Archives de catégorie : QUI ose parler

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(Tsugi) Le duo de hip-hop sud-africain « Die Antwoord » accusé d’abus sexuels, d’esclavage et de satanisme par son fils

Le duo Die Antwoord est accusé d’abus sexuels, d’esclavagisme, et d’avoir des tendances satanistes par son fils adoptif. Gabriel du Preez alias Tokkie a dévoilé le passé douloureux qu’il aurait vécu avec sa petite sœur Meisie, dans une interview diffusée sur le site News24

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(Grain D'Sable) Placements abusifs et/ou inversés. Le 17 mai une date IMPORTANTE (Procès de Sandrine Volle au Puy-en-Velay) #MeTooASE

N’hésitez pas à aider les victimes… Vous pouvez les aider… Liste non exhaustive : Vidéo appel aux dons : Soutenez les victimes : https://youtu.be/0EjRu0Cxo2A

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(Exil Politique Australien) Un couple en exil politique pour fuir une secte pédocriminelle australienne

Nous avons vécu 5 ans à côté d’une secte…. Voici notre calvaire.

https://linkr.bio/australianpoliticalexile

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(CIDE, Comité international pour la dignité de l'enfant) Le patron de l’antiterrorisme dans les Ardennes relaxé pour viols sur mineure

Chef de la DGSI (direction générale de la sécurité intérieure) à Charleville, Olivier Combe n’a été condamné en appel cette semaine qu’à un an ferme et un avec sursis pour pédopornographie. Poursuivi pour le viol d’une mineure de confession musulmane qu’il était chargé de déradicaliser, il a été relaxé. Aucun des grands médias n’a fait état de cette information pourtant gravissime, sauf erreur de ma part. Cet ex-officier de 59 ans avait été relaxé des deux accusations en première instance en septembre 2021. Lors du procès en juin 2021, le ministère public avait réclamé 4 ans de prison ferme. En 2019, une jeune femme dépose plainte pour trois viols, dont elle aurait été victime au printemps 2016 en Ardennes. À l’époque des faits, la jeune femme âgée de 17 ans, qui se fait surnommer H. dans les médias français, venait de fuir le domicile familial après avoir répondu à une annonce matrimoniale pour épouser un islamiste, candidat au djihad en Syrie. C’est dans le cadre la lutte antiterroriste que H. rencontre Olivier Combe, l’agent de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI). Après plusieurs interrogatoires au sein des locaux de la DGSI, sa relation entre l’homme marié et père de deux enfants devient « ambiguë ». C’est alors que les viols auraient commencé. H. explique aux policiers qui ont pris sa plainte, qu’elle était sous son « emprise » et confie s’être sentie « obligée » malgré ses plaintes et ses « non » à répétitions. Suite à ces accusations, des investigations sont menées et mettent au jour deux autres relations sexuelles avec des jeunes femmes musulmanes, qui elles, auraient été consenties. L’agent de la DGSI avait alors immédiatement été « désarmé par sa hiérarchie » et « suspendu administrativement de ses fonctions », selon le procureur en charge du dossier. Pendant l’enquête, les équipiers d’Olivier Combe ont été entendus sous couvert d’anonymat. Dans leur déposition, on apprend que le cinquantenaire avait pour habitude d’interroger seul ses interlocutrices, dans son bureau de la lutte antiterroriste des Ardennes. Une pratique interdite par la DGSI. Aux prémices de ce scandale, l’ex-agent aurait confié à ses collègues : « Je ne vais pas vous faire un dessin, j’aurais dû garder mes mains dans mes poches ». (d’après « Oh my Mag ») Jacques Thomet Suite ...

(TV Magazine & Figaro Live) Esclavage sexuel : Thierry Ardisson pense aujourd’hui que Karen Mulder disait vrai, notamment sur les Enfoirés !

