Archives de catégorie : Les Lois, Pièges et Protocoles

 

(Tata Shelfa) Sandrine Volle : audience du 17 mai 2022 et rassemblement placements abusés (Le Puy en Velay)

Rassemblement de soutien à Sandrine Volle, en présence de karine Trapp, Séverine Ravat, Sabrina Bourré, Gladys, Hélène Lombard …

Prochaine audience le 12 juillet 2022 à 14h au tribunal du Puy-en-Velay (dans le 43) concernant une accusation de « diffamation » faite par l’association « Entraide union ».

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(France 2) Un si long silence : une patineuse brise l’omerta (Affaire Sarah Abitbol)

Sarah Abitbol a commencé le patinage artistique dès l’âge de 5 ans avant d’être repérée par l’entraîneur et directeur du plus gros centre de patinage de France, Gilles Beyer. Elle décroche plusieurs fois les titres de championne de France et de vice-championne d’Europe et du monde. Mais ce monde de glace et de paillettes cache un harcèlement sexuel omniprésent et des agressions violentes sur mineurs. Les voix des victimes sont étouffées par un système qui se protège. Sarah a été violée par son entraîneur quand elle avait entre 15 et 17 ans. En 2018, après avoir vu le film « La Consolation », adapté de l’ouvrage de Flavie Flament, Sarah Abitbol trouve le courage de briser la glace. Accompagnée par la journaliste Emmanuelle Anizon, elle rompt le silence en 2020 dans le livre « Un si long silence ». Ce documentaire revient sur son parcours.

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(AFP & Konbini) Le calvaire des mères qui veulent protéger leur enfant de l’inceste #SAP #Ciivise

 Elles peuvent être mises en cause et accusées de manipulation lorsqu’elles refusent que leur enfant aille passer le week-end chez le parent agresseur.

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(Le Point) Aliénation parentale : la guerre est déclarée

Un enfant peut-il accuser à tort un de ses parents d’abus, sous l’influence du second ? Les débats d’experts virent aujourd’hui à la bataille rangée.

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(Grain D'Sable) Placements abusifs et/ou inversés. Le 17 mai une date IMPORTANTE (Procès de Sandrine Volle au Puy-en-Velay) #MeTooASE

N’hésitez pas à aider les victimes… Vous pouvez les aider… Liste non exhaustive : Vidéo appel aux dons : Soutenez les victimes : https://youtu.be/0EjRu0Cxo2A

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(Penser la France) Des francs-maçons français affirment publiquement qu’une « Loi du Silence » sert à couvrir des crimes pédophiles

Dans une « Lettre ouverte aux Francs-Maçons de France » du 21 avril 2022, un groupe de « franc-maçons patriotes » évoque au milieu de leur texte ce que Pedopolis.com et tant d’autres dénoncent depuis si longtemps : la protection institutionnalisée de pédocriminels :

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(Marianne) Accusations d’inceste : Coline Berry-Rojtman condamnée pour diffamation

La fille de l’acteur Richard Berry a été condamnée pour diffamation ce jeudi 14 avril, pour diffamation envers son ex-belle-mère, la chanteuse Jeane Manson. « Une décision consternante » pour l’avocate de Coline Berry-Rojtman, alors que l’enquête sur les faits qu’elle dénonce n’est pas terminée.

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(Business News) Soupçonné de viols sur mineurs, un maire apparenté LREM finit en détention provisoire

Le maire de Nazelles-Négron en Indre-et-Loire est incarcéré pour soupçon de viols sur de jeunes mineurs dont il avait la garde en tant que famille d’accueil entre 2013 et 2021. Il conteste les faits qui lui sont reprochés.

