Fiche Commission d’enquête parlementaire Outreau

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Fiche Affaire Danger / Vandevelde

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Fiche Affaire Outreau 1 (Saint-Omer)

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Les Chroniques de Svali n°52 – Noël dans la secte

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Svali

Noël est le temps des chaleureux rassemblements familiaux autour de l’arbre de noël, du partage souriant de cadeaux et de l’excitation d’enfants aux yeux endormis pour voir ce que le Père Noël a apporté pendant que les adultes boivent du lait de poule et festoient en suivant de joyeuses
traditions.

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Technikart n°58 Docteur Justice

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Sur France 3, Pascale Justice enquête depuis plusieurs années sur les réseaux pédophiles. Un parcours du combattant qui dérange pas mal de monde.

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Le Parisien Affaire Karen Mulder: ouverture d’une information judiciaire

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Titre d’origine: « L’affaire Karen Mulder »

UNE INFORMATION judiciaire contre X pour viols a été ouverte le 20 novembre par le parquet de Paris, suite à un dépôt de plainte de Karen Mulder, et confiée au juge d’instruction parisien Jean-Pierre Gaury. L’ex-mannequin, 31 ans, d’origine néerlandaise, avait effectué courant octobre une série de dépositions au commissariat de la 1 r e DPJ (direction de la police judiciaire) mettant en cause un membre de son entourage ainsi qu’un certain nombre de personnalités qui, selon elle, l’auraient agressée sexuellement.

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L'Humanité Combien d’enfants disparaissent chaque année ?

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Robert Hue vient d’interpeller Marylise Lebranchu, Garde des Sceaux, en lui demandant le chiffre  » des disparitions annuelles de mineurs de moins de quinze ans en France métropolitaine, mais aussi dans les départements et les territoires d’outre-mer, pour les dix dernières années, en évoquant non pas les fugues mais les seuls cas d’enfants dont on n’a plus aucune nouvelle « . L’initiative du député du Val-d’Oise peut sembler étonnante, mais elle pointe une étonnante carence dans le domaine des statistiques : si le nombre de ces disparitions de mineurs existe, il n’est pas rendu public. Pourquoi cette opacité que l’on retrouve dans la plupart des pays de l’Union européenne ? Les seules données chiffrées que nous avons pu exhumer remontent à 1982 et font frémir : 2 232 mineurs de treize à seize ans et 78 enfants de moins de treize ans auraient disparu, en France, cette année-là, sans laisser de traces ! Quelles enquêtes ont été menées pour les retrouver ? On reste sidéré par le contraste qui existe entre la surmédiatisation de quelques cas de disparitions de mineur(e)s et la chape de plomb qui pèse sur ce phénomène massif, s’il est confirmé. Sans doute est-on loin des chiffres rendus publics au Mexique, en juillet dernier. Selon Jose Luis Santiago Vasconcelos, procureur général en charge du crime organisé à Mexico, 130 000 petits Mexicains ont disparu au cours des cinq dernières années. Il parle de réseaux de prostitution, d’industrie pédopornographique et de trafics d’organes. Jusqu’à quel point la France échappe-t-elle à ces trafics ? Peu après avoir révélé l’affaire du cédérom pédocriminel de Zandvoort (Hollande) en février 2000, par dizaines des parents ont contacté l’Humanité pour visionner le fichier établi à partir de ce cédérom. Un document conçu par la police néerlandaise, transmis à Interpol et pourtant inexploité par la police française. Parmi ces parents, une mère lyonnaise à la recherche de son fils, six ans, disparu à la sortie de l’école. Aucune enquête sérieuse n’avait été lancée car les policiers avaient décrété qu’il s’agissait d’une fugue. Avant de passer à l’Humanité pour visionner le fichier, cette mère avait fait un détour par la Brigade des mineurs pour d’éventuelles nouvelles.  » C’est une fugue ! « , lui a-t-on répété. Au bord des larmes, elle nous a confié :  » Mon fils a disparu il y a vingt-six ans et ils me répètent toujours la même chose. « Robert Hue justifie sa demande en ces termes :  » Plusieurs affaires en France, aux États-Unis, en Grande-Bretagne, en Italie, en Russie et ailleurs ont mis en évidence l’existence de réseaux pédocriminels nationaux et transnationaux. Il est cependant difficile d’apprécier aujourd’hui l’ampleur du phénomène car nous ne disposons pas de chiffres et de données statistiques officiels dont la connaissance paraît pourtant indispensable à la recherche de solutions adaptées à cette criminalité d’une nature particulièrement abjecte. « 

