Archives de catégorie : Exfiltration

(Protéger l'Enfant et Grain d'Sable) Témoignage de Tamara, maman en fuite depuis 5 ans pour protéger sa fille victime d’inceste

L’histoire de Tamara et de sa fille Ana est extrême, mais ressemble, hélas à bien d’autres dossiers de victimes d’inceste où la mère protectrice devient l’accusée…

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(Le Parisien) Sophie ABIDA : « Je ne rendrai pas ma fille, je préfère retourner en prison » : du sursis pour la mère jugée à Chartres

Sophie Abida refuse de laisser la garde de sa fille de deux ans à un père qu’elle suppose violent et incestueux. Poursuivie pour soustraction d’enfant et en détention provisoire depuis trois semaines, elle a été condamnée ce samedi à dix mois de prison avec sursis avec l’obligation de rendre la fillette, et remise en liberté.

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(Public Sénat) Laurence Rossignol : La lutte contre les violences intrafamiliales (et les pères incestueux) a besoin d’une grande loi

La lutte contre les violences intrafamiliale a besoin d’une grande loi, nous ne pouvons plus avancer petit pas par petit pas. Tout ce temps perdu, ce sont les mères et les enfants qui en pâtissent.

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(Marie Claire) « Soustraction d’enfant » : la double peine des mères qui tentent de protéger leurs enfants de l’inceste

Malgré un droit de garde officiel, certaines femmes refusent de confier leurs enfants à leurs ex-conjoint qu’elles accusent de violences sexuelles. La justice a un mot pour cela : « la soustraction d’enfant ». Et bien souvent, au terme d’un ping pong de procédures entre les juges des affaires familiales et les assises, ce sont les parents protecteurs, devenus hors la loi, et les enfants, qui trinquent.

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(RTS) « JAMAIS SANS CAMILLE » ou la Vie Clandestine à Morges (Suisse) – Affaire Priscilla Majani / Camille Chauvet

Après avoir enlevé sa fille alors âgée de 5 ans, une mère française s’est cachée pendant des années en Suisse. Reportage à Morges et en France, où la mère de la jeune fille vient d’être condamnée à deux ans et demi de prison ferme.

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(Jacques Thomet & CIDE) Mises au point de Jacques Thomet sur l’arrestation de Priscilla Majani et de sa fille Camille, en fuite depuis 11 ans

17 mars 2022 , Jacques Thomet pour le CIDE :

L’enlèvement de Camille Chauvet par sa mère : leur version contredit celle du père (Jacques Thomet – Délégué du CIDE) Un nouveau coup de théâtre vient d’éclater dans l’affaire Camille Chauvet, cette fillette française de 5 ans enlevée par sa mère Priscilla il y a 11 ans près de Toulon, et retrouvée lors de la récente arrestation en Suisse de la maman, ingénieure et officier de l’armée française. Le Comité international pour la dignité de l’enfant (CIDE-Lausanne) a eu accès à plusieurs sources concordantes sur les faits dénoncés par Priscilla et Camille, qui contredisent la version du père, Alain Chauvet. Face aux dénégations du père, accusé par la mère et Camille d’inceste sur la petite, Priscilla a maintenu ses dires devant ces sources, de même que la fillette, et relaté les dysfonctionnements, selon sa version, de la justice française dans ce dossier. Le CIDE a jugé utile d’en faire état face au déchaînement médiatique contre Priscilla à partir de la seule et unique version d’Alain Chauvet sur ce qu’il a qualifié de « mensonges ». En 2011, Camille fait l’objet d’une garde alternée chez les deux parents, en instance de divorce. Le 5 janvier, au retour de chez son père, la fillette révèle à sa mère les violences sexuelles qu’elle aurait subies, avec des détails qu’un enfant de cet âge ne peut pas inventer. Priscilla fait alors un signalement au commissariat de police à Hyères (Var). Les 6 et 7 janvier, Camille est auditionnée à deux reprises en audiovisuel (procédure dite Mélanie) par les policiers et confirme ses dires. Le 7 au soir, l’officier en charge du dossier, mandaté verbalement, selon lui, par le substitut du procureur, annonce à Priscilla qu’elle peut garder sa fille face à ce contexte. Mais jamais la mère n’obtiendra copie de cette décision malgré ses demandes réitérées. Le 17 janvier, Camille se confie soudain devant sa mère et sa grand-mère, et révèle d’autres atrocités sexuelles commises par le père selon elle. Priscilla, « effondrée » selon ses propres mots, porte alors plainte devant la police dès le lendemain. Le 21 janvier, l’officier de police déjà cité annonce à Priscilla un classement sans suite par le juge, les faits « n’ayant pas été établis » après l’audition du père, à qui elle est sommée de rendre l’enfant le soir même. Sur le conseil de son avocate, la mère exige une décision écrite du juge, et garde son enfant. Elle n’a jamais reçu ce document, affirme-t-elle. Le 24 février, raconte-t-elle, « deux policiers sautent par- dessus la porte de mon jardin, tapent à la porte et menacent de l’enfoncer si je n’ouvre pas ». Son avocate, contactée, lui conseille d’ouvrir, les policiers ayant indiqué qu’il s’agissait d’une audition. Conduite au commissariat, elle est mise en garde à vue. « On me prend mes empreintes digitales, y compris des paumes, s’étonne-t-elle, mon ADN, et je me retrouve en cellule. Menottée, les policiers me conduisent alors en voiture à vive allure, gyrophares allumés, chez une psychiatre. Celle-ci, désagréable, met la faute sur moi. Je suis reconduite au poste, et j’y passe la nuit en cellule sans couverture. Le lendemain matin, un policier en colère m’annonce que ma mère a disparu avec Camille et qu’elle va être poursuivie pour enlèvement d’enfant. Or j’avais toujours officiellement la garde de ma fille. « Conduite menottée au tribunal de Toulon, je suis reçue par le substitut du procureur, qui m’ordonne une obligation de soins et la remise de Camille à son père. La juge des libertés et de la détention (JLD) me confirme ces instructions et me convoque à une audience au tribunal le 29 mars pour « non présentation d’enfant ». « Libérée sous contrôle judiciaire, j’en conclus à de sérieux problèmes dans l’appareil judiciaire du Var, et je me dois de protéger ma fille. C’est ainsi que je me suis retrouvée avec elle dans la clandestinité, au détriment de ma carrière dans l’armée, sans ressources, mais dans l’attente d’autorités intègres qui fassent leur travail de façon responsable ». Priscilla est actuellement détenue dans une prison près de Lausanne, et sa fille placée dans un foyer. Une réunion est prévue ce vendredi 18 mars entre les avocats des deux parties avec un juge de paix, à Morges, près de Lausanne. 18 mars 2022 – Jacques Thomet, article indépendant : Affaire Camille Chauvet: le père s’en prend à la Suisse (mes articles sur ce Facebook personnel n’engagent que moi et sont totalement indépendants de mes fonctions au CIDE de Lausanne) Avant sa confrontation ce matin à Morges (Suisse), devant un juge de paix, avec son ex-épouse Priscilla, détenue près de Lausanne depuis son arrestation en février, Alain Chauvet, le père de la jeune Camille enlevée il y a 11 ans par sa mère et retrouvée avec elle, a mis en cause les autorités helvétiques. « Je suis face à un État étranger qui m’empêche de voir ma fille », a-t-il déclaré à la presse. La réunion entre les parties, accompagnées de leurs avocats, s’est ouverte à 9h30 et n’était toujours pas achevée à 12h30. Article de La Tribune de Genève :  

