Il y a 60 ans, un docteur américain financé par la CIA utilisait ses patientes et patients québécois comme cobayes. Les proches de ses victimes, qui ont vu leur vie brisée, entament aujourd’hui une poursuite contre le gouvernement canadien. Le documentaire MK-ULTRA : la fin du silence raconte un épisode honteux de la guerre froide qui s’est joué à Montréal et fait état des conséquences des expériences secrètes de lavage de cerveau menées à l’Institut Allan Memorial.
En 1990, à Evansville dans l’Indiana (comté de Vanderburg, USA), une sordide affaire de rituels pédocriminels a été étouffée, comme à l’accoutumée. À l’époque, l’affaire de la « Maison Bleue Satanique » avait reçu un écho national, notamment avec l’émission télévisée « A Current Affair » qui qualifia alors Evansville de « Devil’s Playground » (terrain de jeu du diable).
Les carabiniers de Reggio Emilia, dans le nord de l’Italie, ont interpellé 18 personnes dont un maire et des médecins soupçonnés d’avoir procédé à des manipulations psychologiques sur des enfants pour les soustraire à leurs parents et les «vendre» à des familles d’accueil.
Le projet pseudo-médical MK-Ultra, pendant la Guerre froide, refait surface à Montréal. Des victimes ont déposé plainte.
L’histoire
Dans les années 1950-1960, le projet MK-Ultra, projet de la puissante CIA américaine, cherchait à contrer les « avancées » soviétiques en matière de lavage de cerveaux. Injections de LSD, électrochocs … Tout ou presque a été administré à des milliers de cobayes, sous couvert de traitements expérimentaux, dans plus de 80 institutions en Amérique du nord. Au Canada, ces tests sadiques portent le nom de Montreal Experiment et se déroulaient à l’hôpital Royal-Victoria ou à l’institut Allan Memorial, de l’université McGill. Avec le feu vert et l’argent du gouvernement canadien de l’époque, aux bottes du grand frère américain. Après les révélations du New York Times, en 1974, la CIA a indemnisé 9 patients canadiens atteints de graves séquelles. Dans les années 1990, le Canada en a indemnisé soixante-dix-sept, sans reconnaitre de « responsabilité »
Dans ce documentaire, nous évoquons le récit d’Audrey, victime d’une grande injustice, qui se bat pour ses enfants. Elle sera auditionnée le 2 Août, hésitez pas à partager cette vidéo au plus grand nombre afin de faire sa sécurité et aussi, que d’autre personne ait le courage de faire comme elle. Merci à vous d’avance !!!
Kendall prétend qu’elle a été vendue par ses parents à la naissance à un puissant trafiquant international d’esclaves sexuel. Elle raconte quand elle était enfermée dans une cage avec d’autres enfants enlevés, ou quand elle voyageait dans le monde entier dans des avions privés, pour être vendue à des hommes riches et puissants.
Les cobayes de la CIA est un film historique, accusateur, et documenté sur la face occulte de ce qui s’est passé dans les années 50, 60 et 70 aux Etats-Unis. Sous prétexte de recherches sur le cerveau humain, des dizaines de milliers de personnes vont servir de cobayes non volontaires et devenir des de laboratoires au service d’un programme de recherche top secret de la CIA. Ces cobayes étaient recrutés parmi les indigents, les déshérités, dans les prisons, les hôpitaux, les casernes et même les orphelinats. But de la manœuvre : effacer la mémoire, trouver un moyen pour faire avouer un ennemi, fabriquer une machine humaine prête à tuer contre son gré.
Le deuxième opus autobiographique signé Cathy O’Brien et Mark Phillips. Une plongée dans l’univers de la manipulation mentale « made in U.S » qui fait froid dans le dos.
Pierre Mazé l’éditeur nous livre tous les secrets de ce livre.
Pour la première fois dans le monde francophone, un livre tente d’explorer les sujets complexes que sont les abus rituels traumatiques et le contrôle mental qui en découle. Il s’agit ici d’approfondir la lourde question de la pédocriminalité élitiste, aussi appelée le pédo-satanisme.
Jérôme Menez est l’auteur de l’ouvrage « La valse des irresponsables ». Lors de son passage sur MetaTV le 25 avril, il a abordé pendant quelques minutes le sujet du contrôle mental, autant individuel que collectif.
Le 17 août 1951 à Pont-Saint-Esprit, dans le Gard, le village entier semble pris de folie, après ce qui ressemble à une banale intoxication collective. Pendant une semaine, les scènes surréalistes s’enchaînent, avec des habitants en proie au délire et à des hallucinations. A l’issue de cette semaine, on déplore cinq morts et 300 malades, dont une soixantaine internée dans des hôpitaux psychiatriques. En 2009, le journaliste américain Hank Albarelli assure dans un livre que le village aurait été victime d’une expérience sur les effets du LSD, menée conjointement par l’armée américaine et la CIA. Une théorie qui prend place aux côtés de l’empoisonnement par l’ergot de seigle ou les mycotoxines dans le catalogue des hypothèses.