Serge Garde

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L'Humanité Angers: Derrière les bourreaux, un réseau

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La cour d’assise d’Angers a condamné à seize et douze ans de prison les parents proxénètes de leurs quatre filles.Seize ans de prison pour la mère tortionnaire, quarante-trois ans, incestueuse et proxénète de ses filles, douze ans pour le père, quarante et un ans, bourreau violeur de ses enfants. La cour d’assises d’Angers (Maine-et-Loire) n’a eu aucune indulgence pour le couple L., dont le sadisme a transformé l’enfance de leurs quatre filles en un enfer quotidien, pendant plus de onze ans : coups et blessures, humiliations, dénutrition, privation des soins les plus élémentaires, viols dès l’âge de cinq ans. L’horreur se lisait sur le visage des jurés tout au long des trois jours de ce procès, jugé en la seule présence des journalistes. Comment ces gamines ont-elles pu survivre, régulièrement battues, sommées de rester des dizaines d’heures debout mains sur la tête, jetées presque nues dans le jardin, la nuit en plein hiver ? Des enfants objets de la perversion de leurs parents, et des désirs des  » clients « . Au su de tout le village, près de Cholet. Plusieurs témoins confirment la rumeur selon laquelle les filles L.,  » on pouvait se les faire « . Et pourtant le martyr des enfants s’est éternisé de 1986 à 1997, sans qu’aucun signalement n’aboutisse. Procès étouffant. Le président Vermorel répète :  » Nous sommes là pour juger ceux-là et rien d’autre. « . Mais le couple L. paraît bien seul dans le box. Où sont les clients, violeurs de mineures de moins de quinze ans ? Claquement de talons, salut militaire, le gradé de la gendarmerie, H., soutient à la barre qu’il n’a rien vu et que Caroline (1), l’aînée des victimes, affabule. Caroline se lève :  » Il ment ! « . Le gendarme H. est accusé par Caroline d’être le protecteur du réseau de prostitution. Or c’est lui qui  » s’occupait  » de l’enquête. De tous les clients dénoncés par les victimes, seul l’un d’eux attend d’être jugé. En correctionnelle, car ses viols ont été décriminalisés. Caroline est l’une des enfants identifiés sur le cédérom pédosexuel trouvé à Zandvoort (Hollande), dont nous avions révélé l’existence. Elle y a reconnu cinq autres mineurs de la région. Quel est le lien entre le Maine-et-Loire et la Hollande ? Cela aurait dû être établi par la juge Ringot qui instruit l’affaire du cédérom, à Paris. Le procès d’Angers, prévu en 2000, a même été repoussé pour cette raison.  » J’ai écrit plusieurs fois au juge Ringot, mais elle n’a jamais répondu « , proteste Me Salquain, avocat de la mère. Pourquoi ce blocage ? Pourquoi l’instruction, à Angers, a-t-elle réduit le dossier à une affaire de parents maltraitants et de proxénétisme sans client ? Le verdict aurait pu être plus lourd si Caroline n’avait demandé l’indulgence du jury :  » Ce sont mes parents, je les aime.  » Pour Jean Claude Disses, l’avocat de Caroline,  » justice a été rendue aux victimes, mais l’essentiel, le réseau, n’a pas été jugé « . Fait significatif, l’avocat général Rudy a fait immédiatement appel, afin que le futur procès soit aussi celui du réseau.

Serge Garde

*L’identité de la victime a été modifiée.

Source: http://www.humanite.fr/node/255697 Suite ...

Les Chroniques de Svali n°50 – La fin des Illuminati

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L'Express Qui veut la peau d’Elite?

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Depuis deux ans, un flot de rumeurs à scandale fait vaciller la célèbre agence de top models, n° 1 mondial. Ses dirigeants contre- attaquent. L’Express a mené l’enquête

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Les chroniques de Svali n°49 – Une journée dans la vie d’un formateur

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 par Svali

Avertissement : cet article contient des descriptions imagées des activités de la secte. Ne lisez pas s’il vous plaît si cette lecture présente un risque déclencheur.

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(France 2, Tout le monde en parle) Karen Mulder fait des révélations explosives sur l’agence Elite et les viols qu’elle a subi

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Émission censurée et introuvable

Tout le monde a en mémoire les remous provoqués dans la presse par l’émission censurée de Thierry Ardisson du 3 novembre 2001, « Tout le monde en parle ». Les invités étaient, entre autres, Karen Mulder et Ophélie Winter. Paradoxalement, la production décida de censurer ce dont tout le monde parla à l’époque.

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Base de Données sur les réseaux pédocriminels