FOOTBALL – L’ancien attaquant du club Gary Johnson s’en prend aux Blues dans une interview…
L’ancien joueur de Chelsea Gary Johnson affirme avoir été payé 50.000 livres par le club de football en échange de son silence sur les agressions sexuelles dont il aurait été victime de la part d’un recruteur, vendredi dans la presse britannique.
En plus d’être le petit-fils du psychanalyste le plus célèbre de l’histoire, Clement Freud était une vedette de la scène culinaire et de la vie politique britanniques. Il se retrouve aujourd’hui accusé, à titre posthume, d’être un pédophile.
Qui cherche à étouffer l’affaire Jacques Heusèle, cet assureur d’Arras qui s’est « suicidé » laissant derrière lui d’étranges carnets codés ? Comment Raymond Gouardo a-t-il pu violer et torturer sa belle-fille Lydia pendant 28 ans et dont six enfants sont nés de cette relation forcée sans jamais être dénoncé par les habitants du village ?
Karl Zéro aborde ici des affaires criminelles, qui ont défrayé la chronique, et sur lesquelles il dit son intime conviction.
Le calvaire de Lydia Gouardo
Jersey, l’orphelinat de la honte
Le Karrek Ven, l’école en bateau
La secte des béatitudes
L’ordre du Temple solaire
Le tortionnaire de l’Yonne
Point commun entre ces affaires : l’enquête a dysfonctionné. Du fait de ses errements, les coupables ont été ignorés ou relâchés. Il a fallu des années afin que les coupables soient identifiés. Quand ils l’ont été…
Arpentant les lieux des crimes, fouillant les zones d’ombre, ne se laissant jamais prendre au jeu des apparences, Karl Zéro s’intéresse aux faits, rencontre les témoins clé et pose les bonnes questions. Les réponses qu’il apporte, avec précision et exigence, ne cessent de passionner le grand public.
Qui sait que l’alchimie et la Cabale juive, exploitées par les sociétés occultes et satanistes, servent au contrôle mental des masses, pour conduire les populations à l’acceptation du Nouvel Ordre Mondial et de l’antéchrist ?
Pour la première fois dans le monde francophone, un livre tente d’explorer les sujets complexes que sont les abus rituels traumatiques et le contrôle mental qui en découle. Il s’agit ici d’approfondir la lourde question de la pédocriminalité élitiste, aussi appelée le pédo-satanisme.
Faute de nouveaux éléments dans l’affaire Maddie McCann, les autorités britanniques annonce la fin prochaine de l’enquête visant à retrouver la fillette disparue en 2007.
Titre d’origine: « Des temples du dieu Baal seront érigés dans plus de 1000 villes partout dans le monde »
NDLR: Pedopolis se permet de modifier le titre de cet article très interessant, car il passe à coté d’un aspect essentiel de la nouvelle rapportée. Comme précisé dans le corps de l’article, ce ne sont pas des temples qui vont être construit, mais des arches, ou portes. Comme chacun le sait, une porte permets le passage entre deux espaces. Dans un cadre mystique/ésotérique, en sorcellerie opérative, c’est pareil, une porte permet de transiter entre les mondes. Pour que « quelque chose » vienne dans notre monde, en échange quelque chose d’ici doit partir de l’autre côté. Il peux s’agir de « simples offrandes » de nourriture ou d’objets, jusqu’à ce qu’il y a de plus précieux, l’âme d’un enfant (sacrifice rituel), cela dépend de ce qui est attendu en retour. Comme dans notre réalité « matérielle », la taille de la porte définit la taille de ce qui peux possiblement transiter.
Le tabloïde britannique The Sun affirmait il y a quelques jours que le nombre d’enfants soignés aux frais de la NHS (la National Health Service) pour « dysphorie de genre » au Royaume-Uni a fait un bond de 1.000 % en cinq ans. Ils sont faciles à dénombrer, puisque seules deux cliniques, Tavistock et Portman, reçoivent des mineurs « transgenre ». En 2010, 97 mineurs y ont consulté avec leurs parents ; en 2015, ils étaient 1.013. Cette multiplication par dix est-elle le signe d’une sorte d’épidémie ? Et alors, pourquoi ? En tout cas, les responsables des cliniques se disent incapables de dire si l’augmentation va se poursuivre.
Ils ont longtemps été connus pour leur amour des banquets somptueux et des riches recettes. Mais ce qui est moins connu, c’est que la famille royale britannique avait également un penchant pour la chair humaine.
Un nouveau livre sur le cannibalisme médicinal a révélé que peut-être aussi récemment que la fin du 18ème siècle la royauté britannique ingérait des morceaux de corps humain.
L’auteur ajoute que ce n’était pas une pratique réservée aux monarques, mais que cette dernière était répandue parmi les gens aisés en Europe.