Archives de catégorie : CIDE

Comité international pour la dignité de l’enfant. Lausanne

(C.I.D.E.) Affaire Priscilla Majani : Trois commissions spéciales de l’ONU s’adressent aux autorités françaises pour pointer des dysfonctionnements

Trois commissions spéciales de l’ONU se sont adressées récemment aux autorités françaises pour pointer des dysfonctionnements importants dans le traitement de l’affaire Majani, cette femme condamnée à de la prison ferme pour avoir fui avec sa fille dans le but de la protéger de son père. La France a jusqu’à fin septembre pour s’exprimer. Par ailleurs, après 18 mois de détention, Priscilla Majani a demandé, pour la 3ème fois, sa mise en liberté conditionnelle. Dans ce contexte, l’actrice française Eva Darlan, qui préside le comité de soutien à Mme Majani a relancé son action « J’aurais fait comme elle ».

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(RTS) « JAMAIS SANS CAMILLE » ou la Vie Clandestine à Morges (Suisse) – Affaire Priscilla Majani / Camille Chauvet

Après avoir enlevé sa fille alors âgée de 5 ans, une mère française s’est cachée pendant des années en Suisse. Reportage à Morges et en France, où la mère de la jeune fille vient d’être condamnée à deux ans et demi de prison ferme.

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(Comité international pour la dignité de l’enfant & Jacques Thomet) CIDE : Priscilla Majani devrait être relaxée en appel mercredi d’après un spécialiste du droit pénal

C’est la conclusion d’un avis de droit fourni par une éminence française du droit pénal, Bernard Bouloc, à la demande du CIDE (Comité international pour la dignité de l’enfant), présidé par Georges Glatz à Lausanne. J’y suis consultant (Jacques Thomet). Voici le rapport complet de Bernard Bouloc: Objet: dossier MAJANI- cour d'appel d'Aix-en-Provence Paris, le 16 novembre 2022, Je soussigné, Bernard Bouloc, professeur de droit privé et de sciences criminelles à l'Ecole de droit de la Sorbonne (Université Paris 1), consulté par Me Guedj Benayoun, avocat au barreau de Toulouse, pour le compte de sa cliente, Madame Priscilla MAJANI, sur le fait de savoir si les deux jugements du tribunal correctionnel de Toulon du 16 septembre 2022 sont légalement fondés, émet l'avis suivant.

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(CIDE, Comité international pour la dignité de l'enfant) Le patron de l’antiterrorisme dans les Ardennes relaxé pour viols sur mineure

Chef de la DGSI (direction générale de la sécurité intérieure) à Charleville, Olivier Combe n’a été condamné en appel cette semaine qu’à un an ferme et un avec sursis pour pédopornographie. Poursuivi pour le viol d’une mineure de confession musulmane qu’il était chargé de déradicaliser, il a été relaxé. Aucun des grands médias n’a fait état de cette information pourtant gravissime, sauf erreur de ma part. Cet ex-officier de 59 ans avait été relaxé des deux accusations en première instance en septembre 2021. Lors du procès en juin 2021, le ministère public avait réclamé 4 ans de prison ferme. En 2019, une jeune femme dépose plainte pour trois viols, dont elle aurait été victime au printemps 2016 en Ardennes. À l’époque des faits, la jeune femme âgée de 17 ans, qui se fait surnommer H. dans les médias français, venait de fuir le domicile familial après avoir répondu à une annonce matrimoniale pour épouser un islamiste, candidat au djihad en Syrie. C’est dans le cadre la lutte antiterroriste que H. rencontre Olivier Combe, l’agent de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI). Après plusieurs interrogatoires au sein des locaux de la DGSI, sa relation entre l’homme marié et père de deux enfants devient « ambiguë ». C’est alors que les viols auraient commencé. H. explique aux policiers qui ont pris sa plainte, qu’elle était sous son « emprise » et confie s’être sentie « obligée » malgré ses plaintes et ses « non » à répétitions. Suite à ces accusations, des investigations sont menées et mettent au jour deux autres relations sexuelles avec des jeunes femmes musulmanes, qui elles, auraient été consenties. L’agent de la DGSI avait alors immédiatement été « désarmé par sa hiérarchie » et « suspendu administrativement de ses fonctions », selon le procureur en charge du dossier. Pendant l’enquête, les équipiers d’Olivier Combe ont été entendus sous couvert d’anonymat. Dans leur déposition, on apprend que le cinquantenaire avait pour habitude d’interroger seul ses interlocutrices, dans son bureau de la lutte antiterroriste des Ardennes. Une pratique interdite par la DGSI. Aux prémices de ce scandale, l’ex-agent aurait confié à ses collègues : « Je ne vais pas vous faire un dessin, j’aurais dû garder mes mains dans mes poches ». (d’après « Oh my Mag ») Jacques Thomet Suite ...