Témoignage de Karen Mulder :

« Une personne de mon entourage familial (elle cite un nom) a abusé de moi sexuellement, j’avais deux ans. C’est un psychopathe. Il m’avait placé sous hypnose. Depuis, toute personne ayant de l’autorité et connaissant mon secret peut me manipuler. Tant que je n’avais pas évacué la terreur de mon enfance, n’importe qui, en me faisant peur, pouvait avoir une emprise sur moi (…)

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(Alexandre Lebreton) Réseaux de Francs-Maçons Pédocriminels : Témoignages lors d’une Commission d’Enquête Australienne

Avertissement : Ces graves allégations concernant des francs-maçons restent des présomptions reposant sur des témoignages n’ayant pas fait l’objet d’enquêtes judiciaires. Il n’est pas question ici d’accuser globalement toute la Franc-maçonnerie de perpétrer des rituels sadiques et violents, il est probable que certains maçons opèrent sans le consentement de la majorité des membres de la loge. Le culte du secret sur lequel repose la Franc-maçonnerie pose un problème, voir un danger pour elle-même, car il lui est impossible de certifier que ce genre de pratiques rituelles pédocriminelles n’existent pas dans certaines arrières loges. Le cloisonnement stricte de cette hiérarchie pyramidale fait que les initiés progressent « à l’aveugle » dans cette vaste secte et ses diverses ramifications

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(La Team Moore) Lutte contre la pédocriminalité : La Team Moore confronte Jean Castex (et Steven Moore reçoit un contrôle de police à son travail dans la foulée)

Bonjour c’est La Team Moore.

Près de deux ans et demi après avoir confronté Emmanuel Macron, j’ai pu avoir un échange avec le premier ministre Jean Castex sur une collaboration officielle entre notre collectif citoyen et les autorités. Au début de notre conversation il connaissait très bien notre groupe, puis, subitement, lorsque je lui ai rappelé que les plus hautes autorités de ce pays nous avaient qualifiées de « hors la loi avec des éléments irrecevables aux yeux de la justice » il fut atteint d’une perte de mémoire… Comme il essayait de s’enfuir j’ai continué mes questions malgré ses agents de sécurité qui tentaient de m’intimider et de m’écarter de son chemin. Après cet échange tendu, Nassimah Dindar, femme politique de premier plan à la Réunion et soutient du président sortant, est venue me voir en prétextant ne pas connaître nos actions. Donc je met ici une capture d’écran de ses messages pour lui rafraîchir la mémoire… Quelques dizaines de minutes, plus tard cinq policiers en civil débarquaient sur mon lieu de travail pour procéder à un contrôle d’identité auquel j’ai refusé de me soumettre puisque de nombreux parquets en France connaissent mon véritable nom et que rien ne justifiait cette tentative d’intimidation. La peur doit changer de camp. Pour les enfants. 278457405_764311094936707_4376894732251022296_n 278231820_764311134936703_72055408486960809_n 278312271_750913652930516_1096839110371870106_n Suite ...

(Alexandre lebreton) Déviances Maçonniques : Cultes à Mystères, Sorcellerie, Orgies, sacrifices et Abus Rituels

Témoignages de Henry C. Clausen (33°degrés) et du Dr Stephen Kent


Franc-Maçonnerie & Schizophrénie – Comprendre les Arcanes du Pouvoir : https://pedopolis.com/2020/10/22/sortie-du-livre-franc-maconnerie-schizophrenie-comprendre-les-arcanes-du-pouvoir/
Extrait du livre MK : Il est légitime de se poser cette question : la maçonnerie moderne transmet-elle des initiations et des connaissances similaires à celles qui étaient enseignées avant le déluge, puis du temps de Nimrod et de Babylone ? Cette connaissance maçonnique secrète a-t-elle conservé une doctrine purement luciférienne, c’est à dire basée sur le paganisme et le satanisme, incluant entre autre des pratiques sexuelles dépravées et des sacrifices de sang (magie sexuelle et démonologie) ? Sacrifient-ils toujours le Taureau de Mithras ? Pratiquent-ils encore le baptême de sang ? S’agit-il de cette maçonnerie « parasitée », la maçonnerie noire aux rituels initiatiques traumatiques dont parle Albert Mackey ? Les traumatismes entraînant des états modifiés de conscience, les sacrifices de sang et la magie sexuelle pédocriminelle sont-ils des « clés initiatiques » que certaines sociétés secrètes modernes utiliseraient dans leurs rituels ?
Cette revendication d’une descendance des plus honteux mystères de l’antiquité par de nombreux francs-maçons prouve que la Franc-maçonnerie tend par ses doctrines et ses pratiques à la restauration du paganisme antique dans sa plus grande perversion. Les sociétés secrètes modernes de type maçonnique seraient-elles la descendance directe des anciennes religions à Mystères et des cultes de la fertilité ? Des cultes qui adoraient des dieux comme Baal, Moloch ou Dionysos (Bacchus) et dont les rites comprenaient des sacrifices. La sexualité de groupe était également un élément essentiel de ces sectes païennes, le culte phallique solaire étant aujourd’hui représenté par les obélisques qui se dressent en l’honneur du « secret royal maçonnique » sur nos grandes places publiques…

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(Marianne) Accusations d’inceste : Coline Berry-Rojtman condamnée pour diffamation

La fille de l’acteur Richard Berry a été condamnée pour diffamation ce jeudi 14 avril, pour diffamation envers son ex-belle-mère, la chanteuse Jeane Manson. « Une décision consternante » pour l’avocate de Coline Berry-Rojtman, alors que l’enquête sur les faits qu’elle dénonce n’est pas terminée.

