En 1990, à Evansville dans l’Indiana (comté de Vanderburg, USA), une sordide affaire de rituels pédocriminels a été étouffée, comme à l’accoutumée. À l’époque, l’affaire de la « Maison Bleue Satanique » avait reçu un écho national, notamment avec l’émission télévisée « A Current Affair » qui qualifia alors Evansville de « Devil’s Playground » (terrain de jeu du diable).
/!\ Avertissement : cet article est extrêmement violent /!\
1 – D’après un article de Shad Olson, auparavant relégué bien au-delà de la sensibilité et de la compréhension du grand public.
2 – Une sécrétion endocrinienne humaine naturelle devient le centre d’attention des gens qui s’éveillent à l’élargissement du scandale Jeffrey Epstein et au réalignement tectonique de la perception humaine qui se cache sous la surface de cette procédure judiciaire et de ses sous-entendus sur
Cette interview de Monsieur Fabrice Thomas, auteur du livre Saint Laurent et moi : une histoire intime, paru début octobre 2017 aux éditions Hugo Doc, est véritablement exclusive tant la chape de plomb des médias mainstream concernant son livre choc est lourde et efficace1. Actuellement, alors que tous les médias – papier, télévision et radio – ne cessent de parler des accusations d’agressions sexuelles contre Harvey Weinstein ou Monsieur Tariq Ramadan, pas la moindre ligne n’est consacrée au livre de Monsieur Fabrice Thomas, aucune interview n’a été réalisée. On imagine que cette censure a pour cause trois points importants : on ne touche pas à Pierre Bergé qui est devenu ces dernières décennies le pape infaillible de la république ; deuxièmement, Monsieur Yves Saint-Laurent fait partie du patrimoine culturel français ; enfin, il est assez suicidaire pour ces médias de s’attaquer à Yves Saint Laurent Beauté – propriété de L’Oréal – qui représente une manne financière publicitaire très importante. À l’instar de Bernard Arnault qui n’a pas apprécié que l’on parle de ses finances dans l’enquête des « Paradise Papers » et qui a sanctionné le journal Le Monde en retirant les pages de publicité de tout le groupe LVMH dont il est le président.
Dans ce documentaire, nous évoquons le récit d’Audrey, victime d’une grande injustice, qui se bat pour ses enfants. Elle sera auditionnée le 2 Août, hésitez pas à partager cette vidéo au plus grand nombre afin de faire sa sécurité et aussi, que d’autre personne ait le courage de faire comme elle. Merci à vous d’avance !!!
Il y a quelques semaines presque tout l’ensemble du mainstream politique et médiatique, s’est élevé d’une seule voix contre le célèbre chanteur allemand de Soul Xavier Naidoo et le groupe « Fils de Mannheim ». Aussi bien les médias en place que des partis politiques reprochent au chanteur que son nouvel album « Mannheim » contient des idées nationalistes et antisémites, et il l’ont déclaré publiquement « persona non grata ». Comme kla.tv le fait savoir dans les émissions qui s’affichent à l’écran, une méthode de travail journalistique a vu le jour qui visiblement vise à diffamer publiquement la personne de Xavier Naidoo. Et cela afin de détourner en même temps l’attention de l’album « Mannheim » et de son contenu de dévoilement et de critique. Il est intéressant de voir sur quel sujet ont commencé les persécutions politiques et médiatiques contre Xavier Naidoo. C’était en 2012 lorsque Naidoo a publié un album avec le rappeur Kool Savas, « XAVAS le dédoublement de la personnalité ». Dans cet album Naidoo a rajouté une piste bonus non officielle, une chanson qui a pour titre « Où sont-ils maintenant ? », dans lequel il évoque avec des mots très durs les abus rituels sur les enfants pratiqués dans les hautes sphères de la société. On parle d’abus rituels lorsque les victimes, la plupart du temps des enfants, sont abusés sexuellement dans le cadre de cérémonies d’adoration de Satan, sont torturés ou même sacrifiés. Voici un passage du texte de cette chanson non officielle :
Kendall prétend qu’elle a été vendue par ses parents à la naissance à un puissant trafiquant international d’esclaves sexuel. Elle raconte quand elle était enfermée dans une cage avec d’autres enfants enlevés, ou quand elle voyageait dans le monde entier dans des avions privés, pour être vendue à des hommes riches et puissants.
Les cobayes de la CIA est un film historique, accusateur, et documenté sur la face occulte de ce qui s’est passé dans les années 50, 60 et 70 aux Etats-Unis. Sous prétexte de recherches sur le cerveau humain, des dizaines de milliers de personnes vont servir de cobayes non volontaires et devenir des de laboratoires au service d’un programme de recherche top secret de la CIA. Ces cobayes étaient recrutés parmi les indigents, les déshérités, dans les prisons, les hôpitaux, les casernes et même les orphelinats. But de la manœuvre : effacer la mémoire, trouver un moyen pour faire avouer un ennemi, fabriquer une machine humaine prête à tuer contre son gré.