(CIDE, Comité international pour la dignité de l'enfant. Lausanne) Le laudateur du SAP, Paul Bensussan, ne peut pas rester expert judiciaire, selon cinq associations

Le laudateur du SAP, Paul Bensussan, ne peut pas rester expert judiciaire, selon cinq associations (d’après un papier de Hugo Lemonier – Mediapart)

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(Jacques Thomet & CIDE) Mises au point de Jacques Thomet sur l’arrestation de Priscilla Majani et de sa fille Camille, en fuite depuis 11 ans

17 mars 2022 , Jacques Thomet pour le CIDE :

L’enlèvement de Camille Chauvet par sa mère : leur version contredit celle du père (Jacques Thomet – Délégué du CIDE) Un nouveau coup de théâtre vient d’éclater dans l’affaire Camille Chauvet, cette fillette française de 5 ans enlevée par sa mère Priscilla il y a 11 ans près de Toulon, et retrouvée lors de la récente arrestation en Suisse de la maman, ingénieure et officier de l’armée française. Le Comité international pour la dignité de l’enfant (CIDE-Lausanne) a eu accès à plusieurs sources concordantes sur les faits dénoncés par Priscilla et Camille, qui contredisent la version du père, Alain Chauvet. Face aux dénégations du père, accusé par la mère et Camille d’inceste sur la petite, Priscilla a maintenu ses dires devant ces sources, de même que la fillette, et relaté les dysfonctionnements, selon sa version, de la justice française dans ce dossier. Le CIDE a jugé utile d’en faire état face au déchaînement médiatique contre Priscilla à partir de la seule et unique version d’Alain Chauvet sur ce qu’il a qualifié de « mensonges ». En 2011, Camille fait l’objet d’une garde alternée chez les deux parents, en instance de divorce. Le 5 janvier, au retour de chez son père, la fillette révèle à sa mère les violences sexuelles qu’elle aurait subies, avec des détails qu’un enfant de cet âge ne peut pas inventer. Priscilla fait alors un signalement au commissariat de police à Hyères (Var). Les 6 et 7 janvier, Camille est auditionnée à deux reprises en audiovisuel (procédure dite Mélanie) par les policiers et confirme ses dires. Le 7 au soir, l’officier en charge du dossier, mandaté verbalement, selon lui, par le substitut du procureur, annonce à Priscilla qu’elle peut garder sa fille face à ce contexte. Mais jamais la mère n’obtiendra copie de cette décision malgré ses demandes réitérées. Le 17 janvier, Camille se confie soudain devant sa mère et sa grand-mère, et révèle d’autres atrocités sexuelles commises par le père selon elle. Priscilla, « effondrée » selon ses propres mots, porte alors plainte devant la police dès le lendemain. Le 21 janvier, l’officier de police déjà cité annonce à Priscilla un classement sans suite par le juge, les faits « n’ayant pas été établis » après l’audition du père, à qui elle est sommée de rendre l’enfant le soir même. Sur le conseil de son avocate, la mère exige une décision écrite du juge, et garde son enfant. Elle n’a jamais reçu ce document, affirme-t-elle. Le 24 février, raconte-t-elle, « deux policiers sautent par- dessus la porte de mon jardin, tapent à la porte et menacent de l’enfoncer si je n’ouvre pas ». Son avocate, contactée, lui conseille d’ouvrir, les policiers ayant indiqué qu’il s’agissait d’une audition. Conduite au commissariat, elle est mise en garde à vue. « On me prend mes empreintes digitales, y compris des paumes, s’étonne-t-elle, mon ADN, et je me retrouve en cellule. Menottée, les policiers me conduisent alors en voiture à vive allure, gyrophares allumés, chez une psychiatre. Celle-ci, désagréable, met la faute sur moi. Je suis reconduite au poste, et j’y passe la nuit en cellule sans couverture. Le lendemain matin, un policier en colère m’annonce que ma mère a disparu avec Camille et qu’elle va être poursuivie pour enlèvement d’enfant. Or j’avais toujours officiellement la garde de ma fille. « Conduite menottée au tribunal de Toulon, je suis reçue par le substitut du procureur, qui m’ordonne une obligation de soins et la remise de Camille à son père. La juge des libertés et de la détention (JLD) me confirme ces instructions et me convoque à une audience au tribunal le 29 mars pour « non présentation d’enfant ». « Libérée sous contrôle judiciaire, j’en conclus à de sérieux problèmes dans l’appareil judiciaire du Var, et je me dois de protéger ma fille. C’est ainsi que je me suis retrouvée avec elle dans la clandestinité, au détriment de ma carrière dans l’armée, sans ressources, mais dans l’attente d’autorités intègres qui fassent leur travail de façon responsable ». Priscilla est actuellement détenue dans une prison près de Lausanne, et sa fille placée dans un foyer. Une réunion est prévue ce vendredi 18 mars entre les avocats des deux parties avec un juge de paix, à Morges, près de Lausanne. 18 mars 2022 – Jacques Thomet, article indépendant : Affaire Camille Chauvet: le père s’en prend à la Suisse (mes articles sur ce Facebook personnel n’engagent que moi et sont totalement indépendants de mes fonctions au CIDE de Lausanne) Avant sa confrontation ce matin à Morges (Suisse), devant un juge de paix, avec son ex-épouse Priscilla, détenue près de Lausanne depuis son arrestation en février, Alain Chauvet, le père de la jeune Camille enlevée il y a 11 ans par sa mère et retrouvée avec elle, a mis en cause les autorités helvétiques. « Je suis face à un État étranger qui m’empêche de voir ma fille », a-t-il déclaré à la presse. La réunion entre les parties, accompagnées de leurs avocats, s’est ouverte à 9h30 et n’était toujours pas achevée à 12h30. Article de La Tribune de Genève :  