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(Melty) “Ce qu’on ne sait pas toujours, c’est que plus le trauma est grave, moins on va s’en souvenir. Et ça, pas mal d’agresseurs sont au courant.”

 

“Ce qu’on ne sait pas toujours, c’est que plus le trauma est grave, moins on va s’en souvenir. Et ça, pas mal d’agresseurs sont au courant.” Célia Rombaut, victime d’un réseau pédophile, nous explique le chemin qu’elle a parcouru pour réussir à mettre des mots sur ses maux et à se réapproprier son corps. Aujourd’hui thérapeute, elle raconte son parcours dans son livre “Les couches de l’oignon, Du traumatisme à la résilience, un chemin spirituel ” paru chez Mama Éditions PS : Les propos tenus peuvent être choquants. Suite ...

(L'enfance au coeur) Nadia, une Maman gendarme, s’immole par le feu après une décision judiciaire qui la prive de la garde de son fils de 5 ans

Nadia MostefaEncore une fois, une femme, une mère, est la victime ultime d’une décision judiciairre .
Cette officier de gendarmerie mère d’un enfant de 5 ans, apprend qu’elle en a perdu la garde, et elle se donne la mort en s’immolant par le feu. Ses collègues ne tarissent pas d’éloge sur elle, qu’a t-il pu se passer ? Une décision de justice dont personne n’a connaissance est en tout cas à l’origine du drame.
Il convient donc de rapprocher ce drame du nombre de drames ou de situations de souffrances similaires. Souvent, bien trop souvent, des mères sont privées de leur(s) enfant(s) par la justice pour des motifs aberrants et sur le fondement de mensonges ou de rapports d’expertise totalement biaisés.
La justice ne voit pas venir le drame, la justice le précipite ! La connaissance de trop nombreux dossiers dans lesquels le lien maternel est détruit par l’intervention judiciaire qui se rend complice du père maltraitant ou du conjoint violent nous fait penser que la justice perd les pédales dans ses valeurs et dans son fonctionnement.
La disqualification des mères sous n’importe quel prétexte et la destruction de la femme par les conjoints ou ex-conjoints est un fléau auquel la Justice prête sa collaboration inconsciemment ou par manque de compétence ou par idéologie.
Un lien mère – enfant, se crée avant même que l’enfant ne vienne au monde.  Il est  indispensable au développement  et à l’équilibre de l’enfant, indispensable  à la construction de son identité,  à l’estime de lui-même, à sa sécurité et sa confiance intérieure.
Est-il besoin de rappeler une telle évidence? La réponse est oui, car 1000 fois hélas, les théories fumeuses ( du genre “emprise maternelle”, syndrome d’aliénation parental,….) l’emportent sur cette réalité scientifique ( et de bon sens)  dans le monde socio-judiciaire.

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(Jacques Thomet & CIDE) Mises au point de Jacques Thomet sur l’arrestation de Priscilla Majani et de sa fille Camille, en fuite depuis 11 ans

17 mars 2022 , Jacques Thomet pour le CIDE :