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(CIDE, Comité international pour la dignité de l'enfant. Lausanne) Le laudateur du SAP, Paul Bensussan, ne peut pas rester expert judiciaire, selon cinq associations

Le laudateur du SAP, Paul Bensussan, ne peut pas rester expert judiciaire, selon cinq associations (d’après un papier de Hugo Lemonier – Mediapart)

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(L'enfance au coeur) Nadia, une Maman gendarme, s’immole par le feu après une décision judiciaire qui la prive de la garde de son fils de 5 ans

Nadia MostefaEncore une fois, une femme, une mère, est la victime ultime d’une décision judiciairre .
Cette officier de gendarmerie mère d’un enfant de 5 ans, apprend qu’elle en a perdu la garde, et elle se donne la mort en s’immolant par le feu. Ses collègues ne tarissent pas d’éloge sur elle, qu’a t-il pu se passer ? Une décision de justice dont personne n’a connaissance est en tout cas à l’origine du drame.
Il convient donc de rapprocher ce drame du nombre de drames ou de situations de souffrances similaires. Souvent, bien trop souvent, des mères sont privées de leur(s) enfant(s) par la justice pour des motifs aberrants et sur le fondement de mensonges ou de rapports d’expertise totalement biaisés.
La justice ne voit pas venir le drame, la justice le précipite ! La connaissance de trop nombreux dossiers dans lesquels le lien maternel est détruit par l’intervention judiciaire qui se rend complice du père maltraitant ou du conjoint violent nous fait penser que la justice perd les pédales dans ses valeurs et dans son fonctionnement.
La disqualification des mères sous n’importe quel prétexte et la destruction de la femme par les conjoints ou ex-conjoints est un fléau auquel la Justice prête sa collaboration inconsciemment ou par manque de compétence ou par idéologie.
Un lien mère – enfant, se crée avant même que l’enfant ne vienne au monde.  Il est  indispensable au développement  et à l’équilibre de l’enfant, indispensable  à la construction de son identité,  à l’estime de lui-même, à sa sécurité et sa confiance intérieure.
Est-il besoin de rappeler une telle évidence? La réponse est oui, car 1000 fois hélas, les théories fumeuses ( du genre “emprise maternelle”, syndrome d’aliénation parental,….) l’emportent sur cette réalité scientifique ( et de bon sens)  dans le monde socio-judiciaire.

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(Jacques Thomet & CIDE) Mises au point de Jacques Thomet sur l’arrestation de Priscilla Majani et de sa fille Camille, en fuite depuis 11 ans

17 mars 2022 , Jacques Thomet pour le CIDE :

