrouve deux fillettes : Sabine, 12 ans, et Laetitia, 14 ans, disparues l’une depuis deux mois, l’autre depuis une semaine. Elles sont vivantes, mais ont subi des abus sexuels durant leur détention dans une cave. Dutroux est déjà bien connu des services de police, notamment pour des actes de pédophilie. La liste de ses victimes est impressionnante. La Belgique s’interroge : pourquoi avoir remis en liberté Dutroux alors qu’il avait déjà, en 1989, enlevé et violé cinq jeunes filles ? Au terme d’un procès riche en rebondissements, il a été condamné à la prison à perpétuité.

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Libération Etats-Unis: le père Geoghan tué en prison

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Le prêtre pédophile avait abusé d’une centaine d’enfants.

Washington

de notre correspondant

L’ancien prêtre pédophile John Geoghan, à l’origine du scandale qui secoue depuis l’automne dernier l’Eglise catholique américaine, a été tué samedi dans sa prison du Massachusetts. Agé de 68 ans, il a, selon les enquêteurs, été étranglé par un de ses codétenus, Joseph Druce, 31 ans. Ce dernier, un néonazi haïssant les Noirs, les juifs et les homosexuels, est incarcéré à vie pour avoir tué un homme de 51 ans, il y a quinze ans. Il sera poursuivi pour ce nouveau crime, mais son sort ne devrait pas énormément changer : le Massachusetts n’exécute plus personne depuis 1947.

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Base de Données sur les réseaux pédocriminels