https://www.tdg.ch/le-sort-de-la-jeune-fille-entre-les-mains-de-la-justice-de-paix-506731178982

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(Au Féminin) Depuis que sa plainte pour agressions sexuelles sur sa fille est classée, cette mère est en fuite avec son enfant

Depuis le début du mois de mars, Fanny est en fuite avec sa fille Maëva. Sa plainte pour agressions sexuelles visant le père de la fillette a été classée sans suite.

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(Rémy Daillet-Wiedemann) « Il n’y a pas d’enlèvement » : Rémy Daillet revendique la restitution de la petite Mia, kidnappée par l’État, à sa maman

Le système tente de nous détruire en qualifiant d’enlèvement la restitution d’un enfant à sa mère. Nous avons besoin d’un grand soutien populaire, spécialement les parents qui se sont vues enlever leur enfant de manière abusive. Témoignez !

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(BFM) Mia et sa mère retrouvées en Suisse

Invités : Général Jacques Fombonne, ancien commandant du centre national de formation de la police judiciaire, Mélanie Vecchio, journaliste police/justice BFMTV, Maître Guillaume Fort, avocat des grands-parents paternels de Mia, Pascal Neveu, psychanalyste, directeur de l’Institut Français de la Psychanalyse Active (IFPA), et Jacques Morel, Général de gendarmerie, ancien patron de la section de recherche de Versailles.

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(BFM et Vosges FM) « C’est bien, ce que t’as fait »: le grand-père de Mia apporte son soutien à sa fille, suspectée d’avoir commandité le rapt

Entretien complet de Vosges FM (audio):

Dans une interview à Vosges FM, le grand-père de Mia, enlevée depuis mardi, apporte son soutien à sa fille, responsable présumée du rapt de la fillette. Il renvoie la responsabilité aux services sociaux.

« Un geste d’amour. » Dans une interview accordée à la radio Vosges FM ce vendredi, le grand-père de Mia, cette fillette enlevée mardi dans les Vosges, a apporté un franc soutien à sa fille, responsable présumée du rapt. Aux yeux de Claude Montemaggi, le responsable de cette situation est l’État, et plus précisément l’aide sociale à l’enfance (ASE).

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(BFM) Affaire Mia: un des hommes interpellés estime que « rendre un enfant à sa mère, ce n’est pas un délit »

Les suspects placés en garde à vue affirment qu’ils ont agi à la demande de la mère de l’enfant qui voulait récupérer sa fille de 8 ans dont elle n’avait plus la garde depuis janvier.

« On a fait ça à la Arsène Lupin. » C’est en se comparant au gentleman cambrioleur, créé en 1905 par le romancier Maurice Leblanc, que l’un des hommes soupçonnés d’avoir participé à l’enlèvement de Mia, 8 ans, a évoqué son acte devant les enquêteurs, d’après les informations que BFMTV a pu recueillir.

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(DNA Films) Opération Toussaint – Tim Ballard et son équipe sauvent des enfants victimes de trafic sexuel

Tim Ballard a quitté son poste d’agent spécial du ministère américain de la sécurité intérieure pour fonder O.U.R. [Operation Underground Railroad]. Grâce à cette organisation, Tim et son équipe planifient des opérations d’infiltration pour sauver des enfants victimes de trafic sexuel dans le monde entier. À ce jour, ils ont sauvé des centaines d’enfants de conditions horribles, ce qu’il n’était pas en mesure de faire lorsqu’il était lié par des restrictions gouvernementales. Découvrez O.U.R. et sa mission de mettre fin à l’esclavage moderne en rejoignant Tim et son équipe de forces spéciales lors d’une mission secrète en Haïti, pour traduire en justice un réseau de trafiquants sexuels qui ont soudoyé les autorités pour échapper à la prison. L’opération Toussaint (2018).

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