L’enlèvement de Camille Chauvet par sa mère : leur version contredit celle du père (Jacques Thomet – Délégué du CIDE) Un nouveau coup de théâtre vient d’éclater dans l’affaire Camille Chauvet, cette fillette française de 5 ans enlevée par sa mère Priscilla il y a 11 ans près de Toulon, et retrouvée lors de la récente arrestation en Suisse de la maman, ingénieure et officier de l’armée française. Le Comité international pour la dignité de l’enfant (CIDE-Lausanne) a eu accès à plusieurs sources concordantes sur les faits dénoncés par Priscilla et Camille, qui contredisent la version du père, Alain Chauvet. Face aux dénégations du père, accusé par la mère et Camille d’inceste sur la petite, Priscilla a maintenu ses dires devant ces sources, de même que la fillette, et relaté les dysfonctionnements, selon sa version, de la justice française dans ce dossier. Le CIDE a jugé utile d’en faire état face au déchaînement médiatique contre Priscilla à partir de la seule et unique version d’Alain Chauvet sur ce qu’il a qualifié de « mensonges ». En 2011, Camille fait l’objet d’une garde alternée chez les deux parents, en instance de divorce. Le 5 janvier, au retour de chez son père, la fillette révèle à sa mère les violences sexuelles qu’elle aurait subies, avec des détails qu’un enfant de cet âge ne peut pas inventer. Priscilla fait alors un signalement au commissariat de police à Hyères (Var). Les 6 et 7 janvier, Camille est auditionnée à deux reprises en audiovisuel (procédure dite Mélanie) par les policiers et confirme ses dires. Le 7 au soir, l’officier en charge du dossier, mandaté verbalement, selon lui, par le substitut du procureur, annonce à Priscilla qu’elle peut garder sa fille face à ce contexte. Mais jamais la mère n’obtiendra copie de cette décision malgré ses demandes réitérées. Le 17 janvier, Camille se confie soudain devant sa mère et sa grand-mère, et révèle d’autres atrocités sexuelles commises par le père selon elle. Priscilla, « effondrée » selon ses propres mots, porte alors plainte devant la police dès le lendemain. Le 21 janvier, l’officier de police déjà cité annonce à Priscilla un classement sans suite par le juge, les faits « n’ayant pas été établis » après l’audition du père, à qui elle est sommée de rendre l’enfant le soir même. Sur le conseil de son avocate, la mère exige une décision écrite du juge, et garde son enfant. Elle n’a jamais reçu ce document, affirme-t-elle. Le 24 février, raconte-t-elle, « deux policiers sautent par- dessus la porte de mon jardin, tapent à la porte et menacent de l’enfoncer si je n’ouvre pas ». Son avocate, contactée, lui conseille d’ouvrir, les policiers ayant indiqué qu’il s’agissait d’une audition. Conduite au commissariat, elle est mise en garde à vue. « On me prend mes empreintes digitales, y compris des paumes, s’étonne-t-elle, mon ADN, et je me retrouve en cellule. Menottée, les policiers me conduisent alors en voiture à vive allure, gyrophares allumés, chez une psychiatre. Celle-ci, désagréable, met la faute sur moi. Je suis reconduite au poste, et j’y passe la nuit en cellule sans couverture. Le lendemain matin, un policier en colère m’annonce que ma mère a disparu avec Camille et qu’elle va être poursuivie pour enlèvement d’enfant. Or j’avais toujours officiellement la garde de ma fille. « Conduite menottée au tribunal de Toulon, je suis reçue par le substitut du procureur, qui m’ordonne une obligation de soins et la remise de Camille à son père. La juge des libertés et de la détention (JLD) me confirme ces instructions et me convoque à une audience au tribunal le 29 mars pour « non présentation d’enfant ». « Libérée sous contrôle judiciaire, j’en conclus à de sérieux problèmes dans l’appareil judiciaire du Var, et je me dois de protéger ma fille. C’est ainsi que je me suis retrouvée avec elle dans la clandestinité, au détriment de ma carrière dans l’armée, sans ressources, mais dans l’attente d’autorités intègres qui fassent leur travail de façon responsable ». Priscilla est actuellement détenue dans une prison près de Lausanne, et sa fille placée dans un foyer. Une réunion est prévue ce vendredi 18 mars entre les avocats des deux parties avec un juge de paix, à Morges, près de Lausanne. 18 mars 2022 – Jacques Thomet, article indépendant : Affaire Camille Chauvet: le père s’en prend à la Suisse (mes articles sur ce Facebook personnel n’engagent que moi et sont totalement indépendants de mes fonctions au CIDE de Lausanne) Avant sa confrontation ce matin à Morges (Suisse), devant un juge de paix, avec son ex-épouse Priscilla, détenue près de Lausanne depuis son arrestation en février, Alain Chauvet, le père de la jeune Camille enlevée il y a 11 ans par sa mère et retrouvée avec elle, a mis en cause les autorités helvétiques. « Je suis face à un État étranger qui m’empêche de voir ma fille », a-t-il déclaré à la presse. La réunion entre les parties, accompagnées de leurs avocats, s’est ouverte à 9h30 et n’était toujours pas achevée à 12h30. Article de La Tribune de Genève :  

https://www.tdg.ch/le-sort-de-la-jeune-fille-entre-les-mains-de-la-justice-de-paix-506731178982

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(Protéger l'Enfant) A qui profitent les révélations du crime d’inceste ? Lettre ouverte à M. Edouard Durand, co-président de la CIIVISE

Paris, le 10 novembre 2021

Lettre ouverte à M. Edouard Durand, co-président de la CIIVISE et Juge des enfants, à Mme Nathalie Mathieu, co-présidente de la CIIVISE et Directrice Générale de l’association des Drs BRU, à M. Adrien TAQUET, Secrétaire d’état en charge de la famille et de la protection de l’enfance, à M. Emmanuel MACRON, Président de la République Française.

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