Invités : Général Jacques Fombonne, ancien commandant du centre national de formation de la police judiciaire, Mélanie Vecchio, journaliste police/justice BFMTV, Maître Guillaume Fort, avocat des grands-parents paternels de Mia, Pascal Neveu, psychanalyste, directeur de l’Institut Français de la Psychanalyse Active (IFPA), et Jacques Morel, Général de gendarmerie, ancien patron de la section de recherche de Versailles.
Dans une interview à Vosges FM, le grand-père de Mia, enlevée depuis mardi, apporte son soutien à sa fille, responsable présumée du rapt de la fillette. Il renvoie la responsabilité aux services sociaux.
« Un geste d’amour. » Dans une interview accordée à la radio Vosges FM ce vendredi, le grand-père de Mia, cette fillette enlevée mardi dans les Vosges, a apporté un franc soutien à sa fille, responsable présumée du rapt. Aux yeux de Claude Montemaggi, le responsable de cette situation est l’État, et plus précisément l’aide sociale à l’enfance (ASE).
Les suspects placés en garde à vue affirment qu’ils ont agi à la demande de la mère de l’enfant qui voulait récupérer sa fille de 8 ans dont elle n’avait plus la garde depuis janvier.
« On a fait ça à la Arsène Lupin. » C’est en se comparant au gentleman cambrioleur, créé en 1905 par le romancier Maurice Leblanc, que l’un des hommes soupçonnés d’avoir participé à l’enlèvement de Mia, 8 ans, a évoqué son acte devant les enquêteurs, d’après les informations que BFMTV a pu recueillir.
Depuis la plainte du neveu de Gérard Louvin, une enquête a été ouverte contre le producteur et son époux, Daniel Moyne, pour « viols sur mineurs » et « complicité de viols sur mineurs ».
L’association à l’origine de ce mouvement réclame, entre autres, que l’amnésie traumatique soit reconnue comme un « obstacle insurmontable » permettant la suspension du délai de prescription.
De 2002 à 2005, Karine avait été livrée à un homme déjà condamné pour pédophilie. De nombreux signalements avaient été réalisés, mais jamais la fillette n’avait été protégée