Dans ce documentaire, nous évoquons le récit d’Audrey, victime d’une grande injustice, qui se bat pour ses enfants. Elle sera auditionnée le 2 Août, hésitez pas à partager cette vidéo au plus grand nombre afin de faire sa sécurité et aussi, que d’autre personne ait le courage de faire comme elle. Merci à vous d’avance !!!
Selon « L’Obs », la taxe Chirac aurait permis de financer la Fondation Clinton grâce à Unitaid, organisation présidée par l’ancien ministre de la Santé français.
Pour la première fois dans le monde francophone, un livre tente d’explorer les sujets complexes que sont les abus rituels traumatiques et le contrôle mental qui en découle. Il s’agit ici d’approfondir la lourde question de la pédocriminalité élitiste, aussi appelée le pédo-satanisme.
La vaccination contre la gastro-entérite pourrait être remise en cause. L’Agence nationale de sécurité du médicament confirme le décès de deux nourrissons qui avaient reçu ce vaccin.
D’après Gethin Chamberlain, Indore, Inde pour Mailonline, 13 janvier 2015
C’est le Dr Anand Rai qui lancé l’alerte et levé le voile sur ce scandale d’essais illégaux de médicaments. Il est aujourd’hui protégé par un garde armé.
L’histoire incroyable de Corinne Gouget, auteure du guide « Additifs alimentaires : danger », qui s’est fait enlever ses deux filles à cause de son combat pour dénoncer les additifs alimentaires et en particulier l’aspartame et le glutamate monosodique.
Publié pour la première fois dans Journal of OrthomolecularMedicine, Vol.5, no 1, 1990
Traduction Google
Introduction
L’hypothèse adrénochrome de la schizophrénie (Hoffer, Osmond et Smythies, 1954), a été stimulée par les travaux d’Osmond et Smythies (1952) qui se sont concentrés sur les dérivés méthylés de l’adrénaline en tant que possibles schizophrénogènes en dogènes. Ils ont montré que l’expérience qui a suivi l’ingestion de la mescaline était à bien des égards similaire à l’expérience induite par la schizophrénie chez des personnes normales. Cela a attiré l’attention sur les dérivés de l’adrénaline (et de toutes les amines sym-pathomimétiques et de leurs précurseurs) comme facteurs étiologiques. Cependant, en 1952, très peu de ces composés avaient été étudiés. Avec nos ressources, nous avons été contraints de limiter nos études à un seul dérivé, l’adrénochrome, un dérivé oxydé et coloré de l’adrénaline. La chimie était si peu connue qu’il n’était pas surprenant que les chimistes aient conclu, à tort, qu’elle était intrinsèquement instable et difficile à étudier. Nous avons consacré une grande partie de nos recherches chimiques à cette substance intéressante. En conséquence, sous la direction du Dr R. Heacock (1959, 1965), un énorme corpus de données a été recueilli et publié détaillant la chimie de l’adrénochrome, sa synthèse, son métabolisme, sa conversion en d’autres produits et ses réactions avec des substances comme l’acide ascorbique.