Le mot Schizophrénie provient du grec schizein (fendre) et phrên (esprit), il se traduit littéralement par esprit fendu, la fragmentation de l’esprit, la dualité. Plusieurs choses permettent de relier la Franc-maçonnerie à la schizophrénie et à la notion de dualité, à commencer par le symbole fort des loges le pavé mosaïque en carreaux noirs et blancs, sur lequel les initiés prêtent serment le choc des contraires, le multiple et l’Un, le bien et le mal interpénétrés et inséparables…
En 1990, à Evansville dans l’Indiana (comté de Vanderburg, USA), une sordide affaire de rituels pédocriminels a été étouffée, comme à l’accoutumée. À l’époque, l’affaire de la « Maison Bleue Satanique » avait reçu un écho national, notamment avec l’émission télévisée « A Current Affair » qui qualifia alors Evansville de « Devil’s Playground » (terrain de jeu du diable).
Suite au documentaire « Surviving R.Kelly », j’ai décidé d’analyser les points les plus importants des 6 épisodes. N’hésite pas à donner ton point de vue dans les commentaires avec respect bien sûr, le sujet est déjà assez sensible comme ça.
Dans ce documentaire, nous évoquons le récit d’Audrey, victime d’une grande injustice, qui se bat pour ses enfants. Elle sera auditionnée le 2 Août, hésitez pas à partager cette vidéo au plus grand nombre afin de faire sa sécurité et aussi, que d’autre personne ait le courage de faire comme elle. Merci à vous d’avance !!!
Pour la première fois dans le monde francophone, un livre tente d’explorer les sujets complexes que sont les abus rituels traumatiques et le contrôle mental qui en découle. Il s’agit ici d’approfondir la lourde question de la pédocriminalité élitiste, aussi appelée le pédo-satanisme.
La protection de l’enfance, en ce début de XXIème siècle, est marquée par une régression majeure.
L’évaluation du témoignage des enfants victimes de maltraitance conclut de plus en plus souvent au déni de la réalité de ces violences. Après la mode de l’aliénation parentale et des enfants menteurs, c’est désormais le règne des « faux souvenirs ». Les parents protecteurs se trouvent d’emblée suspectés d’instrumentaliser leurs enfants, et les professionnels, qui soutiennent l’enfant, d’être partisans ou partiaux ; pendant que les auteurs s’érigent en victimes.
La violence et la torture rituelles ne sont pas définies par le Code criminel canadien. Et jusqu’à maintenant, on ne tient aucune statistique à cet égard au pays. Mais il s’agit de crimes bien réels. Jeanne Sarson et Linda MacDonald, deux infirmières et enseignantes de la Nouvelle-Écosse, ont reçu le récit de plusieurs centaines de victimes ayant survécu à cette forme de violence familiale ou collective organisée. Dans le présent article, elles définissent ce que sont la violence et la torture rituelles et offrent des renseignements qui pourraient aider la police à repérer les victimes de ces crimes atroces.