L’enlèvement de Camille Chauvet par sa mère : leur version contredit celle du père (Jacques Thomet – Délégué du CIDE) Un nouveau coup de théâtre vient d’éclater dans l’affaire Camille Chauvet, cette fillette française de 5 ans enlevée par sa mère Priscilla il y a 11 ans près de Toulon, et retrouvée lors de la récente arrestation en Suisse de la maman, ingénieure et officier de l’armée française. Le Comité international pour la dignité de l’enfant (CIDE-Lausanne) a eu accès à plusieurs sources concordantes sur les faits dénoncés par Priscilla et Camille, qui contredisent la version du père, Alain Chauvet. Face aux dénégations du père, accusé par la mère et Camille d’inceste sur la petite, Priscilla a maintenu ses dires devant ces sources, de même que la fillette, et relaté les dysfonctionnements, selon sa version, de la justice française dans ce dossier. Le CIDE a jugé utile d’en faire état face au déchaînement médiatique contre Priscilla à partir de la seule et unique version d’Alain Chauvet sur ce qu’il a qualifié de « mensonges ». En 2011, Camille fait l’objet d’une garde alternée chez les deux parents, en instance de divorce. Le 5 janvier, au retour de chez son père, la fillette révèle à sa mère les violences sexuelles qu’elle aurait subies, avec des détails qu’un enfant de cet âge ne peut pas inventer. Priscilla fait alors un signalement au commissariat de police à Hyères (Var). Les 6 et 7 janvier, Camille est auditionnée à deux reprises en audiovisuel (procédure dite Mélanie) par les policiers et confirme ses dires. Le 7 au soir, l’officier en charge du dossier, mandaté verbalement, selon lui, par le substitut du procureur, annonce à Priscilla qu’elle peut garder sa fille face à ce contexte. Mais jamais la mère n’obtiendra copie de cette décision malgré ses demandes réitérées. Le 17 janvier, Camille se confie soudain devant sa mère et sa grand-mère, et révèle d’autres atrocités sexuelles commises par le père selon elle. Priscilla, « effondrée » selon ses propres mots, porte alors plainte devant la police dès le lendemain. Le 21 janvier, l’officier de police déjà cité annonce à Priscilla un classement sans suite par le juge, les faits « n’ayant pas été établis » après l’audition du père, à qui elle est sommée de rendre l’enfant le soir même. Sur le conseil de son avocate, la mère exige une décision écrite du juge, et garde son enfant. Elle n’a jamais reçu ce document, affirme-t-elle. Le 24 février, raconte-t-elle, « deux policiers sautent par- dessus la porte de mon jardin, tapent à la porte et menacent de l’enfoncer si je n’ouvre pas ». Son avocate, contactée, lui conseille d’ouvrir, les policiers ayant indiqué qu’il s’agissait d’une audition. Conduite au commissariat, elle est mise en garde à vue. « On me prend mes empreintes digitales, y compris des paumes, s’étonne-t-elle, mon ADN, et je me retrouve en cellule. Menottée, les policiers me conduisent alors en voiture à vive allure, gyrophares allumés, chez une psychiatre. Celle-ci, désagréable, met la faute sur moi. Je suis reconduite au poste, et j’y passe la nuit en cellule sans couverture. Le lendemain matin, un policier en colère m’annonce que ma mère a disparu avec Camille et qu’elle va être poursuivie pour enlèvement d’enfant. Or j’avais toujours officiellement la garde de ma fille. « Conduite menottée au tribunal de Toulon, je suis reçue par le substitut du procureur, qui m’ordonne une obligation de soins et la remise de Camille à son père. La juge des libertés et de la détention (JLD) me confirme ces instructions et me convoque à une audience au tribunal le 29 mars pour « non présentation d’enfant ». « Libérée sous contrôle judiciaire, j’en conclus à de sérieux problèmes dans l’appareil judiciaire du Var, et je me dois de protéger ma fille. C’est ainsi que je me suis retrouvée avec elle dans la clandestinité, au détriment de ma carrière dans l’armée, sans ressources, mais dans l’attente d’autorités intègres qui fassent leur travail de façon responsable ». Priscilla est actuellement détenue dans une prison près de Lausanne, et sa fille placée dans un foyer. Une réunion est prévue ce vendredi 18 mars entre les avocats des deux parties avec un juge de paix, à Morges, près de Lausanne. 18 mars 2022 – Jacques Thomet, article indépendant : Affaire Camille Chauvet: le père s’en prend à la Suisse (mes articles sur ce Facebook personnel n’engagent que moi et sont totalement indépendants de mes fonctions au CIDE de Lausanne) Avant sa confrontation ce matin à Morges (Suisse), devant un juge de paix, avec son ex-épouse Priscilla, détenue près de Lausanne depuis son arrestation en février, Alain Chauvet, le père de la jeune Camille enlevée il y a 11 ans par sa mère et retrouvée avec elle, a mis en cause les autorités helvétiques. « Je suis face à un État étranger qui m’empêche de voir ma fille », a-t-il déclaré à la presse. La réunion entre les parties, accompagnées de leurs avocats, s’est ouverte à 9h30 et n’était toujours pas achevée à 12h30. Article de La Tribune de Genève :  

https://www.tdg.ch/le-sort-de-la-jeune-fille-entre-les-mains-de-la-justice-de-paix-506731178982

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