https://www.tdg.ch/le-sort-de-la-jeune-fille-entre-les-mains-de-la-justice-de-paix-506731178982

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(MK Polis / Alexandre Lebreton) SNUFF MOVIES : Légende Urbaine ou Épouvantable Réalité ?

Cette vidéo est une lecture illustrée du sous-chapitre « snuff-films » du livre « MK – ABUS RITUELS ET CONTRÔLE MENTAL« 

Georges Glatz est un homme politique suisse, il est le fondateur du CIDE: Comité International pour la Dignité de l’Enfant. Cette ONG basée à Lausanne a produit en 2012 un rapport explosif montrant l’ampleur du phénomène de la pédocriminalité de réseau. Ce rapport vise à expliquer pourquoi une chape de plomb recouvre toutes ces affaires. En 2000, sur le plateau de télévision de France 3, George Glatz déclarait face à Élise Lucet que des films montrant la mort réelle d’enfants avaient été retrouvés en Belgique :
– Georges Glatz: Les cassettes de snuff-movies se vendent entre dix et vingt-mille francs suisse… – Élise Lucet: Qu’est ce que vous voulez dire par « snuff-movies » ?…
– Georges Glatz: Des cassettes avec mort réelle d’enfants…
– Élise Lucet: …. ?!?!!…
– Georges Glatz: Oui, ces cassettes existent, on en a découvert il y a déjà quelques années en

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/!\ Rapport exclusif du CIDE (Suisse) sur la pédocriminalité, notamment en France – 25 Février 2013

Source: Jacques Thomet

25 février 2013 Voici le rapport tant attendu de cette ONG basée à Lausanne, et que je vous livre à peine publié ce lundi , dans son intégralité:

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Extrait Rapport CIDE Affaire Moncini: réseau pédocriminel international, tortures et meurtre d’enfant, loge P2 …

En mars 1988, l’industriel italien Alessandro Moncini, membre important de la fameuse loge maçonnique P2 de Licio Gelli, est arrêté en Californie. Il avait été mis sur écoute par le FBI et l’audition d’un extrait d’une conversation téléphonique entre Moncini et un interlocuteur non identifié fut demandée par le juge lors de son procès:

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